dimanche 21 juin 2009

Pour en finir avec la fete...

La langue pendait vers la droite. Il ne s'agissait pas d'un choix politique c'était par absence d'identité. Elle était comme toute les autres, une simple langue qui témoigne de l'agonie d'un humain, ce langage là est universel et le plus souvent muet.
Les derniers souffles de l'agonie sont rapides et lorsqu'ils cessent le contraste est frappant. Le vide de la vie qui s'arrete est impressionnant.
C'est ainsi qu'il a quitté, ce père que je ne savais autant aimer.
Merci monsieur le père, vous avez défriché un chemin que je n'ai pas hate d'emprunter mais vous l'avez bien fait, et ca, en ce jour de fete, mérite d'etre mentionné.

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