mercredi 21 juillet 2010

Réseaux sociaux

Je veux faire un site .com pour dénoncer les abus des employeurs.
Mais pas n'importe quoi, j'aimerais qu'il soit bien fait pour qu'il ait un effet.
Je ne sais pas combien coute un .com et je ne sais pas faire la mise en page.

Puisque blogspot est un réseau social, je crois qu'il est possible d'obtenir l'information avec votre aide.
J'ai fait dans les blogues d'humeur mais là, j'ai le gout de m'aider et d'en aider d'autre avec un .com sérieux qui parle des abus des employeurs et des employés avec peu de ressources qui finalement finissent par payer la note.

Je crois que je ne suis pas le seul. Mais je ne parle pas de syndicat, je veux que ce .com parle des trucs hallucinants.

Donc....
Un .com, on fait comment?
Et ça coute combien?
Et pour la mise en page, c'est compliqué pour les nuls?

Si l'expression réseau social....virtuel est vrai, je demande votre aide.

Michel

samedi 17 juillet 2010

Là c'est vrai....

Je ferme demain.
La fenêtre virtuelle ne rayonnera plus.
Je me demande ce qu'il adviendra de mes mots inintéressants.
Cette illusion d'être en relation avec quelque chose va me manquer même si c'était avec presque rien. Un presque rien vaut mieux qu'un rien.

Je ne suis pas triste parce que tout ça ne me mène à rien mais je me demande comment je vais le remplacer. Il est drôle de penser qu'il me sera difficile de remplacer un presque rien, ça devrait être facile, non?

On verra bien.

vendredi 16 juillet 2010

Quand je lis ça...

Quand je lis ça, je me dis ouais enfin une bonne morale.
J'ironise beaucoup là. Je me dis plutôt bande de trou du cul. Et je ne parle pas des deux animateurs là, je parle de ces salauds qui se montrent plus blanc que blanc et qui sont des sales.
Pour ce qui est du patineur, il est féminisé et extravaguant, il ne faut pas en parler, c'est interdit?
C'est comme Rochette, c'est la mort de sa mère qui a fait parler d'elle.
Pour ce qui est du patinage, on ne sait pas trop.

Enchanté...

Elle ne voulait pas me parler et quelques minutes plus tard, lorsque je l'ai quitté, elle m'a dit enchanté.
Je quittais lorsqu'elle m'a dit ce truc, je n'ai pas eu de réaction, je lui faisais dos.

Je l'ai pris comme un compliment, une douceur que je garde pour moi, une caresse verbale.

C'est fou, quand tu es laid, les gens ne te veulent pas, mais il arrive des rencontres ou, au-delà de l'apparence la beauté de la tête arrive à passer.

Mais c'est rare, alors ce enchanté fut bien apprécié.

jeudi 15 juillet 2010

Encore au parc....

Moi- Bonjour madame je peux vous parler?
Elle- Non, je ne suis pas disponible.
Moi- Pourquoi?
Elle - Je travaille sur ma thèse de doctorat en littérature.
Moi- Ha! et quel en est le sujet?
Elle - Le voyage, les rencontres impromptues et l'incommunabilité.
Je ris et je quitte, c'est trop fou ce truc et je ne veux pas être un emmerdeur.

Deux heures plus tard je l'a croise à nouveau. Elle était assise sur le gazon.

Moi- êtes- vous disponible maintenant?
Elle- Bof!
Moi-Vous m'accordez 5 minutes.
Elle-Oui mais pas plus.
Moi- Alors quel est le sujet de votre thèse?
Elle- Ben, heuuuu, heuuu!
Moi- Ben là si vous êtes hésitante comme ça, le 5 minutes va passer vite.
Elle- Bien on fera comme au foot, quelques minutes de plus.
Moi- Tantôt, c'était de l'ironie votre truc, c'était trop drôle, ça ne se peut pas.
Elle- Oui un peu.
Moi-Bien vous êtes brillante.

Finalement on a jasé 10 minutes sur son sujet de doctorat et ce fut très intéressant. Mon temps s'est écoulé et j'ai quitté. Mais cette femme était très intelligente.

Il y a des 10 minutes comme ça qui valent quelques heures.

Une soirée au parc....

C'est fou....
Il y a de tout.
C'est le rien qui m'étonne.
Faudrait que je mettes quelques mots quand même.
Une belle fille amoureuse et aimable que j'aimerais mais de sa jeunesse le jeune homme ne sait l'apprécier. Il passe à coté, le con.
Des jeunes hommes qui parlent de cinéma sans savoir de quoi il est fait.

Pis un gars qui court après sa blonde comme on court après une anguille gluante, inssaisisable.

Mais ils restent tous beaux.

Une soirée tranquille au parc?

Pas évident, et pourtant, la soirée était idéale.

L'imaginaire parfois ne fait pas dans la rêverie.

Mais, moi de mon vieil âge, j'en aurais fait une soirée festive. Et je l'ai fait malgré les forces qui tendaient vers le négatif. Je ne voulais pas gaspiller une aussi belle soirée.

mercredi 14 juillet 2010

Comme si c'était vrai...

L'internet ressemble un peu à la télé.
On regarde un film, on pleure comme un crocodile mais il n'y a que la chaleur des larmes, la souffrance n'est pas là.
On pleure l'agonie du personnage d'un film en pensant à celle de son parent décédé mais la douleur de celle éprouvée dans le réel est absente et le deuil du personnage sera court.
Un personnage se fait arracher une dent et on grimace à l'idée parce qu'on l'a déjà vécu mais la douleur, l'inflammation pré et post-opératoire est inexistante. Lors de la pub on a pas besoin d'aller se gargariser la bouche afin d'éviter l'infection.

En fait, la télé insensibilise, l'internet aussi. Ils déshumanisent.

Les blogueurs ne sont que des personnages, comme Virginie ou Rambo.
Ainsi on traite quelqu'un de merde sans se gêner parce que les conséquences restent virtuelles.
Ou on pleure et sympathise avec une autre pour ensuite changer de page. C'est sans conséquences.

Ils appellent ça un réseau social. Quel mensonge ce truc. Il ne s'agit en rien de réseau social, il suffit de demander 10$ à ton réseau social virtuel pour te rendre compte qu'il n'y a aucune connexion dans le réel.

La seule différence avec la télé, c'est qu'on devient personnage dans le jeu et qu'on a l'impression d'avoir le pouvoir d'influencer le scénario de l'histoire qui, elle n'est que virtuelle.

Et on carbure là-dessus comme on carbure devant un film. L'internaute vit sa vie en se divertissant dans un espace chimérique.

C'est comme dans les jeux vidéo, on joue une partie de hockey en ligne sans jamais être essouflé, on se prend un mur à 300km heure sans avoir une seule éraflure, on se prend un couteau dans le ventre sans saigner. Devant un site porno, on vient pour vrai mais il n'y aucun danger de contamination et aucun téléphone le lendemain d'une baise pour grossesse non-désir ou poursuite pour paternité.

On pixel sa vie et faisant comme si c'était vrai et le temps passe.

Avant de quitter internet, je fais des recherches pour localiser tout ceux qui m'ont traité de grosse merde et insulte du genre. J'ai imprimé leur réponse et j'entends bien les retracer et leur faire lire pour ensuite leur demander de me répéter ça en pleine face dans le réel histoire de mettre un peu de réel dans cet univers virtuel.

J'espère seulement que dans le tas, il n'y aura pas un colosse de 6 pieds 4 et 220 livres. À celui-là je dirai, ça va, t'avais raison et je passerai au suivant. Pour les filles, je ne sais trop quoi faire, j'en ai jamais frappé une. Peut-être leur casser un ongle ou leur scier un talon haut?

Celle qui croit savoir....

L'infirmière en psychiatrie m'a parlé. C'est gentil parce que dans un hôpital, on parle peu.
Elle m'a servi ses interprétations bidons habitée par une pensée magique, elle croyait que ses mots auraient un effet. Je l'ai écouté, je la regardais, elle qui flottait tout en haut de moi, convaincue qu'elle avait tout saisi de ma personne.
J'ai laissé passer ses mots qui sonnaient faux, elle qui les croyait vrai, et je lui ai demandé si je peux quitter maintenant.

Elle a dit oui en pensant que ces conneries qu'elle m'a raconté auraient un effet sur ma santé.
À la première poubelle que j'ai croisée, j'ai recraché ses mots en me disant putain qu'elle est conne, celle qui ne sait rien mais qui pense tout savoir.

Et je me demandais si d'être mal entendu est pire que de ne pas l'être?
Et je me disais que le silence est souvent mieux que de raconter n'importe quoi.

Il y a de ces gens, qui de bonne foi, entretiennent de fausses prétentions. Elles se racontent des histoires, et des fous comme moi arrivent facilement à le sentir.

Il y en a d'autres qui savent percevoir mais eux, ils utilisent peu de mots.

mardi 13 juillet 2010

Un bon coup de pied au cul...

Je vais le moins souvent au Métro Chevrefils sur Laurier, je trouve que les gens qui y travaillent sont méprisants envers les clients, je préfère le Métro sur Saint-Hubert. Toujours est-il que j'arrête chez Chevrefils....
Une fois à la caisse....
Moi- Bonjour
Caissière - Bonjour vous voulez un sac?
Moi - Oui
Le commis à l'emballage - Un sac Mon-si-eur, me dit-il en voulant faire rigoler la jeune caissière.
Moi - T'as jamais reçu de coups de pied au cul toi, hen? Là, il sort une stupidité à laquelle je ne voulais pas répondre, il faisait l'innocent.
Fais attention à ce que tu dis, on ne sait jamais vraiment à qui qu'on parle.

Vraiment , je déteste cet endroit là, il y a un culture organisationnelle complètement pourrie.

Trop tard...

Il était tard, il ne me restait que bien peu de temps.
En fait, moins que celui que j'imaginais.
Alors, sournoisement, la vie a fait en sorte que je ne puisse terminer ce billet comme j'aurais aimé le fair........

lundi 12 juillet 2010

Je me cherche...

Je me cherche une ruelle pour dormir ce soir.
J'aimerais qu'elle soit belle.
Si vous avez des suggestions, elles sont bienvenues.
Il semble qu'il y aura de la pluie ce soir, alors un spot couvert conviendrait bien.

C'est curieux...

Il m'arrive d'écrire des billets que je trouve intéressants et ils ont le compteur à zéro.
J'écris une connerie un peu vite sous l'implosion du moment et j'ai trois réponses.

Décidément, je suis un mésadapté et je ne comprends rien à la nature humaine, donc rien non plus à la blogosphère.

Il n'y a rien à faire.

dimanche 11 juillet 2010

Des lesbiennes....

Parc Laurier, le cul sur le gazon, le dos sur un tronc je regardais autour de moi la faune qui s'excitait les hormones.
Pique-nique, amusement avec un ballon, et autres excitations diverses.
Devant moi, deux jeunes femmes s'embrassent sans cesse. Je les regarde discrètement, pas comme le gars à vélo qui a failli se prendre un arbre en plein front, et je me pose des questions. Je me pose toujours des questions de toute façon.

Pas loin de moi, 4 filles attablées, une belle rousse, grande et mince. J'aime la regarder, pas par désir, par plaisir de son esthétisme. Un peu comme regarder une toile que l'on trouve belle sans aucun désir de la posséder, un peu comme vivre sans avoir peur de la mort.

Elle finit par embrasser sa voisine de gauche, elles se collent et se caressent.

Alors je me repose des questions.

Les jeunes de la blogosphère m'ont déjà déstabilisé quant à la bisexualité, l'homosexsualité et mes demandes pour qu'elles m'en expliquent le sens n'ont jamais donné de résultats. Elles ont été mal reçues.

Je brule d'envie d'aborder l'un de ces deux couples pour leur poser quelques questions.
Je ne veux pas les déranger et je n'ai plus la beauté de mes 30 ans qui me permettait ce genre d'impertinence. Alors je pense davantage avant d'agir.
J'ai le corps vieux qui portent la laideur de ce que j'ai fait de ma vie même s'il me reste la curiosité de ma jeunesse, mais ça avec l'allure que j'ai, ça ne parait pas et on a beau dire que la beauté extérieure n'importe peu, ce n'est que balivernes de gens qui racontent n'importe quoi.

Après de longues hésitations j'aborde ces jeunes dames, une d'entre elles, accepte de me parler.
Moi- Je vous ai vu vous embrasser et je me demandais le sens que le lesbiannisme avait pour vous, je n'ai que bien peu de références et j'aimerais comprendre?

Elle a pris le temps de m'expliquer, ouverte et gentille, elle m'a raconté l'affaire. Pendant qu'elle répondait à mes questions, j'étais conscient que la belle rousse n'aimait pas, alors j'ai fait vite pour ne pas trop déranger.

Je reste avec l'impression que la créativité, la réinvention des rapports amoureux passe par ce chemin.
Je n'ai pas besoin de vous dire que le discours féminisme et sa doctrine m'irrite beaucoup et fait dinosaure.
J'ai trouvé ces jeunes qui n'accordent que bien peu d'importance au genre tout à fait rafraichissant.

Je n'ai pas toutes les références pour saisir encore, mais ça commence et ça m'intéresse beaucoup, il y a là un mouvement qui a peut-être déjà un nom que je ne connais pas encore, mais il y a là une belle opportunité de réinventer un monde.

Je trouve fascinant ce truc qui transgresse les interdits de genre et mon plaisir serait d'avoir une bonne discussion à ce sujet pour en saisir toutes les nuances.

Un orgasme désolant....

Pendant qu'il se fait passer un Q-tips dans le pénis, elle, elle regarde le changement de couleur d'un bidule sur lequel elle vient de pisser.

Deux jours plus tard, il se rend à la pharmacie pour acheter une prescription d'antibiotique. La semaine suivante, elle, elle se rend à une clinique pour un avortement, deux jours plus tard, elle devra se rendre à l'hôpital pour un curetage, elle saignait trop.

La semaine précédente, ils s'étaient rencontrés lors d'une fête. Ils s'étaient plu et avaient bien baisés. Dans le lit, dans cette festivité éthylique, ils ne pensaient même pas au mal de bloc du lendemain, alors, encore moins à ces trucs.

Je l'attendais chez elle, je l'avais amené à l'hôpital durant la nuit mais rendu là, elle voulait que je quitte, elle reviendrait en taxi.

Elle ouvre la porte, elle est aussi blême que durant la nuit qui précède.

Moi - Pis?

Elle- J'aime mieux ne pas en parler, me dit-elle en fermant la porte de sa chambre.

L'excitation les avaient laissés dans un état de désolation.

Alors, maintenant que le Mundial est terminé, dans quel état se retrouvera l'Afrique?
Quel sera la réponse à ce Pis?

Elle viendra dans une semaine ou deux mais le ballon lui, continuera à être rond comme la terre.

Moi je suis plus d'avis que la terre est plate.

Il ne faut pas juger...

Ça sort d'ou cette connerie?

Ceux qui prétendent ça envoyez moi votre adresse, je vais venir chez vous demain soir.
Comme vous jugez pas, vous allez m'accueillir à bras ouvert, puisque vous êtes bons et sans jugement.

L'expérience m'a appris que les gens qui tiennent ce discours sont ceux qui ont le jugement le plus fort.
Ce n'est pas qu'il ne faut pas juger dans l'absolu, c'est simplement qu'il ne faut pas les remettre en question, eux. C'est ça l'affaire.
Ce sont les gens les plus fermés qui servent ce discours à tour de bras et souvent ils sont les juges les plus sévères.

Déjà en partant, le IL NE FAUT PAS... ça regarde mal et ça fait moral en hostie.

jeudi 8 juillet 2010

Écrire...

Moi - L'essentiel pour moi c'est l'idée. Les émotions, les atmosphères, les odeurs, sont secondaires, du superflu, de l'enrobage.
Arrives au but et arrêtes de tourner en rond. Pourquoi écrire en 15 lignes ce que tu peux exprimer clairement en 2 lignes.

L'écrivain - L'idée qui arrive à s'inscrire dans des émotions a beaucoup plus de sens. C'est comme des feuilles de menthe que tu laisses bien infuser, le thé est plus odorant et a beaucoup plus de saveur.
Toi ce dont tu parles c'est d'une culture hydroponique des mots.
Des concepts qui, comme les racines d'une laitue Boston, flottent dans une eau au lieu de s'enraciner dans la terre, de s'ancrer dans tout ce que le lecteur est capable de ressentir. Ta salade est propre, presque belle mais inodore et la sans saveur d'un terroir, sans origine et sans lieu d'appartenance.
Et des idées qui ne reposent sur rien ne s'inscrivent pas dans la chair des gens, elles deviennent vite, pour le lecteur, de vagues impressions qui, à défaut d'attaches, s'estompent rapidement.
Les mots et les idées écrites doivent devenir une expérience sensuelle qui fait appel à plusieurs sens pour s'inscrire en l'autre.
C'est comme si tu travaillais de la mélamine avec un scie industrielle, pendant que moi, je travaillais mes mots, comme peut le faire un ébéniste avec un bois noble. Ton discours sent la colle, le mien a une odeur d'essence du bois avec lequel je travaille, et ça, ça prends quelques mots de plus.

Moi - ........

***************
Hommage à OR et quelques autres.

Tag sur le blog de SP4M

Donc voici comment on va procéder: J'vais poser trois questions. Vous pourrez choisir celle que vous voulez en faisant parler chacune des parties de votre corps comme je le fais ici. Voici les parties que vous devez faire parler ci-dessous:

La Tête / L'Coeur / L'Pénis ou L'Vagin /


LES QUESTIONS:

1. Qu'est-ce que vous pensez des relations ouvertes ? Si votre conjoint(e) vous le proposait, vous diriez quoi ?

La Tête...
Certainement oui. Enfin quelqu'un qui sort de l'enfermement dans lequel les relations amoureuses nous enlisent. Moi l'exclusivité pis les droits de propriété, je m'en fous pas mal.
J'ai plus une tête africaine qu'américaine.
Le cerveau s'adapte à la routine et fini par ne plus ressentir, rien de mieux que la variété pour stimuler le cerveau.

L'Coeur...
Ma capacité d'aimer est grande et de ne pas la limiter, ça serait bon pour ma santé cardio. Et on aime jamais trop.

L'penis...
Je suis ouvert à toutes les expériences, l'idée d'être tenu par de nouvelles mains qui me tiennent m'excite et l'idée de faire connaissance avec de nouvelles vulves m'intéresse tout autant.


2. Quelle est pour vous la différence entre baiser et faire l'amour?

La Tête...
C'est du pareil au même. C'est juste une question de la politique. C'est comme dire fif ou gai.
Moi je sors mon discours de l'amour pour faire plaisir au Coeur mais au bout c'est les hormones qui contrôlent tout ça, bien plus que moi et de toute façon on se retrouve tout même entrain de baiser.
Faire l'amour est juste un peu moins intéressant parce que ça prends tout un set up, parfois ennuyeux, pour en arriver à la même finalité.
Pis généralement faire l'amour c'est des histoires de filles que les gars doivent apprendre à raconter.
On appelle ça la socialisation des instincts.

L'Coeur...
L'un ou l'autre c'est pareil pour moi. Je vis un moment d'intimité avec quelqu'un et ça me nourrit d'espoir d'un je ne sais pas toujours trop quoi. Mais entendre battre celui de l'autre j'aime bien, ça me relaxe et me fait un velour.

L'Vagin...
Se faire pénétrer est une agression pis pour pas me sentir trop dominé j'ai besoin d'un peu d'impression de tendresse. C'est plus fort que moi, c'est comme ça. J'ai besoin des histoires de mon coeur et de ma tête pour lubrifier un peu.

L'Pénis...
Un ou l'autre, ce n'est pas ça qui importe. Moi j'aime ça tight et lubrifié pis sans habit de latex. Je me crisse des histoires que racontent la tête et le coeur. J'aime ça surtout au début, lors de la pénétration, après, le vagin se décontracte un peu plus, et le feeling est moins fort. Même que parfois ça devient un peu plate. Mais ça je le dis pas.

3. Que pensez-vous du risque de disparition de la banane ?
La Tête...
Je ne savais pas mais ça ne m'étonne pas, elle n'avait pas l'air très bien ces dernières années, je l'a trouvait particulièrement verte.

L'Coeur...
Je ne peux croire qu'elle va me quitter, je ne suis pas prêt à ça, je l'aime tellement.

L'Pénis...
Une bonne chose de faites, il ne restera que le vibromasseur comme compétiteur, tant mieux. Merde j'oublais le concombre.

lundi 5 juillet 2010

Rien à dire...

Bien des choses ont été dites et bien dites.
Ma capacité de dire sur la vie est bien limitée.
Comment dire mieux ou autrement quand des génies ont déjà tout écrit?

Prenez Sartre qui disait que l'enfer c'est les autres. Je trouve que ce truc décrit bien ce que je lis sur la blogosphère. Même sous des allures d'introspection, la plupart des gens s'efforcent de démontrer que l'enfer c'est les autres.

Pour ma part, je me suis montré laid parce que je le suis. Mais de cette laideur, il n'y a pas de surprise, ou bien peu.

J'aurais pu avant de quitter vous faire la démonstration que sous la beauté immaculée présentée par certains se cache une laideur équivalente à la mienne et parfois même, un peu plus grande.
Mais je préfère laisser ces gens, qui font dans l'illusion de la pureté, à leurs histoires. Il est inutile de les mettre à nu. Laissons les s'orner de parures qui paraissent bien. Qu'elles restent dans le blanc.

Je ferme mon blogue demain. Il n'y aura pas de mot de passe, je n'écris plus de billets.
Celui-ci est le dernier, mon dernier mot.

Je suis peut-être le seul...

La blogosphère semble remplit de bonnes gens avec une morale irréprochable.
Moi je suis un fou, si il y en a un deux comme moi, manifestez vous.
La blogosphère est tellement normal que je me demande ce que j'y fais?
Vous êtes tous tellement de bonnes personnes.

Mon deuxième meilleur billet....

Celui qui précède.

Tu en as une grosse toi....

Lui - Oui monsieur, une 42 pouces en HD branchée direct sur le câble.
Moi- Ouin t'es puissant. Moi j'ai une 14 pouces branchée direct sur une antenne.
Lui, il ne dit rien, il est tellement fort qu'il ne lui sert à rien de répondre.

Je manque de virilité, maudit.

Avant ça prenait un char pis là... ça prends une télé.

Moi j'ai une radio à batteries sur mon vélo.

Ce qui me console c'est qu'au travers de mes antennes , la poupoune de l'heure impressionne moins. Ainsi Scarlett Johansson à travers la neige et la déformation du signal semble banale.

L'esthétisme fout le camps, il reste le propos.

Pour le propos, on a pas encore inventé le HD.

dimanche 4 juillet 2010

Top un....

J'ai relit mes billets et il n'y a que la belle débile que mérite d'être édité à nouveau.
Si il ne pouvait qu'avoir le dixième de la beauté de cette belle débile, il serait réussi.

Quelques conneries encore et..je disparais.

Mon plus grand plaisir sur la blogosphère aura été operationreboot.

Le pire, l'omniprésence des femmes, que c'est emmerdant et d'une platitude sans nom, comme les produits sans marque du marché Métro. Tu sauves une piasse mais ça goute la merde.

La meute...


Après cette guerre ridicule, je vois la meute qui se lèche les plaies entre elles et c'est avec compassion que je regarde retomber la poussière.

Après la création d'un abuseur, elles semblent ressentir le besoin de se créer une immaculée, une femme habillée d'une robe blanche sans tache, presque la vierge Marie.

Sérieusement, c'est avec compassion que je les regarde aller.

Si ça peut peut réparer leurs blessures, bien antérieures à ce conflit, tant mieux pour elles.

Mon numéro un: Une belle débile....

Celui là est mon plus beau je crois. Cette jeune fille était magnifique. J'espère que vous sentirez sa beauté..


Épuisé, le nez écrasé sur la vitre de la fenêtre d'autobus, mon cerveau ne tente même pas de traiter les images qui défilent devant moi, mon regard est vide laissant toute la place à rien. Je dois ressembler à un usager catatonique.
Une voix me sort de cet univers, une voix d'une fillette d'environ 7-8 ans.

Je l'imagine avec sa mère.
Je me retourne pour la regarder, un peu nostalgique du temps ou ma fille avait cet age.

Elle est superbement belle, elle à l'air d'une fille des années 50, cheveux brun-roux coupés au carré à la nuque , de chaque coté, sur ses joues, ses cheveux font une courbe, comme un tremplin de saut à ski.
Du fond blanc immaculé des ses yeux, un vert étincelant m'hypnotise, ces lèvres pulpeuses colorées d'un rouge vif m'achève.
Elle est élégante, tout est bien placé.
Je n'arrive pas à détacher mon regard de son visage, c'est trop agréable. Je resterais là comme ça, à la regarder longtemps sans me fatiguer.
Ça me gène un peu, alors je me détourne mais j'y reviens sans cesse brièvement, comme un voleur.

De sa voix de gamine elle raconte à ses amis qu'elle s'est rendue au métro Viau et pie-i-x, elle ne sait pas comment le dire leur explique-t-elle en riant d'elle-même.
Alors je l'a regarde et je lui dis que c'est le métro pie neuf, c'est en chiffre romain.
Ha!!!! disent les trois, c'est en chiffre romain, ben oui i-x, c'est neuf, dit un des garcons. Et ils rigolent tous ensemble.

En fait, elle a autour de 17 ans, elle doit souffrir d'un déficit intellectuel. Elle est accompagnée de deux camarades d'école qui eux, porte les traces de leur affection dans le visage et dans leur tenue peu soignée. Mais elle pas du tout, elle se tairait et on croirait être devant une déesse.

On arrive à la station Laurier, elle empoigne la barre pour s'aider à se lever, ce faisant, son poignet se dénude pour laisser voir une jolie montre. Décidément elle a beaucoup de classe cette jeune fille. Je me demande ce que ressentent ses parents.

Ils doivent être fier d'elle, je crois, malgré cet handicap.

Mon top 4....

Comme je quitte bientôt j'ai décidé de faire mon top 10 de mes meilleurs billets.
En fait c'est plus un top 5, j'en ai pas trouvé 10.
C'est même un top 4, parce que je n'ai pu retrouver le billet qui illustrait le mieux ma conception de la blogosphère et comme je suis paresseux, bien, je le laisse aller.

C'est curieux mon top 4 parle de filles.

Je vais corriger mes fautes et les retravailler un peu et les éditer à nouveau.

Ces quatre billets réunis n'ont eu qu'un commentaire.

C'est fou....

samedi 3 juillet 2010

C'est bon....

C'est bon cet article.

Le plus dur...

Vous ne savez pas alors je vous raconte.
Premier juillet, peu importe ce que ma fille dit, je sais que ma présence sera utile.
Alors vers 10h00, je prend l'autobus, j'enfile le 2.75$ dans le trou et je me dirige vers l'arrière de l'autobus pour m'y assoeir. Je dois descendre à Darlington mais je ne connais pas ce coin là.
Moi - Bonjour Monsieur...
Lui - Non, non, j'ai pas d'argent.
Moi - Ben je ne voulais pas vous demander de l'argent, vous connaissez Darlington?
Lui - Non.
Moi- J'ai l'air d'un quêteux?
Lui- Ben les bonjour monsieur d'habitude c'est pour demander. Je m'excuse.
Moi- Il avait un accent. Vous êtes d'origine de quel pays?
Lui- J'aime mieux ne pas en parler.
Moi- Pourquoi?
Lui- Sur un ton de plus en plus irrité, parce que je ne suis pas d'humeur aujourd'hui et je subis trop de préjudices.
Moi- Ha ok, je comprends.
Je me retourne pour demander à un autre si il connait la rue Darlington, il tarde à me répondre. J'insiste, son visage devient agressif mais comme je trouve qu'il n'y a aucune raison j'insiste à nouveau. Il finit par me répondre.

Le pire dans tout ça ce n'est pas que je sois un quêteux, c'est que visiblement je commence à en avoir l'air. Et ça pour l'égo, ça crash fort pas à peu près. Maudit.

Bon....

Les accusations de harcèlement ont été retirées.
Elles devaient l'être parce qu'elles étaient fausses et je ne voulais pas quitter avec cette étiquette collé au front.

Vous êtes plusieurs à ne pas m'aimer. Dites ce que vous voulez sur moi dans vos MSN messenger et truc du genre, je m'en fous mais si vous parlez en mal de moi dans un espace public soyez certains que je si j'en prends connaissance, je vais au moins vous demander de m'expliquer votre truc.

Moi, Michel, je peux défendre chacune des phrases que j'écris, en discuter du moins et m'en excuser si il le convient. Je ne censure personne et j'accueille tout le monde.

Les insultes par blogue interposé pour moi c'est de la lâcheté et c'est un comportement que je trouve méprisable.

Je crois que le tour est fait et qu'il est possible maintenant de passer à autre chose.

Pauvres gros monstres...

Semblerait que Laurie Anderson, Lou Reed et John Zorn se soient fait huer hier.
Moi ça me fait chier de ne pas avoir su qu'ils étaient à Montréal.
Une critique ici dans cyberpresse.

Édifiant...

L'humain est pas trop édifiant.
Rien de mieux à présenter?

vendredi 2 juillet 2010

Ma limite...

Les gens peuvent me traiter de malade mentale, de no life, je peux accepter.
De psychopathe, c'est un peu plus dur à avaler mais bon, la personne n'est pas psychiatre et probablement qu'elle n'a aucune idée de l'accusation qu'elle vient de porter. Je range cela dans l'idiotie.

Mais m'accuser d'avoir commis un acte criminel publiquement, je crois qu'il doit y avoir une suite à ça et j'entends bien ne pas me faire accuser de crime sans réagir, si cela s'avérait vrai les conséquences pour moi pourrait être grand.
Alors j'entends prendre les démarches nécessairement pour que des accusations pouvant être portées au criminel ne soient pas faites de façon indue.

J'ai envoyé un message à FrankyBgood dans son billet 2 dodos pour lui parler de son diagnostic de psychopathe, il a effacé mon message. Il ne réponds pas de son diagnostic. Ça dit beaucoup sur lui.

J'ai envoyé un message à Renart aussi mais il verra bien de lui-même lundi dans l'arbitraire auquel il s'est embarqué naivement si je dois éditer faute de retrait d'accusation de harcèlement.

Une bien drôle de victime...

Le 30 juin elle m'accuse de harcèlement et menace de me poursuivre.
Elle m'écrit un e-mail le même jour. Écrire à son harceleur?
Je ne l'édite pas, je l'éditerai si elle n'a pas retiré ses fausses accusations d'ici lundi.

Elle prétend aussi que je m'en prend aussi à d'autres blogueurs dont Renart. J'entends donc aussi éditer les mails qu'elle me faisait parvenir lorsque mes interactions avec Renart étaient chaudes. Ils feront la démonstration qu'elle était loin de me reprocher d'être abusif envers Renart.

J'accepte bien des étiquettes mais celle de harcèlement je l'a refuse à moins qu'elle soit démontrée.

La création hystérique d'un abuseur....

Il arrive parfois qu'une victime qui n'en n'est pas une se crée un abuseur qui n'existe pas.
C'est ce que fait Éléonore dans son billet Harcelement: Assez c'est assez.

Il est intéressant de voir ce que les gens lui répondent.

Flocons de bonheur , sans être méchante affiche son parti pris...j'ai tendance à te croire toi, plutôt que lui.

JF l'internaute dit Ce type me semble bien avoir un problème. D'aucun dirait qu'il est pas mal bizarre.

Éléonore revient à la charge en disant je tente de l'ignorer depuis le mois de décembre, cependant j'ai su de diverses manières qu'il me lisait avec assiduité et qu'il ne cessait de mettre des liens vers mon blog, j'ai même eu des visites à cause de cela.

Rainette plus affirmative, ajoute Alors le malade continue son petit manège ? Quel no-life !
Courage ma belle. Au moins tu sais qu'on ne le croit pas et on en a rien à foutre de ce no-life du web!

FrankyBgood lui plus incisif ajoute Ce type est un psychopathe. Il souffre clairement de maladie mentale.

Missive un peu plus gentille C'est triste de voir ce qu'il est devenu. Quand je l'ai connu (et connu est un grand mot) et bien, mis à part un profond besoin d'être lu, cru et reconnu, de ne voir que SON côté des choses , il fonctionnait encore assez bien en société.

Le petit hibou se questionne Changer, c'est le mot que je retiens aussi.
Ou bien il n'a jamais démontré sa vrai personnalité avant, Ou bien il est dans une délire de personnage, Ou bien il vieillit et devient aigris, Ou bien il transfère tout sur toi (HaHa!) Ou bien ou bien ou bien.. Il fut jadis quelqu'un d'agréable à «cotoyer». Dommage.

Lise a dit....je suis allée sur son blogue et ses derniers billets m'ont fait frémir, pas dans le bon sens du terme.
Et c'est pas fin de l'écrire mais ça me console de savoir qu'il y a des gens plus perturbés que je le suis...

Je vais moi aussi prendre des mesures pour que cesse cette accusation de Harcèlement tout à fait ridicule.

Quant à mes liens incessants sur Éléonore, les voici...
Février 2010 suite à un courriel qu'elle m'avait envoyé. Y'a des mots parfois de trop
Mars 2010 suite à une allusion déplaisante qui m'était destinée. Le billet est Le fiel d'Éléonore
Et bien sur en juin 2010 un billet suite à ses accusations de harcèlement. Celle qui a...
Ce billet elle l'a rédigé après une réponse que j'ai fait dans son billet ou elle parle de s'introduire dans la vie des gens.


Alors voilà, 2 billets et une réponse constitue un motif à crier au harcèlement.
Je lui demande de se rétracter ou de produire sa preuve. Elle doit bien avoir nos courriels, qu'elle les produisent, je ne suis pas inquiet.

Quant aux autres, je pense que FrankyBgood doit me répondre de ses paroles et je compte bien m'entretenir avec lui car traiter quelqu'un de psychopathe et de malade mentale, ça mérite à tout le moins clarification. Si il s'agissait d'un diagnostic , ça irait mais lorsque ce sont des propos haineux il y a matière à confronter surtout au nom des gens qui souffrent de maladie mentale, ces attittudes démontrent bien les forces d'exclusion et de stigmatisation dont on affublent encore les personnes qui éprouvent des problèmes de santé mentale, et les propos haineux qu'ils doivent encaisser, jour après jour, non?

jeudi 1 juillet 2010

Petite fille...

Moi- Ne balayes pas partout comme une petite fourmi. Fais toi un petit cocon, arranges ton lit, commandes ou va acheter de la bonne bouffe et regarde le film que je t'ai prêté.

Conseil d'un père à une jeune fille qui vient de vivre l'enfer du 1er juillet, qui finalement n'était pas si mal.

Montres moi ton cul...

J'ai rencontré ma fille aujourd'hui et on jasait. Elle avait des jeans avec de la dentelle et elle disait que le gras sortait par les trous de la dentelle.

Moi- Montre moi. Elle se lève et me montre des cuisses divines comme celles qu'on peut avoir à 18 ans.
Montres moi tes fesses. Elle se retourne et me les montre.

Certains penseront que c'est pervers mais pour moi qu'elle accepte de me montrer ses fesses à 18 ans, ça veut dire beaucoup.

Par contre ma réponse fut un peu conne, elles ne sont pas comme celles des latinos qui ont un gros cul en général.

La moral de l'histoire?

La confiance.

Pis là on parle de cellulite et de féminisme. La conclusion?
Un gros cul plein de cellulite c'est winner politiquement mais esthétiquement c'est moins évident.

Et on revient à l'intériorité, à la beauté de l'âme.

Rien à faire, ni pour elle, ni pour moi, l'esthétisme ne se trouve pas dans ce qui dépasse des trous de la dentelle.
Moi- Ben madame dans 20 ans, tu vas miser sur quoi?
Elle- Ben à 38, ça devrait être encore bon.

L'entrée au CEGEP c'est une question de jeans, je l'imagine en philo devant Nietzsche, ça va brasser dans baraque, ben ça, si elle enlève ses écouteurs pis ferme son cell. Et ça je ne sais pas si elle peut le faire.

On verra bien,c'est à suivre.

mercredi 30 juin 2010

Mon dernier 14,95$....

Je vais écrire beaucoup d'ici la mi-juillet.
Là j'ai une menace de poursuite au cul pour harcèlement.
Moi ce que j'aimerais c'est deux semaines de commentaires à zéro et mon truc de mesure des visites à zéro aussi.

J'écris pis on ne me lit pas.
J'aimerais écrire dans un espace publique et être ignoré.
Bahhh, écris un journal personnel, mais non.

On ne parle pas du gars qui va à la shop au salaire minimum. Vous connaissez Andy?

Non, vous le connaissez pas, pourtant il occupe l'espace publique.

Alors je suis un gars de shop de la blogosphère, je n'ai pas besoin de vous demander de ne pas m'écrire, ne venez pas me lire.

Ignorez moi avant même que je m'efface, faites descendre ma moyenne de 42 à 0 en deux semaines.

Là je pars à 44, je vais assurer le suivi, jusqu'au point zéro.

Laissez moi écrire dans une espace publique tout en m'ignorant totalement comme on sait très bien le faire pour plein de gens qui marchent dans la rue.

Laissez moi être le quêteux de la blogosphère que l'on tente d'ignorer.

Passez votre chemin en regardant vos souliers.

Aller mettez le compteur à zéro.

1-2-3 go

Putain..

Ma cote est à 44 visites par jour.
C'est plate à la télé?

188...


Bouton A, je pèse dessus, 188, sur l'écran 176.

Je ne vais pas végéter là sur une chaise, m'en va aller jaser avec Suzanne.
Vous connaissez, sur le Plateau c'est une vedette, le dépanneur Léo, le plus beau de l'univers. De lanaudière, un brin au nord de Saint-Joseph. Si vous êtes de Montréal, faut aller voir.

Pendant qu'à la Caisse Pop les numéros défilent, Suzanne et moi parlons de cancer, d'accompagnement aux mourants, tout les deux s'avouant impuissants devant la vie d'une personne qui se termine. Quoi dire d'autre?

Je sens mon numéro, je quitte, à travers la vitre de la caisse, je vois à l'écran 188, wow, je suis chanceux sinon j'aurais du faire un autre tour.
J'arrive à point, la caissière est jeune et jolie, je l'aurais bien prise, mais je prend la chaise, ce qui est plus convenable socialement parlant.
Elle - J'allais appeler le numéro suivant.
Moi- Je suis chanceux, j'arrive juste à temps et en plus vous êtes la plus jolie.
Je sors mes deux cartes essentielles à tout être social sans cela vous n'existez pas. Ben vous existez pour être collecté, mais pour être payé.
Je suis un sans compte.
Elle- Bien avoir un compte de banque est un privilège pas un droit.
Moi- Oui je sais, vous changez mon chèque par obligation.
Elle- Oui la loi nous y oblige.
Moi- oui je sais bien, je le sens à chaque fois que je viens ici. Vous n'auriez pas l'obligation que vous en seriez heureux.
Elle se lève pour chercher mon 595$ pas gagné, j'en profite pour lui regarder le cul, qui n'était pas si mal. Elle revient et étale ma fortune devant moi. Il manque 2$, je ne l'aurais pas vu, elle oui.
Moi- Demain, je n'ai plus rien.
Elle- Ben oui.
Moi- Venez me voir rue Laurier ouest demain.
Elle n'a rien dit.

Alors avec mon magot je retourne au dépanneur Léo.
Moi- Je vais prendre 1$ de bonbon. Il y a 30 contenants, je dis un de chaque. Elle me fusille.
Elle- Elle a quel âge?
Moi- 10 ans.
Je l'a laisse choisir, ma fille à 18 ans, je trouvais ridicule de le dire. Des bonbons et 10 ans, ça me semblait mieux.
Un peu plus tard, Parc Laurier, ma fille arrive, après quelques mois d'absence physique, on discute comme si on c'était vu hier et elle bouffe ses bonbons entre deux appels de cell.

Elle est belle et sexy et lorsque je lui ai parlé de l'importance de l'intérieur, elle m'a dit, ben à la maison je suis en T-shirt.
Je vous ai dit qu'elle est blonde naturelle?
Pis elle rajoute moi le matin, 5 minutes pis je suis prêtes.
Moi- Ha oui.
Elle- Ben après avoir mis ma crème, pis ceci et cela.
Finalement son 5 minutes, c'est après le 55 qui précèdent. Elle est drôle cette Miss poupoune.

Bref, une belle retrouvailles, je suis heureux ce soir.
C'est le bon temps pour me confronter, il y aura une fleur au bout de mon canon.

Cele qui a (2)...

J'invite Éléonore à éditer tout les autres écrits harcelants qui la concerne.
Il me fera plaisir de les lire.

D'ici là j'ai peur d'entendre cogner à ma porte et de passer la nuit au Centre opérationnel. Surtout que demain on est le 1 juillet, férié, après c'est le week-end. Je vais rester en cellule jusqu'au lundi suivant avant de comparaitre devant un juge, 4-5 jours en cellule, je sais que c'est peu pour l'odieux de mon crime, mais ça reste tout de même pas facile à vivre. Je vais manquer Docteur House et quelques autres bonnes émissions.

Faut s'assumer, tout part de là. Alors si j'écris pas dans les prochains jours vous saurez pourquoi.
L'idée de me tremper les doigts dans l'encre noir me donne la nausée, sans compter que je suis pas photogénique et je me demande le numéro sur la petite pancarte qu'ils me donneront. J'espère qu'il y aura un 9, c'est mon chiffre chanceux et mon profil gauche est mieux que le droit.

Celle qui a...

Celle qui s'est permis l'accès à ma boite e-mail pendant des mois parce que je lui avais donné mon pass pour une signature s'interroge, peut-être pouvez vous l'aider à résoudre son dilemme?

Pour ma part, il n'y en a pas, il s'agit d'une personne intrusive de l'intimité des autres.

Le billet de cette vertueuse personne se trouve ici.

mardi 29 juin 2010

Pour en finir avec les mamelles laiteuses...

Lorsque je parle de mamelles laiteuses je ne parle pas principalement des femmes, je parle de relation d'aide et c'est métaphorique.

Crisser sa mamelle laiteuse dans la bouche d'un souffrant n'est pas toujours la meilleure solution.
C'est quoi cette pensée magique que le lait maternel apaise tout les maux?

Et curieusement vous étiez plusieurs à vous scandaliser de celle qui pratique le nursing avec son conjoint. Pourtant symboliquement vous êtes nombreux à sortir le sein pour n'importe quoi.

Je me sens coupable, mais non, tu es une bonne personne, etc, etc. Qu'est-ce que tu en sais vraiment? Rien, le lait sert à faire taire. Et c'est parfois approprié mais pas toujours.

Ce que je décris lorsque je parle de mamelles laiteuses c'est cette fausse croyance que pour aider quelqu'un il faut vite faire taire la souffrance et ça, on observe ce truc surtout chez les femmes et comme elles occupent , en majorité le champs de la relation d'aide au Québec, ben des gens se retrouvent avec un mamelon dans la gueule sans avoir eu le temps d'exprimer leur souffrance.

Moi je dis, gardez vos seins dans votre soutien-gorge et laissez la personne exprimer sa souffrance sans chercher à la faire taire, sortez vos oreilles à la place.

Et vous mesdames vous pensez que je suis misogyne et que je méprise, mais non je parle de relation d'aide.

Mais comme cela vous offusque vous êtes incapable de voir que votre sein magique ne l'est pas.

Alors ceux et celles qui veulent vraiment parler de relation d'aide, je suis bien ouvert à une discussion intelligente.

Mais vous devrez accepter de remettre vos seins dans votre machin truc et d'ouvrir vos oreilles.

Les aidantes au Québec ont généralement de gros seins mais de toutes petites oreilles.

Voilà, le tour du sein est fait et bien fait, pas le sein là, mon tour sur la relation d'aide.

Un autre proverbe africain....

Il vaut mieux montrer du respect pour les mamelles de la lionne sinon elle risque de sortir ses griffes.

C'est Umdou Dalou qui me l'a dit, un sage africain qui ne fait pas dans le foot.

Je quitte bientôt mais vous ne pourrez me traiter d'avare quand même.
D'ici la mi-juillet, je vous en donnerai pour un an.

Un beau proverbe...

Je viens de lire un proverbe africain qui dit...
Lorsqu'un homme se retrouve devant un crocodile qui risque de lui couper la jambe, il devient insensible à la piqure d'un maringouin. Et lorsque la menace du crocodile est disparue, le maringouin, le ventre bien gorgé de sang, s'excuse de sa piqure par peur d'être écrasé..

C'est intéressant et inspirant, non?

Vous aurez compris que ce proverbe n'est pas africain, il est de moi, il m'a été inspiré par Un gars décu. Il écrit chez La ténébreuse silencieuse ceci...

Nina est un des spam-bot pour lequel on active la protection "aqwdst" que certains haut-pensant juge tout à fait déraisonnable.

Bon, il peut me mépriser indirectement, par blogue interposé, généralement on le fait par peur, le direct étant trop menacant.

Ce n'est pas un reproche, c'est tout à fait adapté pour un maringouin, tu piques et tu crisses ton camp avant de te faire écraser.

Mais le maringouin, si petit soit-il, devient aussi grand qu'un loup lorsqu'il se trouve une meute.
Il ne pique plus, il mord.

Moi la clique de la blogosphère ne me fait pas peur, venez en grand nombre me mordre, mon blogue est ouvert jusqu'à la mi-juillet, venez vous amuser en direct, rire derrière votre écran comme So much a dit, pourquoi ne pas vous payer un peu de croustillant avec votre sac de popcorn. De toute façon la programmation télé estival est plate, venez il y aura du direct.

Vous préférez la lâcheté du mépris exprimé indirectement, allez n'ayez pas peur, en meute vous gagnerez, c'est certains. Ça prend juste un premier qui ose mordre, le second arrivera plus facilement, et lorsque je serai affaibli, le plus lâche viendra terminer le travail.

Alors qui est le premier?

Toi le gars déçu qui me méprise par blogue interposé, je ne crois pas, qui d'autre?

Allez, un petit 15 jours de plaisir gratis.

Vous aurez compris que mon proverbe africain parle de lâcheté.

La rupture...

Un court billet d'opération reboot me replonge dans ma dernière rupture amoureuse.
Nous baisions et je savais que c'était la dernière fois.

C'est une drôle de sensation d'avoir la queue qui baigne dans la lubrification du vagin d'une fille que tu aimes et que tu trouves belle tout en te disant que cela ne se reproduira plus.

Je me demandais à cet instant là, si elle le savait elle aussi, mais je ne lui en ai pas parlé, elle non plus d'ailleurs.
Je ne voulais pas mettre de mots pour mieux profiter du moment. Son cul était comme une dernière part de gâteau que tu manges avant d'entreprendre une diète, la langue ne sert pas à parler, elle se concentre à lécher les dernières miettes dans l'assiette.

Baiser sans savoir que c'est la dernière fois, est-ce mieux?

Quelques personnes profitaient du beau temps pour faire une balade à moto. Une voiture devant eux freinent pour éviter de tuer de jolis canards et ce fut leur dernière balade.

Je me demande si cette randonnée n'aurait pas été plus profitable si ils avaient su en mettant leur casque, que c'était la dernière.
Peut-être auraient-ils décidé de ne pas en mettre pour mieux profiter de ce dernier moment et laisser leurs cheveux flotter dans le vent

Moi c'est ce que j'avais choisi, je lui ai demandé si je pouvais ne pas mettre de condom, elle m'a dit ok, mais ne viens pas en moi.
Je ne suis pas venu en elle et, je ne suis jamais revenu.

En me réveillant le matin, dans la poubelle, à côté de mon lit, il n'y avait rien, même pas un condom usagé, aucune trace, une relation effacée. Les seules traces sont des souvenirs, pas d'artéfacts, même pas en latex.

Il y avait un léger saignement du coeur aussi, mais le cardiologue m'a dit qu'il n'y avait aucun saignement. Alors!

lundi 28 juin 2010

C'est dommage....

Depuis que j'ai pris la décision de ne plus écrire dans des blogues qui modèrent, censurent par le fait même, il m'arrive d'être déçu de ne pouvoir répondre bien que le billet de la personne m'inspirait.

Ainsi une blogeuse a fait un billet sur une pub qu'elle trouve ridicule. Une gomme qui hydrate la bouche. Comme si on avait besoin de ça dit-elle.

J'avais le gout de répondre qu'effectivement c'est ridicule, une gomme qui hydrate la vulve serait beaucoup plus utile. Mais bon, je n'ai pas pu puisqu'elle modère. Dommage j'aurais pu participer à élever le niveau du billet.

Ha la censure, ça bloque les conneries mais malheureusement ça bloque aussi les propos intelligent.
C'est la vie.

Le second degré...

Je réalise que je saisi mal le second degré et je me sens un peu idiot.

Prenons Lise Dion, j'ai vu une pub d'un de ses vieux shows. La joke est la suivante, en parlant de son chum... Je l'ai ramené chez moi, y pissait partout faque je l'ai retourné.
Tout le monde rit, moi aussi d'ailleurs, c'est plutôt drôle.

Bon, il y a deux degrés, un premier et un second. Mais en dehors du rire gras, je n'ai aucune idée du message à chacun de ces deux degrés.

Le second serait l'absurdité d'une situation?

Et si on ne faisait pas de blague et qu'on tentait d'identifier le message, une fois nettoyé de l'absurde, quel serait-il?

Girl power? Je décide de l'arrivée ou du départ de mon chum selon mes critères?

Les gars sont comme des chats, ils se foutent que la litière ne soit pas propre tandis que les femmes sont comme les chattes , elles ne supportent pas une litière mal entretenue?

Quel est l'essence ou l'âme de la joke?

Parce qu'il y a un sens, non? Je reste confus.

À moins que cela ne soit que juste pour rire et sans sens?

dimanche 27 juin 2010

Redevable oui, mais de quoi?....

Dans un de mes billets, un répondante écrivait qu'elle se sentait redevable et qu'elle répondait donc aux questions des gens à qui elle quêtait.

Redevable, je n'y avais pas pensé en ces termes. Sur le coup j'aurais pu répondre c'est idiot comme point de vue, un reçu pour don de charité tant qu'à faire?.
Mais j'y ai pensé un peu plus.
Et j'en arrive à ceci...

Redevable à qui et de quoi?

Personnellement dans mes quêtes mon mot d'ordre est respect.
J'ai la chance de pas quêter dans des états ou je suis en manque pressant d'alcool ou de drogue. Alors cet empressement d'obtenir de l'argent pour taire des symptômes dont tu as l'impression qu'ils te tueront n'est pas mon cas. Je peux être en manque de nicotine mais ça, ça se tolère assez bien.

Alors je me sens redevable aux gens que j'aborde, pour leur demander quelque chose, de leur demander avec respect, politesse et sans m'imposer à eux, ce qui pourrait les intimider (bien que l'intimidation est visiblement payante, ce n'est pas mon style)

Mais je ne me sens pas juste redevable à ceux à qui j'ai demandé, à ceux aussi qui ne veulent pas être importunés par un quèteux , généralement je les reconnais après un passage et après deux, je sais si ils préfèrent que je les ignore. Ce que je m'empresse de faire.

Redevable aussi de témoigner du respect pour les commerçants de la rue ou je quête, c'est dans mon intérêt. Respect envers les autres quèteux, ça aussi c'est dans mon intérêt, ainsi qu'envers les policiers.

Mais redevable de parler de mon intimité, non, jamais je n'ai senti qu'une ou deux piastres pouvait acheter cela.

Bien sur avec les habitués, on fini par allez plus loin mais avec parcimonie pour ma part.
D'ailleurs pour la plupart, j'en sais plus sur eux, qu'eux sur moi. Et la plupart des habitués donnent sans demander, ils ne veulent pas plus que cette courte transaction.

vendredi 25 juin 2010

Mise au point...

Un gars voulait m'offrir une pièce de 2$ mais il voulait connaitre mon nom.
Je lui ai dit que ça ne le regardait pas et que j'en avais rien à foutre de son 2.

Quand tu fais la rue, que se soit en quêtant ou en faisant de la prostitution, de la prison aussi, tout ce qu'il te reste c'est ton identité et ton intimité psychologique parce que le reste, tu en as perdu beaucoup. Cela donne un plus value à ce peu qu'il reste.

Je n'ai rien à répondre à vos questions qui reposent sur une curiosité que je trouve un peu intrusive. Lorsque je parle de la rue, c'est parce que je le choisi et je dis bien ce que j'ai le gout de dire.

Pour ce qui est de vos hypothèses et de vos jugements de valeurs, je les subies, comme je le fais dans la rue.
C'est ça la marginalisation et le mépris des marginaux.

Mais honnêtement, j'en ai rien à faire et vous pouvez vous les foutre dans vos culs bien gras, bonnes genses.

C'est un peu rude mais là rue est rude et les faux bons sentiments sont emmerdants.

Mais je peux comprendre, parlez entre vous, gens de bonnes moeurs, indignez vous ensembles et ne gaspillez pas de votre temps à insulter des gens minables.

Un pétard et un cell....

J'ai parlé avec ma fille 20 minutes, elle s'est fait aborder 3 fois par des hommes dont deux lui ont laissé une carte.
Est-ce qu'il y a une invasion d'hormones à Montréal?

Point xxx...

Semblerait qu'un organisme qui gère le nom des domaines internet autoriserait l'utilisation du point XXX pour les sites pornographique.
Cela suscite des débats et les pro XXX prétendent qu'il sera ainsi plus facile de contrôler les sites pornographiques.

Personnellement, je m'en fous pas mal. Mais je leur ai envoyé un mail ou je leur demandais d'autoriser l'utilisation du point con. J'en connais plusieurs dont cette terminaison dl'adresse électronique conviendrait tout à fait.

J'attends avec impatience leur réponse. Je vous en donnerez des nouvelles.

jeudi 24 juin 2010

Les bourgeois c'est comme des cochons...

..plus ça devient vieux plus ça devient cons.
Ma vie, mes métiers m'ont fait rencontrer plein de gens et plusieurs sous la tutelle de la Sécurité Publique.

Je me souviens de ce mec et de son regard lorsque je lui ai dit que je mettrais bien un contrat pour éliminer la mère de ma fille. Moi, je le disais pour me défouler, lui ne rigolait pas de ces trucs parce que ce genre de trucs faisaient parti de sa vie et que quelques uns avaient payés de leur vie pour avoir prononcé des paroles semblables. À son regard, j'ai très bien saisi le message.

J'ai partagé avec vous le fait que je quête, prenez ces billets comme un cadeau. Ils sont rares ceux qui peuvent en parler sur internet.

Mais la rue fait tellement baver que je n'accepte pas qu'on utilise ce truc contre moi. Drew l'a fait, Enzimore, un nick du genre et là Newton s'y frotte aussi.

Ce n'est pas une bonne idée de m'emmerder avec ça ici. Je vous conseille de passer votre tour.

Il y a des choses avec lesquelles on ne joue pas, et celle-là en est une.

Vous êtes avisé. Je vous le dis, j'en parle peu et lorsque j'en parle, prenez le comme un partage mais ne vous en servez pas contre moi.

Ma limite est là.

Alors vous gros bourgeois un peu con, gardez vous une gêne ici sinon je vous trancherez le cul en lardons, cul que vous avez déjà très gras.

mercredi 23 juin 2010

S'assoeir et dire....

Juste dire, sans forcer, simplement comme si il existait une tradition.
À force de vouloir tout réinventer, on fait du surplace.
Et c'est dommage, le Québec disparait.
Bonne Saint-Jean, c'est un minimum.
Au delà de ça, you just do not exist anymore.

Je peux...

Moi- Je peux m'assoeir avec vous?
Elle - J'attends mon chum.
Moi - Dommage., et je continues mon chemin jusqu'à un banc de parc et je la voyais qui attendait son chum. Après une clope, je me suis dis allez reviens à la charge. On peut bien parler quand même.
Alors je me suis assis sur le gazon, juste à côté d'elle. Elle parlait à son cell, je me suis fait muet le temps qu'elle décroche.
Et on a parlé comme je vous parle. Aussi idiotement. Elle avait de la misère à me suivre, moi pas, je sentais son malaise. Elle écrit sur wordpress un blogue sur l'art culinaire, je ne lui ai pas demandé l'adresse, je voulais profiter du moment sans aucun besoin de continuité.

Ma présence lui causait un malaise, c'est fou ça, je suis trop vieux maintenant et trop décrépi pour ce genre de truc.

Toujours est-il que son chum arrive et je le connais, mais je ne sais plus de ou?
Et je n'ai pas cherché à savoir.
Pauvre fille, elle a du se taper 15 minutes de conneries.

Ma vie est comme un jeu de dards, je ne veux plus faire en périphérie, je vise le bulleye et j'ai l'air fou.

Je deviens de plus en plus insupportable.

J'ai adhéré à Québec Solidaire et la fille avec qui j'ai jasé. à ma demande m'a confirmé que j'étais l'être le plus désagréable qu'elle a rencontré. Elle a gagné son 5$.
Mais franchement, elle parlait de féminisme et de démocratie.
Bon, elle avait de beaux yeux mais quand même, c'est un peu vide comme concept. Elle n'arrivait pas à me situer les proportionnelles dans l'échelle des priorités.
Mais elle était tellement belle que j'ai déboursé 5$ pour bien peu de chose. Mais tout est relatif, j'ai foutu 3,50$ de jambon aux poubelles pour l'avoir oublié sur le comptoir. Pourquoi pas?

Ne pas avoir l'air fou....

Je croise ma voisine en sortant de chez moi pour ne pas avoir l'air plus fou que j'en ai l'air, je n'ai rien dit mais j'avais senti la secousse.
Ça me rassure de lire ça.
Je suis un peu moins fou que je ne le pensais.

mardi 22 juin 2010

Mon palmares....

Novembre 2008, j'écrivais mon premier des 640 billets que j'ai écrit.
J'en ai déliré plusieurs, presque tous et ils sont rare ceux dont je suis fier. Il y en a peut-être 5-6. J'ai souvenir de cette belle jeune fille très chic avec une déficience intellectuelle. Je n'ai pas relu ce billet là mais il doit être suffisamment bon.
J'ai aussi vu l'hommerie sur la blogosphère et il serait ridicule de s'en offusquer puisque la nature humaine est comme ça.
J'ai bien rit de ces gens qui en meute me délaissaient par solidarité d'un ou d'une membre de la meute que j'avais offensé. Au début, plusieurs me référaient et peu à peu ils me supprimaient en me disant que j'étais nul à chier. Ils m'ont bien fait rire, ces enfants là.

Je quitte bientôt et j'ai le gout de faire un palmarès de certains blogues. Le voilà....


La plus belle plume...
Bien sur il s'agit de Opérationreboot. Il se fait rare mais chacun de ces billets est du bonbon. Et je sais aussi que c'est une belle personne. Par contre, je ne le crois toujours pas. Je ne crois pas qu'il soit une aussi jeune personne qui étudiait en actuariat. Mais cela importe peu qui il est vraiment, c'est non pertinent. J'aime son écriture, point.

Miss Klektik aussi m'a beaucoup impressionné. J'entrais dans un univers qui m'était inconnu et sa façon d'écrire me fascinait. Je devais lire et relire ses billets pour en saisir toutes les nuances.
Et un moment donné je fus agacé par la mise en valeur de la sensualité de son personnage qui menait à tout coup à la souffrance de l'abus. Cette juxtaposition d'une féminité forte associée à l'abus a fini par m'exaspérer. Mais j'ai bien aimé. J'ai apprécié sa tolérance qui a fini par s'user. Mais je ne lui en veux pas pour ça.


Celle qui s'enlise dans une incessante complainte interminable....
Le choix est facile, Âme tourmentée. Que j'ai trouvé lourd cette répétition incessante de plaintes interminables. Un puits sans fond.
Et au nom de sa victimisation, c'est une des personne les plus méchantes que j'ai fréquentées sur la blogosphère. Il faut savoir que les victimes sont de redoutables agresseurs.


Le blogue qui fait le plus dans un second degré...
Comment ne pas parler de Pat Duval. Je ne suis pas capable. Comme homme, je me suis battu pour être père, pour être homme. Et je n'arrive pas à saisir le second degré de son humour qui ne cesse d'humilier l'homme. D'ailleurs, la majorité de ses lecteurs sont des femmes. Pour moi c'est révélateur. C'est un clown au service des préjugés ridicules qu'on entretient envers les hommes. Ironiquement, le titre de son dernier billet est...Suis-je cave? C'est tentant de répondre oui mon petit Pat, mais je n'oserai pas.
Dans cette avenue je souligne des titres de blogues comme le Parfait Salaud qui fait bien la job aussi de cette masculinité difficile à assumer dans un univers de femmes comme est celui de la blogosphère.


Le sans culture, l'Elvis graton, un peu ridicule mais populaire.....
Je ne peux ignorer Drew, impossible. Le titre de son dernier billet donne une bonne idée de l'envergure de la personne. Il s'intitule...Votez, votez, vooooooteeeezzzz calisse!. Je suis incapable de fréquenter ce genre de personne.
Je ne sais si l'une d'elles est la conjointe de Drew mais MarieH, la soeur de l'autre et Evyzamora ont le titre de mégère haut la main. Quelle langues de vipère, yark!


L'intellectuel désincarné...
Renart. Quel drôle de personnage. Mais je respect son ambition ainsi que celle de Préfontaine.


La personne qui me donne le gout de vomir....
Je n'ai aucun trait paranoïaque, je vous assure, j'en ai d'autres bien entendu, mais pas celui-là.
C'est une personne qui fait dans le paraitre, le beau et qui répète à tous, il faut...faire, agir, penser comme ceci ou cela.
Il y a quelques années, pour insérer une signature, je lui avais donné mon pass et jamais j'aurais cru qu'elle l'utiliserait pour fouiller ma boite de courriels. L'idée qu'elle ait pu s'y promener me dégoute, surtout venant d'une personne qui ne cesse de dire ...Il faut...
Éléonore est donc ma plus grande blessure sur le web, je le ressens, lorsque j'y pense, comme une violation. Mais j'aime mieux me dire que c'est faux, la perspective que cela soit vrai est trop laide.


La personne que j'affectionne...
Je ne sais pas pourquoi, c'est TS. Je l'a vois comme ma soeur ou encore ma fille. J'accepte tout d'elle et honnêtement, je ne sais pas pourquoi? J'ai botté bien des culs mais jamais je ne botterais le sien.

La relation un peu folle...
C'est avec Newton. Elle est brillante et intéressante mais en même temps elle m'agace, et ce qui m'énerve c'est que je n'ai pas encore mit le doigt sur les raisons. J'ai des pistes mais pas de certitudes. Elle comme une truite que tu tentes de saisir de tes mains et fuit tout le temps.
Elle me remets tout les coups que j'ai porté, elle te remets tout sur le nez tout en habillant ça d'un je ne sais quoi qui m'éééééénerve?

Ce que je hais....
Je hais devoir écrire rewtryt pour échanger avec quelqu'un ou devoir attendre sa modération.
Je trouve ce soucis de précaution tout à fait hallucinant.
Pour moi ça dit beaucoup, la blogosphère québécoise est occupée en majorité par des femmes et visiblement, elles sont en besoin de protection, elles se positionnent d'emblée en victime potentielle. D'ailleurs les blogues qui n'ont aucune mesure de protection, comme le mien, sont en très grande majorité tenus par des hommes.
Mesdames ouvrez un peu et fermez si besoin il y a. Changez cette mentalité québécoise de victime potentielle. Allez donc, vous êtes pathétique derrière vos murs érigés pour rien.

Alors voilà mon survol des ces quelques années sur la blogosphère québécoise.

Avis à mes ennemis et mes amis...

Je ferme bientôt, même le 54K est trop pour moi.
Alors vos mots d'amour je les attends avant le bouvvvvve du disque dur qui s'éteint et ne tournera plus pour moi.
Il en est fini de la blogosphère.
Je vais regretter Drew, l'Elvis Gratton du net, le plus sans culture de la blogosphère. Je sais, je sais, il a beaucoup d'amis, mais ça au Québec, on aime bien les Elvis.

Je ferai mon palmarès d'ailleurs avant ma déconnection.

Je n'ai rien...Rien de rien...

Lui - excuse moi tu as 25 cents?
Moi - Pourquoi tu t'excuses?
Lui - Ben...
On a passé deux heures ensemble à jaser au parc.
Il s'est transformé en homme en colère en pointant du doigt des gens aux parc pour une colère qu'il ne pouvait adresser à son frère.
On s'est fait un gros calin en se quittant.
Je ne suis visiblement pas de ceux qui quittent les autres avec leur carte d'affaire et qui auront droit à une chambre semi-privée. Je serai de ceux qui crève dans un corridor d'hôpital et dont la mort servira le syndicat des infirmières pour une augmentation de salaire.
Je suis un raté.
C'est pour ça que j'ai du temps pour bloguer.
Je serais mère au foyer que j'aurais une bonne excuse, mais non je suis un homme et pour seule excuse c'est ma nullité.
Je suis rien, juste un quêteux qui a su faire un calin à un quêteux dans un parc.
Pathétique.

J'aime comme tu écris....


Je vais me trancher la jugulaire. Je remplirai un seau de mon sang avec lequel on fera un boudin humain que l'on saura bien assaisonner.
Si on bouffe du sang de cochon, je ne vois pas pourquoi on ne boufferait pas le mien même si j'ai parfois été un peu grossier.

Je dois vous quitter, le couteau m'appelle et la chaudière est avide.
Adieu!

Des fourmis...

J'ai des fourmis noires dans mon appart.
Je cherche à les piéger.
J'ai installé des pièges à souris mais ça ne semble pas fonctionner.

lundi 21 juin 2010

Messieurs, gardez là dans votre pantalon...

Je suis de ceux qui croient qu'il est souvent mieux de garder sa queue dans son pantalon.
Une autre bonne raison à le faire ici.
Et pour un vent de fraicheur, .

dimanche 20 juin 2010

Mort sans avoir été tué...

Cinq gars mirent une cible posée sur un coeur qui doit être exécuté parce que ce sans coeur en à lui-même exécuté deux. Comme ils sont contre le meurtre, il est donc sensé de tuer les tueurs, non?
Mais non! L'idée c'est que personne l'aura tué. L'un des cinq tireurs à une balle à blanc, ainsi aucun d'entre-eux ne pourra, autour d'une bière, se vanter d'avoir touché le coeur de ce sans coeur avec certitude.

Le gars est mort mais il n'y a personne pour en porter l'odieux. N'est-ce pas extraordinaire?
Il y a eu mort d'homme mais pas d'assassin. C'est utile dans une société qui est contre les homicides.

L'humain ne cesse de m'impressionner par son intelligence malveillante.

Ça me fait penser aux disputes que ma fille avait avec ses amis. Lorsque j'intervenais, il n'y avait jamais de coupable.

samedi 19 juin 2010

La fête des pères...

Personnellement, j'en ai rien à foutre de cette fête, ni de celle des mères.
Pourquoi faire un billet alors?

Parce qu'à chacune de ces fêtes je me dis qu'elles sont périmées et qu'elles devraient laisser place à une seule fête par année, la fête des parents.

vendredi 18 juin 2010

Le Hy...

Ce billet pourrait sembler assaisonné d'un ton vindicatif mais il n'en est rien. Malgré les apparences, il est en demi-ton, du gris surtout, avec un fond de dépression que l'on retrouve dans le laisser-aller, dans un ras-le-bol qui s'accompagne d'une résignation qui vous place dans une position d'observateur amusé d'une réalité inventée plutôt cocasse à laquelle vous assistez passivement, sans désir d'y participer plus qu'il ne faut.

Le Hy, c'est pour l'hystrionisme d'une majorité des femmes québécoises.
Le Hy c'est pour ce concept insensé que l'on utilise à tour de taille, l'hypersexualisation.
Le Hy c'est pour cet autre concept de tolérance zéro face à la violence.
Le Hy c'est aussi pour ce mouvement des mères Hyndignes.

Tout ces trucs assaisonnés par les femmes du Québec et qui versent dans l'hystérie, dans une amplification qui frôle presque l'hérésie.

Prenez l'hypersexualisation, terme évocateur certes mais tellement vide de sens et faux.
La mise en valeur du genre est un phénomène tout à fait naturel que l'on retrouve dans toutes les sociétés. C'est simplement de régulation et de socialisation des instincts humains dont on parle, rien de plus. Pendant qu'au Québec, les femmes qui contrôlent l'école tente de définir ce qu'est une camisole à bretelle spaghetti, dans certaines société les fillettes se promènent seins nus mais cela n'empêche pas qu'il y ait, là aussi, des mécanismes de régulation des instincts.

Tolérance zéro face à la vhyolence...
Une autre formule hystrionique servie à la sauce québécoise.
C'est de l'intensité de la répression dans une situation donnée dont on parle et non de non-violence puisque la répression peut avoir recours à la violence au besoin.

Mères hyndignes...
Voilà une autre formule schydzophrénique développée par les femmes pour dire on ne sait pas trop quoi?

Mais au final c'est la folie du discours féminin québécois sur la vie qui n'a pas de sens.
Personnellement il m'est bien difficile de m'entretenir avec des femmes, leurs discours est tellement traficotés et pervers qu'il n'en résulte rien d'intelligible.
Et ce qui m'étonne le plus, c'est qu'elles n'en sont pas conscientes. Elles s'enlisent dedans sans même se rendre compte des incongruités.

Pour parler des instincts humains je crois que la femme québécoise n'a pas ce qu'il faut pour en discourir intelligemment sans sombrer dans l'hystérie ou dans l'intégrisme.

Je ne sais pas si intellectuel et féminin peut se conjuguer, au Québec du moins?

Je n'aurai possiblement peu ou pas de réponse à ce billet. J'invite donc prétentieusement, celles qui auraient l'intention d'y répondre d'une façon inintelligente à passer leur tour et à réserver leurs inepties pour d'autres blogues.

mardi 15 juin 2010

Another brick in the wall....

Je réalise que j'écris compulsivement mes billets pour repousser ceux qui précèdent.
Comme ils sont tout aussi idiots les uns et les autres, je finis par faire un mur tout croche qui ne ressemble à rien sinon à moi.

D'ailleurs ce billet n'a pour fonction que de sortir de la page un billet ridicule titré Un appel à tous. C'est parfois en écrivant qu'on tente d'effacer. Dit comme ça, ça semble ridicule, mais c'est parfois vrai.

Mes billets ne sont que d' infructueuses tentatives de réparer les conneries racontées dans ceux qui précèdent.

J'aspire à écrire ce dernier billet qui sera satisfaisant et qui mettra fin à cette production ineptique.

La muse passera peut-être un jour et il en sera fini de ces âneries..

lundi 14 juin 2010

Je me suicide...

J'ai oublié du jambon à l'ancienne sur le comptoir pendant au moins 12 heures. Il y en a pour 3 $ pis des 3$ j'en ai pas des masses.
Je projette de me faire une salade avec ce jambon, j'espère ne pas être emporté pas la listériose.
On lira sur ma tombe .... Il fut tué par un cochon mal réfrigéré...ça serait triste, non?

dimanche 13 juin 2010

Mesdames.....

Mesdames du Québec pourquoi avez vous cette facilité à sortir le sein laiteux, ce n'est pas très sensuel.
La vulve sèche et le mamelon qui coule à tout vent.
L'idée d'une bonne mère?
Elles sont ou celles qui lubrifient encore un peu?
Moi je cherche une vulve lubrifiée avec de petites lèvres qui pendouillent.

J'aime bloguer...

Aujourd'hui c'est dimanche et j'aime les dimanches, ils sont mieux que les lundis, bien qu'un peu moins bien que les vendredis.

Ce matin je me suis levé à 7h45 pour aller faire un beau pipi. Il était un peu trop jaune, j'aurais du boire plus d'eau hier. Je me suis dit aussi que j'aurais dû mieux viser, j'ai du prendre du papier de toilette pour essuyer ma pisse sur le plancher. Ça n'a pas de sens de pisser partout comme ça surtout que ma toilette c'est ma toilette je n'ai même pas besoin de faire mon territoire. Ça doit être l'instinct de l'animal qui est en moi, je dois déborder d'hormones.

Toujours est-il que c'est en me mettant le doigt dans le nez que je me suis rappelé qu'après avoir pissé j'avais négligé de me laver les mains . Le nez me pique depuis ce temps.

Ça vous est déjà arrivé un truc du genre?
Je crains une chlamydia nasale. Envoyez moi des ondes pour que cela ne m'arrive pas. Merci à l'avance.

samedi 12 juin 2010

Impuissance...

J'aimerais tellement avoir l'intelligence pour décrire les comportements humains et y donner un sens.
Malheureusement, je suis trop bête pour y arriver et ça me frustre.
La blogosphère québécoise est un mini réseau social et virtuel que je nomme la gang à Drew.
Les mêmes sont partout, d'un blogue à l'autre, presque.
Et je me retrouve boycotté. Bloqué ici et là, et sans commentaire, peu sur mes billets. Tu en offenses un, et 5-6 autres disparaissent par solidarité. Si on multiplie ceux que mes propos on offensés par 5 ça commence à faire pas mal.

Ce que je trouve drôle dans cette aventure c'est que même dans un espace simplement virtuel, sans ambition pécunière, la blogosphère obéis aux mêmes lois du réel.

Ce n'est pas d'être marginalisé par la blogosphère qui me pèse, j'ai déjà assez de la marginalisation réelle que j'ai décidé de vivre et d'assumer.

Ce qui me désole c'est de constater que le virtuel ne fait que reproduire la même chose même si il n'y a aucun enjeu, ou très peu.

Ce besoin d'occuper un territoire, aussi dérisoire puisse-t-il être est hallucinant.

L'occupation virtuelle, c'est débile mental.

Mais ce que je trouve particulièrement triste c'est la qualité de l'occupation québécoise. J'ai plutôt honte de la qualité de ce que je lis sur la blogosphère.

C'est insignifiant, sans substance, une description d'un quotidien nul à chier, sans saveur et sans valeur.

Je déconne, il y a une saveur et des valeurs mais elles sont vides.

C'est ce qui caractérise la blogosphère québécoise je trouve, le vide.

Non c'est pas vrai, il n'y a pas de vide, c'est plein, c'est juste vide du sens que je recherche.

La blogosphère est faites de femmes à la maison qui se divertissent et de quelques hommes féminisés.

Ennuyant pour les neurones mais stimulant pour ce qui est des mécanismes de controles sociaux.

Ça ne m'étonne pas d'être en marge virtuel puisque je le suis dans le réel, le virtuel n'est qu'une copie du réel sur un autre support, il n'y a là rien de révolutionnaire, juste du usuel.

Le Mondial et son coup de balai...


Il y a de ces évènements qui rallient le monde pour faire l'éloge de l'humain. Les Olympiques et bien sur le Mondial.

Lors de ces évènements, les pays ou les villes hôtes repoussent la racaille loin de l'oeil des lentilles des caméras, on soulève le tapis pour y mettre la poussière tout en jetant de la poudre aux yeux.
Les derniers jeux olympiques tenues en Chine en sont un bon exemple.

Maintenant, c'est l'Afrique qui devient belle, c'est l'Afrique dont on fera l'éloge pendant un mois.

Moi, j'ai souvenir d'un génocide, Hutu et tutsi, ça vous rappelle quelque chose? Un dimanche à Kigali?

L'humain, je ne fais par référence ici seulement aux Chinois et aux Africains, l'humain à cette capacité de faire taire les atrocités dont il est capable pour faire place à un spectacle qui parle d'amour universel.

Quel merdier!

Allez regardons pousser le ballon sur le gazon en apprenant comment l'Afrique est belle, et laissons quelques larmes lors de la cérémonie de fermeture d'un si bel évènement humain.

vendredi 11 juin 2010

Une relation amoureuse....

Une relation amoureuse c'est à peu de chose près comme une séance de masturbation animée par un fantasme.
La seule différence, c'est que dans la relation amoureuse, on demande à une personne réelle de jouer le rôle de ce partenaire imaginaire.

L'amour...

Elle lui tendit une cigarette pendant qu'il s'essuyait la bouche et le menton tellement elle avait lubrifié....
Elle lui tendit une cigarette, ils prenaient une pause avant de rebaiser...
Elle lui tendit une cigarette pour terminer un repas des plus romantique...

Peu importe le contexte, il suffit d'en imaginer un, ils sont tellement nombreux quoique plutôt limité, en fait. Toujours est-il qu'après avoir expiré sa première bouffée, il lui dit....
Lui- Je t'aime.
Elle-Tu es amoureux.
Lui-Oui, et toi?
Elle se contentait de l'embrasser sans rien dire.

Elle trouvait que l'amour est un truc tellement complexe et sauvage qu'il ne servait à rien de tenter de l'apprivoiser par des mots qui le plus souvent ne servent que le moment présent et qui, comme le lait, deviennent vite périmés.

Elle savait très bien que ce mot aimer, lorsqu'il est dit n'est que l'expression d'un bien être intense ressenti au moment présent et d'un désir de le prolonger, et que dans un futur plus ou moins éloigné, il prendra un autre sens.

Devant l'irrationnel et l'égocentrisme du mot aimer, elle préférait profiter sans discuter.

Elle ne comprenait pas ces vaines tentatives d'encapsuler l'intensité d'un moment dans l'espoir qu'il devienne permanent. Elle se surprenait de la réaction de l'autre qui le plus souvent n'appréciait pas qu'elle ne s'engage dans ces histoires inventées.

Mais elle s'en foutait un peu, elle acceptait que l'autre ait besoin de se raconter des histoires, elle ne cherchait pas à les défaire, tout ce qu'elle demandait c'est de ne pas en être dérangée.
Elle se disait qu'on a beau dire que l'amour est un sentiment altruiste mais elle, elle savait très bien qu'il s'agissait là de quelque chose de bien égoiste.

Elle se taisais aussi lorsqu'on lui reprochait de ne pas participer à l'histoire de l'autre. Pourtant elle était très présente à l'autre, juste un peu moins aux histoire qu'il se raconte.

Ce qu'elle désirait en fait c'est une véritable rencontre mais ça, ça semble plus difficile.

mercredi 9 juin 2010

Celle qui n'est plus mère....

Vous vous doutez bien que je parle ici de cette jeune fille, mère d'un nourrisson tué par une chienne Huskies.

Si l'on s'identifie au poupon, on ne peut qu'être troublé par l'horreur de l'évènement.
Toujours en s'identifiant à l'enfant, on peut aussi se demander si ce drame était évitable et si le parent à une responsabilité.

Si on s'identifie au parent, il est possible de ressentir l'intensité de la douleur éprouvée par la jeune mère devant l'atrocité de la chose.
On peut aussi trouver injustice, qu'en plus de porter le poids de cette perte cruelle, elle doive aussi subir la foudre de la Justice. Comme si ce n'était pas assez!

Personnellement, j'éprouve toutes ces émotions

Mais je ne sais pas.

Je ne sais pas....
Parce que l'on ne connait pas les détails de l'enquête qui a mené à cette accusation portée contre la mère.

Ce que je sais...
c'est que le parent, peu importe son degré de responsabilité, demeure imputable de ce qui arrive à ses enfants.
Et qu'une mort aussi tragique mérite que la police s'y arrête, la Couronne aussi, et ce, malgré la souffrance de la mère.

Ce que je pense...
c'est qu'une accusation d'homicide involontaire me semble déraisonnable, et je peine à m'imaginer qu'elle en sera reconnue coupable tellement que cela me semble excessif. Mais comme je disais, on ne sait pas tout de l'enquête qui a mené la Couronne à porter cette accusation aussi grave. Pourquoi pas négligence ayant causée la mort? On le saura surement dans un avenir rapproché.

Au final, ce que je pense, c'est qu'on ne souligne pas assez que cette mère n'a que 17 ans, ce n'est qu'une jeune fille. Ça me semble un facteur important et je n'ai lu personne le souligner en caractère gras.

Lorsque j'ai eu ma fille, qui a 17 ans actuellement, j'avais 31 ans et jamais je n'aurais laissé ma fille par terre, sans supervision, en compagnie de chiens. À 17 ans, peut-être?

Il reste que tout ça est profondément malheureux et horrible.

Pour ce qui est des chiens, ça serait la chienne qui aurait tué le poupon. Il semble évident qu'elle sera euthanasiée, le chien aussi j'imagine, pour complicité. C'est à voir.

mardi 8 juin 2010

La prédiction de Michel...

Je ne prédis jamais dans le sport et dans bien autres choses aussi. C'est d'un ridicule qui relève de la pensée magique.

Mais je prédis que les deux chiens impliqués dans la mort du nourrisson sont déjà condamnés.
Le truc d'évaluation de la dangerosité des chiens n'est que de la poudre aux yeux, qu'un verbillage ridicule face à une situation horrible.
Quelques jours et ils sont morts.

Je prends les paris à 10 contre 1. Vous misez 1$, ils survivent et reviennent avec leur maitre et je vous en donne 10$.

Les paris sont ouverts. Go Go Go!!!

lundi 7 juin 2010

Gaza et Israel à la sauce québécoise....

Je ne veux plus de mes deux chats chez moi. Ils piétinent mon territoire, ils vomissent sur mes tapis qui ont une valeur symbolique à ma yeux. Ils laissent de leurs poils un peu partout, et tout ça pour peu de chose au final.

Mais en bon québécois qui baigne dans l'hypocrisie d'un humanisme qui n'est qu'apparence, je les regarde et me demande bien comment je ferais pour les conduire aux chambres à gaz?
Je me dis non, je ne suis pas inanimal, après tout, inhumain peut-être, mais ça, je ne suis pas le seul.

Pour m'aider, je nous ai rebaptisé, tout les trois. Mon nouveau nom est Michelovitch, et mes chats se nomment maintenant Squig-alah et mimo-hamed.

Je leur ai laissé la cuisine pour l'eau, la bouffe et la litière tout en ayant pris soin de leur interdire le salon et ma chambre. Il y avait un blocus sur ces territoires.

Comme ils sont des bêtes nulles à chier, ils n'ont pas pris beaucoup de temps à envahir.

Ainsi ils m'ont obligé. J'ai pris squig-alah par le collet, lui ai tranché la carotide et fait de même ensuite pour mimo-hamed.

Comme je respecte la vie même lorsqu'elle est morte, je les ai foutu au bac de recyclage histoire d'en faire au moins du compost. La moindre des choses, non?

Mais les voisins et leurs enfants qui ont vu ces chats morts reposant dans le recyclage se sont attendris et ont appelé la Ville qui est vite débarquée chez moi.

Je leur ai ouvert la porte pour leur dire que je me nommes Michelovitch et que ce qui se passe chez moi est de la régie interne et ne concerne en rien les voisins et que tout était légitime et bien fait.

Il serait irrespectueux pour les animaux de ne pas leur accorder le même traitement que celui qu'on réserve aux humains, non?

Pis au final, les voisins se plaignent pour rien, j'ai pris soin de recycler leur mort, c'est pas tout le monde qui fait ça. Je suis pro-vie moi.

samedi 5 juin 2010

Intelligent dit-on...

C'est Woody Allen qui disait qu'on accorde trop d'importance au cortex, cette substance grise qui, en réalité, ne fait que bien peu de différence, du moins pas davantage que les hormones peuvent en faire. Mais a-t'on déjà fait l'éloge des hormones?
Les plus souvent c'est pour les décrier, pauvres elles.

J'ai passé la semaine à parler de féminisme et de masculinisme, passé la semaine à redire et réentendre ce qui remâché depuis au moins une décennie. Je ne sais plus quelle est l'échelle de grandeur qu'il faut utiliser pour apercevoir un soupçon d'évolution chez l'Homme. La mesure susceptible de rendre perceptible quelqu'évolution que ce soit doit surement se compter en année lumière et encore?

Toujours est-il que je parle à ma fille, elle a un cellulaire, ça c'est de l'évolution monsieur.

Moi- Salut Miss.
Elle- Salut Papou que fais-tu?
Moi- Je parle au téléphone et toi que fais-tu?
Elle- Je suis aux chutes de Rawdon avec des amis.

Putain, je me baignais là il y a 35 ans. La différence, elle s'y baigne avec un cellulaire et des amis africains. Moi je n'avais pas de cell. ni d'amis africains, juste une caisse de 24 de 50, quelques joints et des amis qui se nommaient Claude, Gilles, François ou Johanne.

Moi- Fais attention pour ne pas te noyer, le courant est fort et il y a eu de nombreuses noyades à cet endroit.
Elle- Ben tu peux me rappeler ce soir pour te rassurer.
Moi- Non ça va, je préfère que tu sois prudente.
Elle- Ok.

La morale?
Une impression de déjà vu.

vendredi 4 juin 2010

Il doit être difficile d'être beau...

Certains portent des tenues de soirée, marchent sur des tapis rouges, moi je porte la laideur de la vie, c'est mon habit maintenant. Une éponge qui se gonfle de la bêtise des humains.

Je suis sans fond et sans forme, mon allure agace.

Je lisais un billet hier. Un gars parlait de ses poils qui lui sortent des narines et ce billet avait 23 réponses, je crois, un truc du genre. Un billet sans fond et sans forme mais qui amuse une galerie. Un divertissement innocent qui semble populaire.
J'ai fermé l'onglet, un peu plus déprimé que je l'étais.

Ce matin, je lis un autre billet, celui d'un gars qui a une plume magnifique, le ton est à la déprime et je me suis dit regarde bien, les gens vont lui dire qu'il écrit bien et qu'ils aimeraient écrire aussi bien que lui. Effectivement, à part quelques mamelles bien laiteuses qui n'ont pu résister à leur réflexe de sortir le sein, quelques uns ont fait part de leur envie d'écrire aussi bien.

Moi? J'ai raconté une connerie, devant le pathétique, je fais dans l'absurde, c'est mon réflexe, d'autres sortent la mamelle, moi je fais dans l'impertinence.

Mais au bout, je me disais que la blogosphère est pauvre. Tu écris un billet et les gens n'ont pas la capacité d'en saisir le fond même lorsqu'ils s'y intéressent et les autres qui apprécient la forme passe à côté du fond.

Au final, bien peu de choses.

Alors je me disais, comme ce mec écrit bien, il ne doit pas être facile d'être entendu d'ou le titre de ce billet. Il ne doit pas être facile d'être beau.

jeudi 3 juin 2010

C'est beau...


Une pub de CKAC semble faire quelques vagues. Personnellement je trouve la photo réussi.
Un beau cul de femme présenté comme ça sobrement et avec gout, c'est comme le gout d'un chocolat de qualité qui fond doucement dans la bouche. Une sucrerie. Bravo!

mardi 1 juin 2010

Féminisme et masculin....

Le féminisme est partout dans le système de Santé.
Ainsi le traitement des gars violents sont pour la plupart offert par des organismes gérés par des féministes.
On tente de faire leur éducation. Méchant garçon, on va t'apprendre les bonnes valeurs.
Newton ici parle de Rondeau, un TS réputé qui sous un organisme CRI-VIFF fait de la recherche sur la violence faites aux femmes. Son équipe est constituée de femmes et de féministes.

Pour moi, le pire n'est pas le féminisme mais la fumisterie.

Le point de départ pour parler des réalités des gars passe d'avantage selon moi par Corneau. Il a fondé RHQ, un organisme d'entraide pour hommes géré par des hommes.
L'Amour en guerre est un livre intéressant, facile à lire, psychologie populaire mais pas sans intérêt.

Ce n'est pas un gourou, loin de là, une référence autre que celle des femmes qui parlent des hommes ou encore qui font de l'homme une poupée pour entretenir un discours à trave rs leur talent de ventriloque. Il y en a trop, malheureusement, trop de marionnettes masculines et de ventriloques féminins.

Je pourrais terminer en disant que c'est aux hommes de parler des hommes mais je ne peux pas conclure ainsi, la plupart sont tellement féminisés que c'est la femme qui parle, et oui, encore!

Personnellement, je trouve que c'est dangereux et bien que je ne fasse pas parti du masculinisme, je trouve qu'il y a là quelque chose d'intéressant pour l'homme.
Et Centraide après des années de peur et de réserves a commencé à subventionner quelques organismes. Tant mieux.

Il arrive un moment ou on se dit que le féminisme est bien beau mais à trop frapper les hommes on se rends compte d'un besoin d'équilibre.
Ça me fait penser à Israel actuellement, un moment donné l'auto défense et la légitimité devient excessive et les gens disent, wow, c'est peut-être trop?

Un appel à tous...

Est-ce qu'il y a un homme sur la blogosphère?
Faites moi signe si vous existez.

lundi 31 mai 2010

Bonne et mauvaise, de petit trous

Lorsque tu n'as pas d'argent tu fais la rue. Des vieux comme moi n'arrive pas à intéresser les gais qui font plutôt dans la jeunesse, pis les femmes et leur féminisme extrémiste, j'aime mieux ne pas en manger, c'est indigeste, elles ont le mamelon laiteux mais la vulve sèche. Alors il reste le recyclage.

Mais voilà que les caisses vertes sont remplacés par des sacs, à Montréal du moins.

C'est une bonne nouvelle pour Roland, vous vous souvenez, ce Breton de 55 ans qui ne demande rien à personne, qui préfère faire les poubelles que de parler à l'inhumanité? Il m'avait dit à l'automne, toi qui sais tout tu ne dois pas savoir que la ville retire, pour l'hiver, plusieurs poubelles et que cela constitue un manque à gagner pour moi. Effectivement, je ne savais pas que les poubelles pouvaient être un lieu de survie et que de les retirer pouvait être compromettant.

Toujours est-il que des sacs transparents remplacent des bacs. C'est une bonne nouvelle pour Roland, il verra au travers si il y a pitance. Mais vous, attendez-vous à quelques trous dans vos sacs lorsque du haut de votre fortune vous y mettrez quelques objets à récup qui ont de la valeur.
La valeur du sou noir prends fière allure lorsque ta poche est vide.

Alors je souhaite bonne adaptation à ces gens qui font la récup pour vivre et qui feront des trous dans vos sacs et j'attends la complainte des bien-nantis qui s'offusqueront des trous . Moi personnellement, je leur ferais plutôt un trou dans le cul ou dans la tête, mais je suis trop bien socialisé et pas assez psychopatique pour me permettre un tel plaisir. Une chance pour eux et tant pis pour moi, ce n'est pas par manque d'envie, c'est juste une trop bonne socialisation.