mercredi 30 juin 2010

Mon dernier 14,95$....

Je vais écrire beaucoup d'ici la mi-juillet.
Là j'ai une menace de poursuite au cul pour harcèlement.
Moi ce que j'aimerais c'est deux semaines de commentaires à zéro et mon truc de mesure des visites à zéro aussi.

J'écris pis on ne me lit pas.
J'aimerais écrire dans un espace publique et être ignoré.
Bahhh, écris un journal personnel, mais non.

On ne parle pas du gars qui va à la shop au salaire minimum. Vous connaissez Andy?

Non, vous le connaissez pas, pourtant il occupe l'espace publique.

Alors je suis un gars de shop de la blogosphère, je n'ai pas besoin de vous demander de ne pas m'écrire, ne venez pas me lire.

Ignorez moi avant même que je m'efface, faites descendre ma moyenne de 42 à 0 en deux semaines.

Là je pars à 44, je vais assurer le suivi, jusqu'au point zéro.

Laissez moi écrire dans une espace publique tout en m'ignorant totalement comme on sait très bien le faire pour plein de gens qui marchent dans la rue.

Laissez moi être le quêteux de la blogosphère que l'on tente d'ignorer.

Passez votre chemin en regardant vos souliers.

Aller mettez le compteur à zéro.

1-2-3 go

Putain..

Ma cote est à 44 visites par jour.
C'est plate à la télé?

188...


Bouton A, je pèse dessus, 188, sur l'écran 176.

Je ne vais pas végéter là sur une chaise, m'en va aller jaser avec Suzanne.
Vous connaissez, sur le Plateau c'est une vedette, le dépanneur Léo, le plus beau de l'univers. De lanaudière, un brin au nord de Saint-Joseph. Si vous êtes de Montréal, faut aller voir.

Pendant qu'à la Caisse Pop les numéros défilent, Suzanne et moi parlons de cancer, d'accompagnement aux mourants, tout les deux s'avouant impuissants devant la vie d'une personne qui se termine. Quoi dire d'autre?

Je sens mon numéro, je quitte, à travers la vitre de la caisse, je vois à l'écran 188, wow, je suis chanceux sinon j'aurais du faire un autre tour.
J'arrive à point, la caissière est jeune et jolie, je l'aurais bien prise, mais je prend la chaise, ce qui est plus convenable socialement parlant.
Elle - J'allais appeler le numéro suivant.
Moi- Je suis chanceux, j'arrive juste à temps et en plus vous êtes la plus jolie.
Je sors mes deux cartes essentielles à tout être social sans cela vous n'existez pas. Ben vous existez pour être collecté, mais pour être payé.
Je suis un sans compte.
Elle- Bien avoir un compte de banque est un privilège pas un droit.
Moi- Oui je sais, vous changez mon chèque par obligation.
Elle- Oui la loi nous y oblige.
Moi- oui je sais bien, je le sens à chaque fois que je viens ici. Vous n'auriez pas l'obligation que vous en seriez heureux.
Elle se lève pour chercher mon 595$ pas gagné, j'en profite pour lui regarder le cul, qui n'était pas si mal. Elle revient et étale ma fortune devant moi. Il manque 2$, je ne l'aurais pas vu, elle oui.
Moi- Demain, je n'ai plus rien.
Elle- Ben oui.
Moi- Venez me voir rue Laurier ouest demain.
Elle n'a rien dit.

Alors avec mon magot je retourne au dépanneur Léo.
Moi- Je vais prendre 1$ de bonbon. Il y a 30 contenants, je dis un de chaque. Elle me fusille.
Elle- Elle a quel âge?
Moi- 10 ans.
Je l'a laisse choisir, ma fille à 18 ans, je trouvais ridicule de le dire. Des bonbons et 10 ans, ça me semblait mieux.
Un peu plus tard, Parc Laurier, ma fille arrive, après quelques mois d'absence physique, on discute comme si on c'était vu hier et elle bouffe ses bonbons entre deux appels de cell.

Elle est belle et sexy et lorsque je lui ai parlé de l'importance de l'intérieur, elle m'a dit, ben à la maison je suis en T-shirt.
Je vous ai dit qu'elle est blonde naturelle?
Pis elle rajoute moi le matin, 5 minutes pis je suis prêtes.
Moi- Ha oui.
Elle- Ben après avoir mis ma crème, pis ceci et cela.
Finalement son 5 minutes, c'est après le 55 qui précèdent. Elle est drôle cette Miss poupoune.

Bref, une belle retrouvailles, je suis heureux ce soir.
C'est le bon temps pour me confronter, il y aura une fleur au bout de mon canon.

Cele qui a (2)...

J'invite Éléonore à éditer tout les autres écrits harcelants qui la concerne.
Il me fera plaisir de les lire.

D'ici là j'ai peur d'entendre cogner à ma porte et de passer la nuit au Centre opérationnel. Surtout que demain on est le 1 juillet, férié, après c'est le week-end. Je vais rester en cellule jusqu'au lundi suivant avant de comparaitre devant un juge, 4-5 jours en cellule, je sais que c'est peu pour l'odieux de mon crime, mais ça reste tout de même pas facile à vivre. Je vais manquer Docteur House et quelques autres bonnes émissions.

Faut s'assumer, tout part de là. Alors si j'écris pas dans les prochains jours vous saurez pourquoi.
L'idée de me tremper les doigts dans l'encre noir me donne la nausée, sans compter que je suis pas photogénique et je me demande le numéro sur la petite pancarte qu'ils me donneront. J'espère qu'il y aura un 9, c'est mon chiffre chanceux et mon profil gauche est mieux que le droit.

Celle qui a...

Celle qui s'est permis l'accès à ma boite e-mail pendant des mois parce que je lui avais donné mon pass pour une signature s'interroge, peut-être pouvez vous l'aider à résoudre son dilemme?

Pour ma part, il n'y en a pas, il s'agit d'une personne intrusive de l'intimité des autres.

Le billet de cette vertueuse personne se trouve ici.

mardi 29 juin 2010

Pour en finir avec les mamelles laiteuses...

Lorsque je parle de mamelles laiteuses je ne parle pas principalement des femmes, je parle de relation d'aide et c'est métaphorique.

Crisser sa mamelle laiteuse dans la bouche d'un souffrant n'est pas toujours la meilleure solution.
C'est quoi cette pensée magique que le lait maternel apaise tout les maux?

Et curieusement vous étiez plusieurs à vous scandaliser de celle qui pratique le nursing avec son conjoint. Pourtant symboliquement vous êtes nombreux à sortir le sein pour n'importe quoi.

Je me sens coupable, mais non, tu es une bonne personne, etc, etc. Qu'est-ce que tu en sais vraiment? Rien, le lait sert à faire taire. Et c'est parfois approprié mais pas toujours.

Ce que je décris lorsque je parle de mamelles laiteuses c'est cette fausse croyance que pour aider quelqu'un il faut vite faire taire la souffrance et ça, on observe ce truc surtout chez les femmes et comme elles occupent , en majorité le champs de la relation d'aide au Québec, ben des gens se retrouvent avec un mamelon dans la gueule sans avoir eu le temps d'exprimer leur souffrance.

Moi je dis, gardez vos seins dans votre soutien-gorge et laissez la personne exprimer sa souffrance sans chercher à la faire taire, sortez vos oreilles à la place.

Et vous mesdames vous pensez que je suis misogyne et que je méprise, mais non je parle de relation d'aide.

Mais comme cela vous offusque vous êtes incapable de voir que votre sein magique ne l'est pas.

Alors ceux et celles qui veulent vraiment parler de relation d'aide, je suis bien ouvert à une discussion intelligente.

Mais vous devrez accepter de remettre vos seins dans votre machin truc et d'ouvrir vos oreilles.

Les aidantes au Québec ont généralement de gros seins mais de toutes petites oreilles.

Voilà, le tour du sein est fait et bien fait, pas le sein là, mon tour sur la relation d'aide.

Un autre proverbe africain....

Il vaut mieux montrer du respect pour les mamelles de la lionne sinon elle risque de sortir ses griffes.

C'est Umdou Dalou qui me l'a dit, un sage africain qui ne fait pas dans le foot.

Je quitte bientôt mais vous ne pourrez me traiter d'avare quand même.
D'ici la mi-juillet, je vous en donnerai pour un an.

Un beau proverbe...

Je viens de lire un proverbe africain qui dit...
Lorsqu'un homme se retrouve devant un crocodile qui risque de lui couper la jambe, il devient insensible à la piqure d'un maringouin. Et lorsque la menace du crocodile est disparue, le maringouin, le ventre bien gorgé de sang, s'excuse de sa piqure par peur d'être écrasé..

C'est intéressant et inspirant, non?

Vous aurez compris que ce proverbe n'est pas africain, il est de moi, il m'a été inspiré par Un gars décu. Il écrit chez La ténébreuse silencieuse ceci...

Nina est un des spam-bot pour lequel on active la protection "aqwdst" que certains haut-pensant juge tout à fait déraisonnable.

Bon, il peut me mépriser indirectement, par blogue interposé, généralement on le fait par peur, le direct étant trop menacant.

Ce n'est pas un reproche, c'est tout à fait adapté pour un maringouin, tu piques et tu crisses ton camp avant de te faire écraser.

Mais le maringouin, si petit soit-il, devient aussi grand qu'un loup lorsqu'il se trouve une meute.
Il ne pique plus, il mord.

Moi la clique de la blogosphère ne me fait pas peur, venez en grand nombre me mordre, mon blogue est ouvert jusqu'à la mi-juillet, venez vous amuser en direct, rire derrière votre écran comme So much a dit, pourquoi ne pas vous payer un peu de croustillant avec votre sac de popcorn. De toute façon la programmation télé estival est plate, venez il y aura du direct.

Vous préférez la lâcheté du mépris exprimé indirectement, allez n'ayez pas peur, en meute vous gagnerez, c'est certains. Ça prend juste un premier qui ose mordre, le second arrivera plus facilement, et lorsque je serai affaibli, le plus lâche viendra terminer le travail.

Alors qui est le premier?

Toi le gars déçu qui me méprise par blogue interposé, je ne crois pas, qui d'autre?

Allez, un petit 15 jours de plaisir gratis.

Vous aurez compris que mon proverbe africain parle de lâcheté.

La rupture...

Un court billet d'opération reboot me replonge dans ma dernière rupture amoureuse.
Nous baisions et je savais que c'était la dernière fois.

C'est une drôle de sensation d'avoir la queue qui baigne dans la lubrification du vagin d'une fille que tu aimes et que tu trouves belle tout en te disant que cela ne se reproduira plus.

Je me demandais à cet instant là, si elle le savait elle aussi, mais je ne lui en ai pas parlé, elle non plus d'ailleurs.
Je ne voulais pas mettre de mots pour mieux profiter du moment. Son cul était comme une dernière part de gâteau que tu manges avant d'entreprendre une diète, la langue ne sert pas à parler, elle se concentre à lécher les dernières miettes dans l'assiette.

Baiser sans savoir que c'est la dernière fois, est-ce mieux?

Quelques personnes profitaient du beau temps pour faire une balade à moto. Une voiture devant eux freinent pour éviter de tuer de jolis canards et ce fut leur dernière balade.

Je me demande si cette randonnée n'aurait pas été plus profitable si ils avaient su en mettant leur casque, que c'était la dernière.
Peut-être auraient-ils décidé de ne pas en mettre pour mieux profiter de ce dernier moment et laisser leurs cheveux flotter dans le vent

Moi c'est ce que j'avais choisi, je lui ai demandé si je pouvais ne pas mettre de condom, elle m'a dit ok, mais ne viens pas en moi.
Je ne suis pas venu en elle et, je ne suis jamais revenu.

En me réveillant le matin, dans la poubelle, à côté de mon lit, il n'y avait rien, même pas un condom usagé, aucune trace, une relation effacée. Les seules traces sont des souvenirs, pas d'artéfacts, même pas en latex.

Il y avait un léger saignement du coeur aussi, mais le cardiologue m'a dit qu'il n'y avait aucun saignement. Alors!

lundi 28 juin 2010

C'est dommage....

Depuis que j'ai pris la décision de ne plus écrire dans des blogues qui modèrent, censurent par le fait même, il m'arrive d'être déçu de ne pouvoir répondre bien que le billet de la personne m'inspirait.

Ainsi une blogeuse a fait un billet sur une pub qu'elle trouve ridicule. Une gomme qui hydrate la bouche. Comme si on avait besoin de ça dit-elle.

J'avais le gout de répondre qu'effectivement c'est ridicule, une gomme qui hydrate la vulve serait beaucoup plus utile. Mais bon, je n'ai pas pu puisqu'elle modère. Dommage j'aurais pu participer à élever le niveau du billet.

Ha la censure, ça bloque les conneries mais malheureusement ça bloque aussi les propos intelligent.
C'est la vie.

Le second degré...

Je réalise que je saisi mal le second degré et je me sens un peu idiot.

Prenons Lise Dion, j'ai vu une pub d'un de ses vieux shows. La joke est la suivante, en parlant de son chum... Je l'ai ramené chez moi, y pissait partout faque je l'ai retourné.
Tout le monde rit, moi aussi d'ailleurs, c'est plutôt drôle.

Bon, il y a deux degrés, un premier et un second. Mais en dehors du rire gras, je n'ai aucune idée du message à chacun de ces deux degrés.

Le second serait l'absurdité d'une situation?

Et si on ne faisait pas de blague et qu'on tentait d'identifier le message, une fois nettoyé de l'absurde, quel serait-il?

Girl power? Je décide de l'arrivée ou du départ de mon chum selon mes critères?

Les gars sont comme des chats, ils se foutent que la litière ne soit pas propre tandis que les femmes sont comme les chattes , elles ne supportent pas une litière mal entretenue?

Quel est l'essence ou l'âme de la joke?

Parce qu'il y a un sens, non? Je reste confus.

À moins que cela ne soit que juste pour rire et sans sens?

dimanche 27 juin 2010

Redevable oui, mais de quoi?....

Dans un de mes billets, un répondante écrivait qu'elle se sentait redevable et qu'elle répondait donc aux questions des gens à qui elle quêtait.

Redevable, je n'y avais pas pensé en ces termes. Sur le coup j'aurais pu répondre c'est idiot comme point de vue, un reçu pour don de charité tant qu'à faire?.
Mais j'y ai pensé un peu plus.
Et j'en arrive à ceci...

Redevable à qui et de quoi?

Personnellement dans mes quêtes mon mot d'ordre est respect.
J'ai la chance de pas quêter dans des états ou je suis en manque pressant d'alcool ou de drogue. Alors cet empressement d'obtenir de l'argent pour taire des symptômes dont tu as l'impression qu'ils te tueront n'est pas mon cas. Je peux être en manque de nicotine mais ça, ça se tolère assez bien.

Alors je me sens redevable aux gens que j'aborde, pour leur demander quelque chose, de leur demander avec respect, politesse et sans m'imposer à eux, ce qui pourrait les intimider (bien que l'intimidation est visiblement payante, ce n'est pas mon style)

Mais je ne me sens pas juste redevable à ceux à qui j'ai demandé, à ceux aussi qui ne veulent pas être importunés par un quèteux , généralement je les reconnais après un passage et après deux, je sais si ils préfèrent que je les ignore. Ce que je m'empresse de faire.

Redevable aussi de témoigner du respect pour les commerçants de la rue ou je quête, c'est dans mon intérêt. Respect envers les autres quèteux, ça aussi c'est dans mon intérêt, ainsi qu'envers les policiers.

Mais redevable de parler de mon intimité, non, jamais je n'ai senti qu'une ou deux piastres pouvait acheter cela.

Bien sur avec les habitués, on fini par allez plus loin mais avec parcimonie pour ma part.
D'ailleurs pour la plupart, j'en sais plus sur eux, qu'eux sur moi. Et la plupart des habitués donnent sans demander, ils ne veulent pas plus que cette courte transaction.

vendredi 25 juin 2010

Mise au point...

Un gars voulait m'offrir une pièce de 2$ mais il voulait connaitre mon nom.
Je lui ai dit que ça ne le regardait pas et que j'en avais rien à foutre de son 2.

Quand tu fais la rue, que se soit en quêtant ou en faisant de la prostitution, de la prison aussi, tout ce qu'il te reste c'est ton identité et ton intimité psychologique parce que le reste, tu en as perdu beaucoup. Cela donne un plus value à ce peu qu'il reste.

Je n'ai rien à répondre à vos questions qui reposent sur une curiosité que je trouve un peu intrusive. Lorsque je parle de la rue, c'est parce que je le choisi et je dis bien ce que j'ai le gout de dire.

Pour ce qui est de vos hypothèses et de vos jugements de valeurs, je les subies, comme je le fais dans la rue.
C'est ça la marginalisation et le mépris des marginaux.

Mais honnêtement, j'en ai rien à faire et vous pouvez vous les foutre dans vos culs bien gras, bonnes genses.

C'est un peu rude mais là rue est rude et les faux bons sentiments sont emmerdants.

Mais je peux comprendre, parlez entre vous, gens de bonnes moeurs, indignez vous ensembles et ne gaspillez pas de votre temps à insulter des gens minables.

Un pétard et un cell....

J'ai parlé avec ma fille 20 minutes, elle s'est fait aborder 3 fois par des hommes dont deux lui ont laissé une carte.
Est-ce qu'il y a une invasion d'hormones à Montréal?

Point xxx...

Semblerait qu'un organisme qui gère le nom des domaines internet autoriserait l'utilisation du point XXX pour les sites pornographique.
Cela suscite des débats et les pro XXX prétendent qu'il sera ainsi plus facile de contrôler les sites pornographiques.

Personnellement, je m'en fous pas mal. Mais je leur ai envoyé un mail ou je leur demandais d'autoriser l'utilisation du point con. J'en connais plusieurs dont cette terminaison dl'adresse électronique conviendrait tout à fait.

J'attends avec impatience leur réponse. Je vous en donnerez des nouvelles.

jeudi 24 juin 2010

Les bourgeois c'est comme des cochons...

..plus ça devient vieux plus ça devient cons.
Ma vie, mes métiers m'ont fait rencontrer plein de gens et plusieurs sous la tutelle de la Sécurité Publique.

Je me souviens de ce mec et de son regard lorsque je lui ai dit que je mettrais bien un contrat pour éliminer la mère de ma fille. Moi, je le disais pour me défouler, lui ne rigolait pas de ces trucs parce que ce genre de trucs faisaient parti de sa vie et que quelques uns avaient payés de leur vie pour avoir prononcé des paroles semblables. À son regard, j'ai très bien saisi le message.

J'ai partagé avec vous le fait que je quête, prenez ces billets comme un cadeau. Ils sont rares ceux qui peuvent en parler sur internet.

Mais la rue fait tellement baver que je n'accepte pas qu'on utilise ce truc contre moi. Drew l'a fait, Enzimore, un nick du genre et là Newton s'y frotte aussi.

Ce n'est pas une bonne idée de m'emmerder avec ça ici. Je vous conseille de passer votre tour.

Il y a des choses avec lesquelles on ne joue pas, et celle-là en est une.

Vous êtes avisé. Je vous le dis, j'en parle peu et lorsque j'en parle, prenez le comme un partage mais ne vous en servez pas contre moi.

Ma limite est là.

Alors vous gros bourgeois un peu con, gardez vous une gêne ici sinon je vous trancherez le cul en lardons, cul que vous avez déjà très gras.

mercredi 23 juin 2010

S'assoeir et dire....

Juste dire, sans forcer, simplement comme si il existait une tradition.
À force de vouloir tout réinventer, on fait du surplace.
Et c'est dommage, le Québec disparait.
Bonne Saint-Jean, c'est un minimum.
Au delà de ça, you just do not exist anymore.

Je peux...

Moi- Je peux m'assoeir avec vous?
Elle - J'attends mon chum.
Moi - Dommage., et je continues mon chemin jusqu'à un banc de parc et je la voyais qui attendait son chum. Après une clope, je me suis dis allez reviens à la charge. On peut bien parler quand même.
Alors je me suis assis sur le gazon, juste à côté d'elle. Elle parlait à son cell, je me suis fait muet le temps qu'elle décroche.
Et on a parlé comme je vous parle. Aussi idiotement. Elle avait de la misère à me suivre, moi pas, je sentais son malaise. Elle écrit sur wordpress un blogue sur l'art culinaire, je ne lui ai pas demandé l'adresse, je voulais profiter du moment sans aucun besoin de continuité.

Ma présence lui causait un malaise, c'est fou ça, je suis trop vieux maintenant et trop décrépi pour ce genre de truc.

Toujours est-il que son chum arrive et je le connais, mais je ne sais plus de ou?
Et je n'ai pas cherché à savoir.
Pauvre fille, elle a du se taper 15 minutes de conneries.

Ma vie est comme un jeu de dards, je ne veux plus faire en périphérie, je vise le bulleye et j'ai l'air fou.

Je deviens de plus en plus insupportable.

J'ai adhéré à Québec Solidaire et la fille avec qui j'ai jasé. à ma demande m'a confirmé que j'étais l'être le plus désagréable qu'elle a rencontré. Elle a gagné son 5$.
Mais franchement, elle parlait de féminisme et de démocratie.
Bon, elle avait de beaux yeux mais quand même, c'est un peu vide comme concept. Elle n'arrivait pas à me situer les proportionnelles dans l'échelle des priorités.
Mais elle était tellement belle que j'ai déboursé 5$ pour bien peu de chose. Mais tout est relatif, j'ai foutu 3,50$ de jambon aux poubelles pour l'avoir oublié sur le comptoir. Pourquoi pas?

Ne pas avoir l'air fou....

Je croise ma voisine en sortant de chez moi pour ne pas avoir l'air plus fou que j'en ai l'air, je n'ai rien dit mais j'avais senti la secousse.
Ça me rassure de lire ça.
Je suis un peu moins fou que je ne le pensais.

mardi 22 juin 2010

Mon palmares....

Novembre 2008, j'écrivais mon premier des 640 billets que j'ai écrit.
J'en ai déliré plusieurs, presque tous et ils sont rare ceux dont je suis fier. Il y en a peut-être 5-6. J'ai souvenir de cette belle jeune fille très chic avec une déficience intellectuelle. Je n'ai pas relu ce billet là mais il doit être suffisamment bon.
J'ai aussi vu l'hommerie sur la blogosphère et il serait ridicule de s'en offusquer puisque la nature humaine est comme ça.
J'ai bien rit de ces gens qui en meute me délaissaient par solidarité d'un ou d'une membre de la meute que j'avais offensé. Au début, plusieurs me référaient et peu à peu ils me supprimaient en me disant que j'étais nul à chier. Ils m'ont bien fait rire, ces enfants là.

Je quitte bientôt et j'ai le gout de faire un palmarès de certains blogues. Le voilà....


La plus belle plume...
Bien sur il s'agit de Opérationreboot. Il se fait rare mais chacun de ces billets est du bonbon. Et je sais aussi que c'est une belle personne. Par contre, je ne le crois toujours pas. Je ne crois pas qu'il soit une aussi jeune personne qui étudiait en actuariat. Mais cela importe peu qui il est vraiment, c'est non pertinent. J'aime son écriture, point.

Miss Klektik aussi m'a beaucoup impressionné. J'entrais dans un univers qui m'était inconnu et sa façon d'écrire me fascinait. Je devais lire et relire ses billets pour en saisir toutes les nuances.
Et un moment donné je fus agacé par la mise en valeur de la sensualité de son personnage qui menait à tout coup à la souffrance de l'abus. Cette juxtaposition d'une féminité forte associée à l'abus a fini par m'exaspérer. Mais j'ai bien aimé. J'ai apprécié sa tolérance qui a fini par s'user. Mais je ne lui en veux pas pour ça.


Celle qui s'enlise dans une incessante complainte interminable....
Le choix est facile, Âme tourmentée. Que j'ai trouvé lourd cette répétition incessante de plaintes interminables. Un puits sans fond.
Et au nom de sa victimisation, c'est une des personne les plus méchantes que j'ai fréquentées sur la blogosphère. Il faut savoir que les victimes sont de redoutables agresseurs.


Le blogue qui fait le plus dans un second degré...
Comment ne pas parler de Pat Duval. Je ne suis pas capable. Comme homme, je me suis battu pour être père, pour être homme. Et je n'arrive pas à saisir le second degré de son humour qui ne cesse d'humilier l'homme. D'ailleurs, la majorité de ses lecteurs sont des femmes. Pour moi c'est révélateur. C'est un clown au service des préjugés ridicules qu'on entretient envers les hommes. Ironiquement, le titre de son dernier billet est...Suis-je cave? C'est tentant de répondre oui mon petit Pat, mais je n'oserai pas.
Dans cette avenue je souligne des titres de blogues comme le Parfait Salaud qui fait bien la job aussi de cette masculinité difficile à assumer dans un univers de femmes comme est celui de la blogosphère.


Le sans culture, l'Elvis graton, un peu ridicule mais populaire.....
Je ne peux ignorer Drew, impossible. Le titre de son dernier billet donne une bonne idée de l'envergure de la personne. Il s'intitule...Votez, votez, vooooooteeeezzzz calisse!. Je suis incapable de fréquenter ce genre de personne.
Je ne sais si l'une d'elles est la conjointe de Drew mais MarieH, la soeur de l'autre et Evyzamora ont le titre de mégère haut la main. Quelle langues de vipère, yark!


L'intellectuel désincarné...
Renart. Quel drôle de personnage. Mais je respect son ambition ainsi que celle de Préfontaine.


La personne qui me donne le gout de vomir....
Je n'ai aucun trait paranoïaque, je vous assure, j'en ai d'autres bien entendu, mais pas celui-là.
C'est une personne qui fait dans le paraitre, le beau et qui répète à tous, il faut...faire, agir, penser comme ceci ou cela.
Il y a quelques années, pour insérer une signature, je lui avais donné mon pass et jamais j'aurais cru qu'elle l'utiliserait pour fouiller ma boite de courriels. L'idée qu'elle ait pu s'y promener me dégoute, surtout venant d'une personne qui ne cesse de dire ...Il faut...
Éléonore est donc ma plus grande blessure sur le web, je le ressens, lorsque j'y pense, comme une violation. Mais j'aime mieux me dire que c'est faux, la perspective que cela soit vrai est trop laide.


La personne que j'affectionne...
Je ne sais pas pourquoi, c'est TS. Je l'a vois comme ma soeur ou encore ma fille. J'accepte tout d'elle et honnêtement, je ne sais pas pourquoi? J'ai botté bien des culs mais jamais je ne botterais le sien.

La relation un peu folle...
C'est avec Newton. Elle est brillante et intéressante mais en même temps elle m'agace, et ce qui m'énerve c'est que je n'ai pas encore mit le doigt sur les raisons. J'ai des pistes mais pas de certitudes. Elle comme une truite que tu tentes de saisir de tes mains et fuit tout le temps.
Elle me remets tout les coups que j'ai porté, elle te remets tout sur le nez tout en habillant ça d'un je ne sais quoi qui m'éééééénerve?

Ce que je hais....
Je hais devoir écrire rewtryt pour échanger avec quelqu'un ou devoir attendre sa modération.
Je trouve ce soucis de précaution tout à fait hallucinant.
Pour moi ça dit beaucoup, la blogosphère québécoise est occupée en majorité par des femmes et visiblement, elles sont en besoin de protection, elles se positionnent d'emblée en victime potentielle. D'ailleurs les blogues qui n'ont aucune mesure de protection, comme le mien, sont en très grande majorité tenus par des hommes.
Mesdames ouvrez un peu et fermez si besoin il y a. Changez cette mentalité québécoise de victime potentielle. Allez donc, vous êtes pathétique derrière vos murs érigés pour rien.

Alors voilà mon survol des ces quelques années sur la blogosphère québécoise.

Avis à mes ennemis et mes amis...

Je ferme bientôt, même le 54K est trop pour moi.
Alors vos mots d'amour je les attends avant le bouvvvvve du disque dur qui s'éteint et ne tournera plus pour moi.
Il en est fini de la blogosphère.
Je vais regretter Drew, l'Elvis Gratton du net, le plus sans culture de la blogosphère. Je sais, je sais, il a beaucoup d'amis, mais ça au Québec, on aime bien les Elvis.

Je ferai mon palmarès d'ailleurs avant ma déconnection.

Je n'ai rien...Rien de rien...

Lui - excuse moi tu as 25 cents?
Moi - Pourquoi tu t'excuses?
Lui - Ben...
On a passé deux heures ensemble à jaser au parc.
Il s'est transformé en homme en colère en pointant du doigt des gens aux parc pour une colère qu'il ne pouvait adresser à son frère.
On s'est fait un gros calin en se quittant.
Je ne suis visiblement pas de ceux qui quittent les autres avec leur carte d'affaire et qui auront droit à une chambre semi-privée. Je serai de ceux qui crève dans un corridor d'hôpital et dont la mort servira le syndicat des infirmières pour une augmentation de salaire.
Je suis un raté.
C'est pour ça que j'ai du temps pour bloguer.
Je serais mère au foyer que j'aurais une bonne excuse, mais non je suis un homme et pour seule excuse c'est ma nullité.
Je suis rien, juste un quêteux qui a su faire un calin à un quêteux dans un parc.
Pathétique.

J'aime comme tu écris....


Je vais me trancher la jugulaire. Je remplirai un seau de mon sang avec lequel on fera un boudin humain que l'on saura bien assaisonner.
Si on bouffe du sang de cochon, je ne vois pas pourquoi on ne boufferait pas le mien même si j'ai parfois été un peu grossier.

Je dois vous quitter, le couteau m'appelle et la chaudière est avide.
Adieu!

Des fourmis...

J'ai des fourmis noires dans mon appart.
Je cherche à les piéger.
J'ai installé des pièges à souris mais ça ne semble pas fonctionner.

lundi 21 juin 2010

Messieurs, gardez là dans votre pantalon...

Je suis de ceux qui croient qu'il est souvent mieux de garder sa queue dans son pantalon.
Une autre bonne raison à le faire ici.
Et pour un vent de fraicheur, .

dimanche 20 juin 2010

Mort sans avoir été tué...

Cinq gars mirent une cible posée sur un coeur qui doit être exécuté parce que ce sans coeur en à lui-même exécuté deux. Comme ils sont contre le meurtre, il est donc sensé de tuer les tueurs, non?
Mais non! L'idée c'est que personne l'aura tué. L'un des cinq tireurs à une balle à blanc, ainsi aucun d'entre-eux ne pourra, autour d'une bière, se vanter d'avoir touché le coeur de ce sans coeur avec certitude.

Le gars est mort mais il n'y a personne pour en porter l'odieux. N'est-ce pas extraordinaire?
Il y a eu mort d'homme mais pas d'assassin. C'est utile dans une société qui est contre les homicides.

L'humain ne cesse de m'impressionner par son intelligence malveillante.

Ça me fait penser aux disputes que ma fille avait avec ses amis. Lorsque j'intervenais, il n'y avait jamais de coupable.

samedi 19 juin 2010

La fête des pères...

Personnellement, j'en ai rien à foutre de cette fête, ni de celle des mères.
Pourquoi faire un billet alors?

Parce qu'à chacune de ces fêtes je me dis qu'elles sont périmées et qu'elles devraient laisser place à une seule fête par année, la fête des parents.

vendredi 18 juin 2010

Le Hy...

Ce billet pourrait sembler assaisonné d'un ton vindicatif mais il n'en est rien. Malgré les apparences, il est en demi-ton, du gris surtout, avec un fond de dépression que l'on retrouve dans le laisser-aller, dans un ras-le-bol qui s'accompagne d'une résignation qui vous place dans une position d'observateur amusé d'une réalité inventée plutôt cocasse à laquelle vous assistez passivement, sans désir d'y participer plus qu'il ne faut.

Le Hy, c'est pour l'hystrionisme d'une majorité des femmes québécoises.
Le Hy c'est pour ce concept insensé que l'on utilise à tour de taille, l'hypersexualisation.
Le Hy c'est pour cet autre concept de tolérance zéro face à la violence.
Le Hy c'est aussi pour ce mouvement des mères Hyndignes.

Tout ces trucs assaisonnés par les femmes du Québec et qui versent dans l'hystérie, dans une amplification qui frôle presque l'hérésie.

Prenez l'hypersexualisation, terme évocateur certes mais tellement vide de sens et faux.
La mise en valeur du genre est un phénomène tout à fait naturel que l'on retrouve dans toutes les sociétés. C'est simplement de régulation et de socialisation des instincts humains dont on parle, rien de plus. Pendant qu'au Québec, les femmes qui contrôlent l'école tente de définir ce qu'est une camisole à bretelle spaghetti, dans certaines société les fillettes se promènent seins nus mais cela n'empêche pas qu'il y ait, là aussi, des mécanismes de régulation des instincts.

Tolérance zéro face à la vhyolence...
Une autre formule hystrionique servie à la sauce québécoise.
C'est de l'intensité de la répression dans une situation donnée dont on parle et non de non-violence puisque la répression peut avoir recours à la violence au besoin.

Mères hyndignes...
Voilà une autre formule schydzophrénique développée par les femmes pour dire on ne sait pas trop quoi?

Mais au final c'est la folie du discours féminin québécois sur la vie qui n'a pas de sens.
Personnellement il m'est bien difficile de m'entretenir avec des femmes, leurs discours est tellement traficotés et pervers qu'il n'en résulte rien d'intelligible.
Et ce qui m'étonne le plus, c'est qu'elles n'en sont pas conscientes. Elles s'enlisent dedans sans même se rendre compte des incongruités.

Pour parler des instincts humains je crois que la femme québécoise n'a pas ce qu'il faut pour en discourir intelligemment sans sombrer dans l'hystérie ou dans l'intégrisme.

Je ne sais pas si intellectuel et féminin peut se conjuguer, au Québec du moins?

Je n'aurai possiblement peu ou pas de réponse à ce billet. J'invite donc prétentieusement, celles qui auraient l'intention d'y répondre d'une façon inintelligente à passer leur tour et à réserver leurs inepties pour d'autres blogues.

mardi 15 juin 2010

Another brick in the wall....

Je réalise que j'écris compulsivement mes billets pour repousser ceux qui précèdent.
Comme ils sont tout aussi idiots les uns et les autres, je finis par faire un mur tout croche qui ne ressemble à rien sinon à moi.

D'ailleurs ce billet n'a pour fonction que de sortir de la page un billet ridicule titré Un appel à tous. C'est parfois en écrivant qu'on tente d'effacer. Dit comme ça, ça semble ridicule, mais c'est parfois vrai.

Mes billets ne sont que d' infructueuses tentatives de réparer les conneries racontées dans ceux qui précèdent.

J'aspire à écrire ce dernier billet qui sera satisfaisant et qui mettra fin à cette production ineptique.

La muse passera peut-être un jour et il en sera fini de ces âneries..

lundi 14 juin 2010

Je me suicide...

J'ai oublié du jambon à l'ancienne sur le comptoir pendant au moins 12 heures. Il y en a pour 3 $ pis des 3$ j'en ai pas des masses.
Je projette de me faire une salade avec ce jambon, j'espère ne pas être emporté pas la listériose.
On lira sur ma tombe .... Il fut tué par un cochon mal réfrigéré...ça serait triste, non?

dimanche 13 juin 2010

Mesdames.....

Mesdames du Québec pourquoi avez vous cette facilité à sortir le sein laiteux, ce n'est pas très sensuel.
La vulve sèche et le mamelon qui coule à tout vent.
L'idée d'une bonne mère?
Elles sont ou celles qui lubrifient encore un peu?
Moi je cherche une vulve lubrifiée avec de petites lèvres qui pendouillent.

J'aime bloguer...

Aujourd'hui c'est dimanche et j'aime les dimanches, ils sont mieux que les lundis, bien qu'un peu moins bien que les vendredis.

Ce matin je me suis levé à 7h45 pour aller faire un beau pipi. Il était un peu trop jaune, j'aurais du boire plus d'eau hier. Je me suis dit aussi que j'aurais dû mieux viser, j'ai du prendre du papier de toilette pour essuyer ma pisse sur le plancher. Ça n'a pas de sens de pisser partout comme ça surtout que ma toilette c'est ma toilette je n'ai même pas besoin de faire mon territoire. Ça doit être l'instinct de l'animal qui est en moi, je dois déborder d'hormones.

Toujours est-il que c'est en me mettant le doigt dans le nez que je me suis rappelé qu'après avoir pissé j'avais négligé de me laver les mains . Le nez me pique depuis ce temps.

Ça vous est déjà arrivé un truc du genre?
Je crains une chlamydia nasale. Envoyez moi des ondes pour que cela ne m'arrive pas. Merci à l'avance.

samedi 12 juin 2010

Impuissance...

J'aimerais tellement avoir l'intelligence pour décrire les comportements humains et y donner un sens.
Malheureusement, je suis trop bête pour y arriver et ça me frustre.
La blogosphère québécoise est un mini réseau social et virtuel que je nomme la gang à Drew.
Les mêmes sont partout, d'un blogue à l'autre, presque.
Et je me retrouve boycotté. Bloqué ici et là, et sans commentaire, peu sur mes billets. Tu en offenses un, et 5-6 autres disparaissent par solidarité. Si on multiplie ceux que mes propos on offensés par 5 ça commence à faire pas mal.

Ce que je trouve drôle dans cette aventure c'est que même dans un espace simplement virtuel, sans ambition pécunière, la blogosphère obéis aux mêmes lois du réel.

Ce n'est pas d'être marginalisé par la blogosphère qui me pèse, j'ai déjà assez de la marginalisation réelle que j'ai décidé de vivre et d'assumer.

Ce qui me désole c'est de constater que le virtuel ne fait que reproduire la même chose même si il n'y a aucun enjeu, ou très peu.

Ce besoin d'occuper un territoire, aussi dérisoire puisse-t-il être est hallucinant.

L'occupation virtuelle, c'est débile mental.

Mais ce que je trouve particulièrement triste c'est la qualité de l'occupation québécoise. J'ai plutôt honte de la qualité de ce que je lis sur la blogosphère.

C'est insignifiant, sans substance, une description d'un quotidien nul à chier, sans saveur et sans valeur.

Je déconne, il y a une saveur et des valeurs mais elles sont vides.

C'est ce qui caractérise la blogosphère québécoise je trouve, le vide.

Non c'est pas vrai, il n'y a pas de vide, c'est plein, c'est juste vide du sens que je recherche.

La blogosphère est faites de femmes à la maison qui se divertissent et de quelques hommes féminisés.

Ennuyant pour les neurones mais stimulant pour ce qui est des mécanismes de controles sociaux.

Ça ne m'étonne pas d'être en marge virtuel puisque je le suis dans le réel, le virtuel n'est qu'une copie du réel sur un autre support, il n'y a là rien de révolutionnaire, juste du usuel.

Le Mondial et son coup de balai...


Il y a de ces évènements qui rallient le monde pour faire l'éloge de l'humain. Les Olympiques et bien sur le Mondial.

Lors de ces évènements, les pays ou les villes hôtes repoussent la racaille loin de l'oeil des lentilles des caméras, on soulève le tapis pour y mettre la poussière tout en jetant de la poudre aux yeux.
Les derniers jeux olympiques tenues en Chine en sont un bon exemple.

Maintenant, c'est l'Afrique qui devient belle, c'est l'Afrique dont on fera l'éloge pendant un mois.

Moi, j'ai souvenir d'un génocide, Hutu et tutsi, ça vous rappelle quelque chose? Un dimanche à Kigali?

L'humain, je ne fais par référence ici seulement aux Chinois et aux Africains, l'humain à cette capacité de faire taire les atrocités dont il est capable pour faire place à un spectacle qui parle d'amour universel.

Quel merdier!

Allez regardons pousser le ballon sur le gazon en apprenant comment l'Afrique est belle, et laissons quelques larmes lors de la cérémonie de fermeture d'un si bel évènement humain.

vendredi 11 juin 2010

Une relation amoureuse....

Une relation amoureuse c'est à peu de chose près comme une séance de masturbation animée par un fantasme.
La seule différence, c'est que dans la relation amoureuse, on demande à une personne réelle de jouer le rôle de ce partenaire imaginaire.

L'amour...

Elle lui tendit une cigarette pendant qu'il s'essuyait la bouche et le menton tellement elle avait lubrifié....
Elle lui tendit une cigarette, ils prenaient une pause avant de rebaiser...
Elle lui tendit une cigarette pour terminer un repas des plus romantique...

Peu importe le contexte, il suffit d'en imaginer un, ils sont tellement nombreux quoique plutôt limité, en fait. Toujours est-il qu'après avoir expiré sa première bouffée, il lui dit....
Lui- Je t'aime.
Elle-Tu es amoureux.
Lui-Oui, et toi?
Elle se contentait de l'embrasser sans rien dire.

Elle trouvait que l'amour est un truc tellement complexe et sauvage qu'il ne servait à rien de tenter de l'apprivoiser par des mots qui le plus souvent ne servent que le moment présent et qui, comme le lait, deviennent vite périmés.

Elle savait très bien que ce mot aimer, lorsqu'il est dit n'est que l'expression d'un bien être intense ressenti au moment présent et d'un désir de le prolonger, et que dans un futur plus ou moins éloigné, il prendra un autre sens.

Devant l'irrationnel et l'égocentrisme du mot aimer, elle préférait profiter sans discuter.

Elle ne comprenait pas ces vaines tentatives d'encapsuler l'intensité d'un moment dans l'espoir qu'il devienne permanent. Elle se surprenait de la réaction de l'autre qui le plus souvent n'appréciait pas qu'elle ne s'engage dans ces histoires inventées.

Mais elle s'en foutait un peu, elle acceptait que l'autre ait besoin de se raconter des histoires, elle ne cherchait pas à les défaire, tout ce qu'elle demandait c'est de ne pas en être dérangée.
Elle se disait qu'on a beau dire que l'amour est un sentiment altruiste mais elle, elle savait très bien qu'il s'agissait là de quelque chose de bien égoiste.

Elle se taisais aussi lorsqu'on lui reprochait de ne pas participer à l'histoire de l'autre. Pourtant elle était très présente à l'autre, juste un peu moins aux histoire qu'il se raconte.

Ce qu'elle désirait en fait c'est une véritable rencontre mais ça, ça semble plus difficile.

mercredi 9 juin 2010

Celle qui n'est plus mère....

Vous vous doutez bien que je parle ici de cette jeune fille, mère d'un nourrisson tué par une chienne Huskies.

Si l'on s'identifie au poupon, on ne peut qu'être troublé par l'horreur de l'évènement.
Toujours en s'identifiant à l'enfant, on peut aussi se demander si ce drame était évitable et si le parent à une responsabilité.

Si on s'identifie au parent, il est possible de ressentir l'intensité de la douleur éprouvée par la jeune mère devant l'atrocité de la chose.
On peut aussi trouver injustice, qu'en plus de porter le poids de cette perte cruelle, elle doive aussi subir la foudre de la Justice. Comme si ce n'était pas assez!

Personnellement, j'éprouve toutes ces émotions

Mais je ne sais pas.

Je ne sais pas....
Parce que l'on ne connait pas les détails de l'enquête qui a mené à cette accusation portée contre la mère.

Ce que je sais...
c'est que le parent, peu importe son degré de responsabilité, demeure imputable de ce qui arrive à ses enfants.
Et qu'une mort aussi tragique mérite que la police s'y arrête, la Couronne aussi, et ce, malgré la souffrance de la mère.

Ce que je pense...
c'est qu'une accusation d'homicide involontaire me semble déraisonnable, et je peine à m'imaginer qu'elle en sera reconnue coupable tellement que cela me semble excessif. Mais comme je disais, on ne sait pas tout de l'enquête qui a mené la Couronne à porter cette accusation aussi grave. Pourquoi pas négligence ayant causée la mort? On le saura surement dans un avenir rapproché.

Au final, ce que je pense, c'est qu'on ne souligne pas assez que cette mère n'a que 17 ans, ce n'est qu'une jeune fille. Ça me semble un facteur important et je n'ai lu personne le souligner en caractère gras.

Lorsque j'ai eu ma fille, qui a 17 ans actuellement, j'avais 31 ans et jamais je n'aurais laissé ma fille par terre, sans supervision, en compagnie de chiens. À 17 ans, peut-être?

Il reste que tout ça est profondément malheureux et horrible.

Pour ce qui est des chiens, ça serait la chienne qui aurait tué le poupon. Il semble évident qu'elle sera euthanasiée, le chien aussi j'imagine, pour complicité. C'est à voir.

mardi 8 juin 2010

La prédiction de Michel...

Je ne prédis jamais dans le sport et dans bien autres choses aussi. C'est d'un ridicule qui relève de la pensée magique.

Mais je prédis que les deux chiens impliqués dans la mort du nourrisson sont déjà condamnés.
Le truc d'évaluation de la dangerosité des chiens n'est que de la poudre aux yeux, qu'un verbillage ridicule face à une situation horrible.
Quelques jours et ils sont morts.

Je prends les paris à 10 contre 1. Vous misez 1$, ils survivent et reviennent avec leur maitre et je vous en donne 10$.

Les paris sont ouverts. Go Go Go!!!

lundi 7 juin 2010

Gaza et Israel à la sauce québécoise....

Je ne veux plus de mes deux chats chez moi. Ils piétinent mon territoire, ils vomissent sur mes tapis qui ont une valeur symbolique à ma yeux. Ils laissent de leurs poils un peu partout, et tout ça pour peu de chose au final.

Mais en bon québécois qui baigne dans l'hypocrisie d'un humanisme qui n'est qu'apparence, je les regarde et me demande bien comment je ferais pour les conduire aux chambres à gaz?
Je me dis non, je ne suis pas inanimal, après tout, inhumain peut-être, mais ça, je ne suis pas le seul.

Pour m'aider, je nous ai rebaptisé, tout les trois. Mon nouveau nom est Michelovitch, et mes chats se nomment maintenant Squig-alah et mimo-hamed.

Je leur ai laissé la cuisine pour l'eau, la bouffe et la litière tout en ayant pris soin de leur interdire le salon et ma chambre. Il y avait un blocus sur ces territoires.

Comme ils sont des bêtes nulles à chier, ils n'ont pas pris beaucoup de temps à envahir.

Ainsi ils m'ont obligé. J'ai pris squig-alah par le collet, lui ai tranché la carotide et fait de même ensuite pour mimo-hamed.

Comme je respecte la vie même lorsqu'elle est morte, je les ai foutu au bac de recyclage histoire d'en faire au moins du compost. La moindre des choses, non?

Mais les voisins et leurs enfants qui ont vu ces chats morts reposant dans le recyclage se sont attendris et ont appelé la Ville qui est vite débarquée chez moi.

Je leur ai ouvert la porte pour leur dire que je me nommes Michelovitch et que ce qui se passe chez moi est de la régie interne et ne concerne en rien les voisins et que tout était légitime et bien fait.

Il serait irrespectueux pour les animaux de ne pas leur accorder le même traitement que celui qu'on réserve aux humains, non?

Pis au final, les voisins se plaignent pour rien, j'ai pris soin de recycler leur mort, c'est pas tout le monde qui fait ça. Je suis pro-vie moi.

samedi 5 juin 2010

Intelligent dit-on...

C'est Woody Allen qui disait qu'on accorde trop d'importance au cortex, cette substance grise qui, en réalité, ne fait que bien peu de différence, du moins pas davantage que les hormones peuvent en faire. Mais a-t'on déjà fait l'éloge des hormones?
Les plus souvent c'est pour les décrier, pauvres elles.

J'ai passé la semaine à parler de féminisme et de masculinisme, passé la semaine à redire et réentendre ce qui remâché depuis au moins une décennie. Je ne sais plus quelle est l'échelle de grandeur qu'il faut utiliser pour apercevoir un soupçon d'évolution chez l'Homme. La mesure susceptible de rendre perceptible quelqu'évolution que ce soit doit surement se compter en année lumière et encore?

Toujours est-il que je parle à ma fille, elle a un cellulaire, ça c'est de l'évolution monsieur.

Moi- Salut Miss.
Elle- Salut Papou que fais-tu?
Moi- Je parle au téléphone et toi que fais-tu?
Elle- Je suis aux chutes de Rawdon avec des amis.

Putain, je me baignais là il y a 35 ans. La différence, elle s'y baigne avec un cellulaire et des amis africains. Moi je n'avais pas de cell. ni d'amis africains, juste une caisse de 24 de 50, quelques joints et des amis qui se nommaient Claude, Gilles, François ou Johanne.

Moi- Fais attention pour ne pas te noyer, le courant est fort et il y a eu de nombreuses noyades à cet endroit.
Elle- Ben tu peux me rappeler ce soir pour te rassurer.
Moi- Non ça va, je préfère que tu sois prudente.
Elle- Ok.

La morale?
Une impression de déjà vu.

vendredi 4 juin 2010

Il doit être difficile d'être beau...

Certains portent des tenues de soirée, marchent sur des tapis rouges, moi je porte la laideur de la vie, c'est mon habit maintenant. Une éponge qui se gonfle de la bêtise des humains.

Je suis sans fond et sans forme, mon allure agace.

Je lisais un billet hier. Un gars parlait de ses poils qui lui sortent des narines et ce billet avait 23 réponses, je crois, un truc du genre. Un billet sans fond et sans forme mais qui amuse une galerie. Un divertissement innocent qui semble populaire.
J'ai fermé l'onglet, un peu plus déprimé que je l'étais.

Ce matin, je lis un autre billet, celui d'un gars qui a une plume magnifique, le ton est à la déprime et je me suis dit regarde bien, les gens vont lui dire qu'il écrit bien et qu'ils aimeraient écrire aussi bien que lui. Effectivement, à part quelques mamelles bien laiteuses qui n'ont pu résister à leur réflexe de sortir le sein, quelques uns ont fait part de leur envie d'écrire aussi bien.

Moi? J'ai raconté une connerie, devant le pathétique, je fais dans l'absurde, c'est mon réflexe, d'autres sortent la mamelle, moi je fais dans l'impertinence.

Mais au bout, je me disais que la blogosphère est pauvre. Tu écris un billet et les gens n'ont pas la capacité d'en saisir le fond même lorsqu'ils s'y intéressent et les autres qui apprécient la forme passe à côté du fond.

Au final, bien peu de choses.

Alors je me disais, comme ce mec écrit bien, il ne doit pas être facile d'être entendu d'ou le titre de ce billet. Il ne doit pas être facile d'être beau.

jeudi 3 juin 2010

C'est beau...


Une pub de CKAC semble faire quelques vagues. Personnellement je trouve la photo réussi.
Un beau cul de femme présenté comme ça sobrement et avec gout, c'est comme le gout d'un chocolat de qualité qui fond doucement dans la bouche. Une sucrerie. Bravo!

mardi 1 juin 2010

Féminisme et masculin....

Le féminisme est partout dans le système de Santé.
Ainsi le traitement des gars violents sont pour la plupart offert par des organismes gérés par des féministes.
On tente de faire leur éducation. Méchant garçon, on va t'apprendre les bonnes valeurs.
Newton ici parle de Rondeau, un TS réputé qui sous un organisme CRI-VIFF fait de la recherche sur la violence faites aux femmes. Son équipe est constituée de femmes et de féministes.

Pour moi, le pire n'est pas le féminisme mais la fumisterie.

Le point de départ pour parler des réalités des gars passe d'avantage selon moi par Corneau. Il a fondé RHQ, un organisme d'entraide pour hommes géré par des hommes.
L'Amour en guerre est un livre intéressant, facile à lire, psychologie populaire mais pas sans intérêt.

Ce n'est pas un gourou, loin de là, une référence autre que celle des femmes qui parlent des hommes ou encore qui font de l'homme une poupée pour entretenir un discours à trave rs leur talent de ventriloque. Il y en a trop, malheureusement, trop de marionnettes masculines et de ventriloques féminins.

Je pourrais terminer en disant que c'est aux hommes de parler des hommes mais je ne peux pas conclure ainsi, la plupart sont tellement féminisés que c'est la femme qui parle, et oui, encore!

Personnellement, je trouve que c'est dangereux et bien que je ne fasse pas parti du masculinisme, je trouve qu'il y a là quelque chose d'intéressant pour l'homme.
Et Centraide après des années de peur et de réserves a commencé à subventionner quelques organismes. Tant mieux.

Il arrive un moment ou on se dit que le féminisme est bien beau mais à trop frapper les hommes on se rends compte d'un besoin d'équilibre.
Ça me fait penser à Israel actuellement, un moment donné l'auto défense et la légitimité devient excessive et les gens disent, wow, c'est peut-être trop?

Un appel à tous...

Est-ce qu'il y a un homme sur la blogosphère?
Faites moi signe si vous existez.