vendredi 29 janvier 2010

La série Montréal-Québec...

J'aime la télé-réalité et le hockey. J'ai donc l'intention de suivre la série.
J'ai quelques réserves cependant.

Machisme ridicule (1)
J'aime ce sport tout en aimant pas ceux qui le dirigent et qui y jouent.
Lors d'une pratique inter-équipe un gars s'est blessé au poignet suite à une mise en échec d'un de ses co-équipiers. C'est ridicule. La beauté du hockey pour moi est dans le patinage, l'habileté du contrôle de la rondelle avec le baton, la précision et la force des lancers, elle n'est pas dans l'applatissement des gens dans la bande.
Et malheureusement, je crains que cette série navigue dans cette brutalité gratuite et stupide. C'est dommage

Machisme ridicule (2)
Pour le premier match ils ont tenté d'écarter les filles et les vieux. Ce truc de compétition viril ou le gagner à tous prix guide tout ne me rejoint pas du tout.
Ça reste beau laboratoire pour voir ces hommes de l'ere de Grosmognons.
Je crois qu'ils passeront à côté de cette possibilité de montrer la beauté d'un sport pour se perdre dans des niaiseries.

Québec...
Québec me semble beaucoup plus talentueux. Dans les buts et partout ailleurs.
Je crois que Montréal va se faire planter à donf dimanche.
J'espère qu'ils ont prévu des réaménagements parce que la série, si c'est le cas, va être plate en maudit.

Sans contact...
Personnellement j'aurais imposé la règle du non contact physique. Si les gens se rentrent dans la bande à qui mieux mieux, je trouverai qu'ils se sont trompés. Et après avoir vu une pratique, je crois qu'ils sont dans le champs. Le Québec est à l'heure ou il tente de désabrutiser la pratique du hockey amateur, une série télé comme celle-là qui permet des brutalités seraient un peu anachronique.

Sensibleries ridicules...
Les 2 coachs pourtant professionnel semblent souffrir à couper un joueur. Voyons donc, assumez vous sacrament et dites les vrais raisons pour lesquelles vous les coupez, c'est facile.
C'est le premier match, on ne sait pas encore la force des équipes en place pis on veut gagner faque les filles et les vieux..Out... C'est compliqué ça? Arrêtez de pleurer hypocrite. Je les pensais plus fort, ils font dans le machisme ridicule et en même dans dans une molesse qui l'est tout autant.

Je vais voir dimanche mais semble que l'humain québécois dès qu'il mets des patins dans les pieds devient bête, c'est dommage parce que c'est un beau sport. Finalement je ne suis plus certains que je vais la suivre jusqu'au bout.

dimanche 10 janvier 2010

Salut virtuel...


Moi - Salut Virtuel, je peux te raconter mon aventure d'hier soir?
Virtuel - Bien sur.
Moi - Elle est belle, cheveux noir, long, une bouche pulpeuse.
Une fois chez moi, elle s'est étendue sur mon lit, elle a relevé sa jupe, baissé sa culotte au genoux.
Elle - Tu me regardes faire et tu ne me touches pas mais tu peux me dire que je suis belle.
Moi - Ok, et elle se masturbe devant moi. Elle orgasme et me dit..
Elle - Dis moi que tu as aimé.
Moi - Ben c'est que...
Elle - Non, non! Dis moi que tu as aimé.
Moi - J'ai aimé et tu es très belle.
Elle - C'est gentil. Elle remonte sa culotte, se lève, replace sa jupe et quitte, souriante.
Moi - Alors, je me lève, j'allume un clope devant mon écran et j'écris ce billet en me disant qu'elle doit bloguer.
Virtuel - Ta métaphore n'est pas tout à fait juste. Cette Bellucci a choisi ton lit, les blogueurs font avec toi, sans vraiment te choisir. Mais l'idée est pas si mal, elle s'approche du réel virtuel, reste à la travailler un peu plus.

Salut virtuel...


Moi - Salut virtuel. Le désir de se montrer, soi, et ses proches m'étonne parfois. Je me demande ou sera la limite.
Virtuel - Tu serais étonné, la limite est souvent repoussée.
Moi - Je te crois, j'ai fait une belle crotte tantôt, je te la montre.
Virtuel - T'es pas sérieux?

mercredi 6 janvier 2010

Salut virtuel...

Moi - Salut Virtuel. Ce matin je me suis retrouvé dans un parc, je marchais sur les planches de bois qui composaient une grande estrade de couleur verte.
Par un pur hasard j'ai croisé mon père que je n'avais pas vu depuis longtemps.
Je l'ai pris dans mes bras, je l'ai serré très fort avec une intensité aussi grande que le plaisir que j'éprouvais à le revoir.
Virtuel - Ben dis donc, c'est un drôle de hasard. Et ensuite?
Moi - Bien en le serrant dans mes bras, j'ai fini par ressentir qu'il était un peu mou et amaigri. Je me suis souvenu alors qu'il était malade, cette reprise de conscience a fait basculer le plaisir à le retrouver pour la remplacer par un sentiment de déception intense.
Alors je l'ai aidé à s'assoeir sur l'un des bancs de bois. Une fois assis, il semblait souffrir du soleil qui le plombait, alors je l'ai aidé à changer de place et je me suis assis avec lui pour discuter un peu. Et je me suis réveillé. Ça semblait si réel, j'en ressens encore les émotions quelques heures plus tard.

Virtuel - Oui, j'ai souvenir qu'il est décédé il y a 6 ans déjà.
Moi - Effectivement, mais dans ce rêve, je le retrouvais comme si il n'était jamais mort, c'est vraiment impressionnant comme sensation. Il me manque beaucoup je crois.
Virtuel - Possible oui.