dimanche 5 juillet 2009

Victime...

La plupart des femmes au Québec ont un discours de victimes. Elles le disent de toutes sortes de facon mais le discours est le meme. Il semble s'agir d'un consensus.
Un bon nombre de gars sont féminisés et partagent ce discours. C'est triste et ennuyant.
La vie est violente en soi, la naissance est violente, tout l'est. Cette démesure est folle. Elle ressemble à ce... je n'ai pas peur de la mort mais je ne veux pas souffrir. La vie est souffrante, la mort le sera aussi.
Faire de l'égalité des sexes comme principale valeur au Québec, c'est un peu désolant, c'est niveler par le bas. L'égalité n'existe pas que ce soit question de genre, de langue ou de race. C'est juste un rapport de force, et le discours féminin s'engage dans un rapport de force dans une position de victime et au nom de cette victimisation, ce discours se permet n'importe quoi. C'est comme les juifs, ils sont tellement victimes que ca justifie l'agression.
Moi les femmes je les aime Européennes.
Au Québec la plupart sont des victimes un peu triste ou des mégères qui disent souffrir du fait que les gars n'arrivent pas à se tenir debout. Moi je dis que c'est les femmes qui n'arrivent à se tenir debout, elles optent pour la victimisation.

2 commentaires:

Sally Fée a dit…

Celles qui m'entourent, mes amies, ma soeur, ma mère et ma belle-soeur, ne ressemblent pas et ne se comportent pas en victimes. Ce sont des femmes qui aiment la vie, qui ont un souci d'équité et qui voient en l'homme un complément (d'objet)direct!

Je préfère ma planète à la vôtre...

:O)

Michel a dit…

La planete ne m'appartient pas mais alors vraiment pas. La victimisation des femmes est un fait objectif. C'est meme un discours politique subventionné et régit par la loi. Non?