vendredi 3 juillet 2009

Baveux...

Il m'arrive d'etre baveux et parfois je me sers de la justesse des mots pour écoeurer le peuple. Les gens croient que c'est pas important pourtant c'est fondamental. Je ne parle pas de l'orthographe là mais bien du choix des mots, c'est un Art.

Avant de faire un dépot à la banque je me tape une vieille derrière moi qui tente d'etre en relation avec une latino de 3 ans qui est devant moi, ca rend mon temps d'attente encore plus pénible. Cette vieille qui parle mal et cette jeune latino tout à fait désagréable fait un concert d'interactions complètement hallucinant. Je fouterais à la petite et à la vieille un bon coup de pied au cul.

J'arrive finalement au comptoir, je suis content c'est la jeune blonde teinte aux gros seins un peu décolletés, l'autre en avait des petits mais un gros corps.

Un gars - Je veux déposer celà dans le compte de quelqu'un. Et je laisse tomber l'enveloppe sur le comptoir.
Caissière - Parfait vous avez le nom?
Un gars- Non.
Caissière - Ok, vous avez le numéro de compte?
Un gars- Non. Elle semblait avoir de beaux seins mais pour les questions elle n'était doué. Voir si je me présenterais dans une banque pour faire un dépot, attendre 15 minutes et ne pas savoir ou je ferais ce dépot d'argent qui m'est très précieux parce que rare. Elle aurait du demander quel est le nom, quel est le numéro de compte. C'est là des détails qui semblent anondin mais qui font en sortes que les gens racontent n'importe quoi.
Elle n'est pas offusquée, elle a du me trouver juste bizarre un peu, je lui donne l'info et je sors avec mon recu.

Je vais à l'épicerie, 200 grammes de jambon. Le charcutier a des yeux d'un bleu impressionnant. Avant j'avais ramassé une tomate et une laitue romaine qui me rappelle ma belle italienne. Il a mit 23 grammes de trop, il veut l'enlever, je trouve ca gentil, je lui dis ca va c'est bon tout en pensant que je dois vraiment commencer à ressembler à ce que je suis, un pauvre.
J'oublies la litière, la putain de litière que mes chats ne cessent de remplir, je devrai ressortir pour entendre parler anglais again and again.
À la caisse, une femme qui m'est antipathique, moche et chiante, une mégère qui n'a rien à voir avec la cassière blonde aux gros seins.
Caissière - Voulez-vous un sac?
Un gars - Oui. gling, gling, elle me le facture 5 cents. Mais vous m'avez demandez si je voulais un sac et vous me le facturez?
Caissière - Ben oui tout le monde sait ca depuis longtemps.
Un gars - Mais vous auriez pu me demander si je voulais acheter un sac puisque vous le vendez.
Caissière - Hey, je va pas m'ostiner avec toi là.
Un gars - Moi non plus.

Voilà quand je ne suis pas de bonne humeur ca se passe comme ca, faut savoir me parler et choisir les bons mots.

Dire que je raconte n'importe quoi, n'importe comment et que parfois je lésine sur les mots.

5 commentaires:

Drew a dit…

J'suis passé à la caisse aujourd'hui pour une carte de guichet...

Calisse c'était suréaliste et surtout à suivre...

Call me agace!

Michel a dit…

Quel est le propos de ce massage?

Drew a dit…

J'vais déblatérer de ça demain... J'suis encore pompé sti c'est pas des jokes

Michel a dit…

Ok je dois avouer que je n'arrive pas à te suivre aujourd'hui.
S'il s'agit des banques et de leur controle, je comprends, ils sont hallucinants.

Drew a dit…

Tout le trouble d'aller te chercher une nouvelle carte de débit dans une Caisse Pop...

Une fuking carte de débit mec...

1 heure