vendredi 31 juillet 2009

Pédant....

Je suis un être irritable assez facilement. Pour certains sujets je suis comme un grand brulé dont la peau se blesse facilement.
Ce billet sur l'art contemporain et les réponses me sidèrent. Le ton est pédant et prétentieux. Jamais ne n'utiliserais un tel ton pour intéresser des gens à un sujet.
Qu'il parle d'un sujet puéril, de divertissement ou plus noblement d'Art, de Science, l'humain est aussi con. Il gagne à se taire et laisser son oeuvre parler à sa place.

jeudi 30 juillet 2009

Ton regard...

Je n'arrive pas à le soutenir.
Il demande ce que je ne peux faire.
Désolé et incapable, tu devras regarder ailleurs.
Je détournes le mien par honte et détournes le tien pour ta survie.
Bonne chance.

mercredi 29 juillet 2009

I agree...

Him - They can speak french.
Moi - Merci, c'est gentil, vous êtes généreux.
En fait je n'ai pas besoin des anglais pour m'autoriser à parler français.

mardi 28 juillet 2009

Sauvegarder maintenant....

J'en ai des messages sauvegardés, pourtant la vie n'est pas brouillon. Je roule sur la voie de service. Malheureusement.

Souvenir...

Mon précédent billet commence par cette phrase.... Je me souviens au CEGEP...
Cette phrase me frappe parce que je n'avais pas vraiment de famille, le secondaire je l'ai passé dans un ailleurs, partout sauf en classe.
Et le CEGEP m'a raccroché, m'a fait lire, m'a fait penser, m'a fait écrire. En fait c'est là ma principale influence.
Nostalgie...

lundi 27 juillet 2009

Parlons de pauvreté...

Je me souviens au CEGEP d'un livre d'Alain Stanké, J'aime encore mieux le jus de betteraves, je crois. Le titre m'avait marqué. Si je me souviens bien, il était Juif Polonais et a connu les camps de concentration.

La pauvreté à Montréal n'est rien comparé à ça.
Mais ça fait deux jours que je déchire les pages jaunes pour en faire une litière pour mes chats.
L'épaisseur de ce gaspillage de papier sert bien ici, il ne va pas au recyclage bêtement, il sert à mes bêtes.
La pauvreté c'est ça, utiliser les ressources autour de soi sans gaspillage. La goutte d'eau prend de sa valeur par sa rareté. Sinon, les robinets qui fuient, on s'en fout.

Lorsqu'il ne te reste rien, tu utilises tout. Jeter est un luxe dont je n'ai pas le loisir.
Le bac à recyclage, c'est un luxe que tous ne peuvent se permettre d'emplir.

Mon voisin est prétentieux, le sien est fait de bouteilles de bières consignées à 10 cents chacune, sans compter les bouteilles de vin d'origine contrôlée. Il étale sa richesse dans son bac à recyclage tout en s'émouvant devant le sort des sans-abris.

C'est touchant. Il dispose de ses restes en se disant tant mieux si ça peut profiter à d'autres. Il se croit écologique et bon citoyen.

En fait, il est bon citoyen, il consomme, il a bon crédit et un bon CV.
Il est presque parfait.

Mieux adapté que moi dans ce monde en tout cas, ça c'est certains, mais quand on me dit que pour moi c'est gratuit, je rage un peu parce qu'il me semble que je paye pas mal quand même. Bon j'avoue que c'est pas très productif mais pour la gratuité? Venez me rejoindre, on en discutera après.

Nous travailleurs payons pour les frais des fausses communes de ces gens non productif. C'est scandaleux mais en même temps on arrive pas à les laisser se putrifier dans la rue. Alors, on paye quoi en fait, son bien-être? Allez laissons les se décomposer dans la rue histoire de sauver quelques sous, comme ce pigeon qui se décompose dans la ruelle juste à côté de chez moi.
Mais non, quelques sous histoire de se ménager une dignité, c'est rentable. Enlevez ce cadavre que je ne saurais voir. Mais non, comment expliquer à nos enfant la présence de cet être qui se décompose sur le trottoir. Cela serait difficile, il vaut mieux les enlever et chialer sur les couts minimes qu'ils nous imposent et louanger Norbourg et Nortel, pour se plaindre ensuite de grosses pertes. L'obésité elle est là.

Vous avez lu Skinner? Par delà la liberté et la dignité? Putain c'est un juif aussi, je suis pogné avec les juifs. Le judéo-crétin.

Isolement et solitude...

Josianne Massé a écrit un billet très inspirant...La solitude du blogueur,
Comme mon propos a été un peu incisif la première fois que j'ai parlé ici d'un de ses billets qu'elle avait écrit sur Branchez-Vous, bien je tenais à équilibrer en référant celui-ci.

Personnellement je crois qu'il y a autant de façon de surfer (incluant blogues, forums, messenger et autres trucs que je ne connais pas) qu'il y a d'usagers. Il y a là matière à faire une typologie, qui est peut-être déjà existante?

Je fais parti de la catégorie des surfeurs ayant un pauvre réseau social, isolé et dont le sentiment de solitude est pesant.

À travers les années j'ai tissé des liens virtuels avec quelques personnes. Ils se sont tous défait. Leur durée, leur fonction ainsi que leur contenu variaient selon la relation.
Mal aimé un peu maso dans un forum de divertissement majoritairement du genre féminin pour finalement renoncer pour ensuite ouvrir un blogue ou je m'écris, un journal personnel presque.
Le nombre peu élevé de commentaires me place devant une évidence. Le virtuel ne sera pas un moyen de combler mes besoins.

Je fais parti de la catégorie des surfers qui ont besoin d'interaction. Et pour toutes sortes de raisons, la plupart obscures, le virtuel ne les comblent pas. Ce qui fait qu'il devient de plus en plus absurde de persister dans cette voie.

Mais je ne crois pas qu'il faille généraliser ma situation à un ensemble. Comme je disais une typologie me semble plus pertinente.
Bien que je sois déçu, je sais très bien qu'internet est un outil qui peut être très interessant.
Ca dépend du comment et du pourquoi on l'utilise.
Mon comment et mon pourquoi ne peuvent pas fonctionner.

Je suis devant un impasse, comme si je tentais de visser une vis avec un rabot.

dimanche 26 juillet 2009

Suicide annoncé?...

Je me retrouve un peu ébranlé après avoir lu le dernier billet de Oops qui se trouve ici.
Sans en être certain, je le ressens comme un billet qui annonce un projet de suicide.

L'impuissance qu'il dit ressentir est bien transmise car je la ressens fortement. Être devant un message semblable, sans pouvoir faire quoique ce soit, me glace le sang.

Je ne suis pas de nature inquiète face aux idéations suicidaires. Mais ce billet m'alarme un peu, à tord j'espère.

samedi 25 juillet 2009

La blogosphère est...


Josianne Massé titre son billet sur Branchez-Vous...La mort d'un blogueur laisse la blogosphère en deuil...
Bien sur la mort est quelque chose de triste.
Mais pourquoi se fait-elle porte-parole de la blogosphère?

Sur Wikipédia la définition de blogosphère est la suivante...Une blogosphère désigne indifféremment un ensemble de blogs ou l'ensemble de ses rédacteurs.

Je ne me sens pas endeuillé et j'écris un blog pourtant.

Je trouve vraiment étrange que l'on se fasse porte parole d'un ensemble d'individus sans autorisation.
Est-ce l'émotivité? La prétention? Est-ce que Branchez-vous a un droit d'ainesse qui permet à ses rédacteurs de s'approprier la blogosphère?
Je ne suis membre de rien sinon d'avoir un lieu ou j'écris dans la blogosphère et je ne suis pas en deuil.

Quel est la signification d'un tel billet? Il repose sur quelque chose dont je n'ai aucune idée.

Mes deuils je peux les partager, comme étant les miens mais prétendre qu'ils sont partagés par tous, certainement pas. Ça m'agace ce truc.

Je conçois très bien que des gens prendront la parole sur ce qu'est la blogsophère, c'est inévitable, mais il y a des limites, s'approprier les sentiments des gens en généralisant les siens, Trop pour moi, ça fait sectaire.

Circonstances atténuantes...

J'ai bien aimé le billet (peut-on dire ça comme ça?) de patrick Lagacé sur le truc de Kingston que l'on peut lire ici.

Ça me rappelle cet homme d'origine autre que québécoise et de couleur de peau pas tout à fait blanche qui avait abusé sexuellement d'une jeune fille en l'enculant à répétition plutôt que de la pénétrer vaginalement.
Le juge, non seulement n'avait pas retenu ce fait comme un facteur aggravant mais l'avait considéré comme une circonstance atténuante puisque l'abuseur s'était préoccupé de préserver la virginité de sa victime pour ne pas la victimiser plus qu'il le faut. Cela importait dans sa religion, autre que catholique.
Quel égard envers sa victime. Je blague, bien sur, j'étais sidéré de cette décision.

vendredi 24 juillet 2009

Blog et forum...

Un forum pour moi c'est un espace collectif qui se construit par l'interaction de ses membres.
Un blog, c'est un espace personnel ou je n'ai rien à y construire, c'est à la personne qui l'a fait de lui donner sa couleur.
J'entends parfois dans les forums..ben si t'es pas content, lis pas, vas ailleurs. Je trouve ça ridicule comme argument dans un forum. Ça parle de la hiérarchie selon moi. Un espace commun qui ne l'est pas vraiment.
Mais cette formule du si t'es pas content va ailleurs me semble bien indiqué pour un blog. Pour moi un blog c'est la maison de quelqu'un. J'y entre et j'interagis dans le respect de ce que la personne fait. Je peux débattre d'idée, bien sur, mais ce n'est pas un lieu collectif, c'est le lieu du blogeur qu'il habite comme il l'entends. Je n'ai rien à dire sur sa façon de faire.

jeudi 23 juillet 2009

Format papier...


Louis Préfontaine a écrit un billet intéressant et inspirant sur le lock out des employés du Journal de Montréal. Il se trouve Ici.

Des pistes de réflexion qu'il suscite, je retiens celle du format papier.

(version romantique)
Les gens y sont habitué, ils aiment toucher le papier, tourner les pages, se noircir les doigts tout en reniflant le parfum de l'encre. Il y aurait un attachement au support tout autant qu'au contenu.

(Dans ma version personnelle)
- Je ne touche presque plus au papier depuis quelques années déjà. En fait, le format papier est plutôt embarrassant et encombrant.
- Foglia m'avait envoyé promener une fois. Je lui avais écrit que je trouvais les samedis hallucinants. La Presse du samedi consomme beaucoup de papier. J'imaginais alors toutes les villes au Canada, semblable à celle de Montréal qui publient aussi épais et ça me semblait d'un point vue écologique, honteux. Il en fut insulté.
- Ma voisine, plus âgée que moi, reçoit sa Presse à tout les matins à 5h30. Le camelot lorsqu'il sonne et monte les marches me réveille à tout coup.

Je ne vois rien d'intéressant dans le format papier, c'est une aberration même. Le cout des matières premières, celui de production, de distribution et ceux de recyclage ou de traitement des ordures et de plus en plus onéreux.

Ce n'est pas pour rien que le dimanche n'est pas rentable et que La Presse ne publie plus.
Curieusement ceux qui défendent le plus le format papier sont journalistes. Ce n'est pas tant le format papier qu'ils défendent que leur profession. Objectivement, le format papier est une catastrophe écologique et ils ne s'en soucient pas. Ils doivent se dire qu'ils en font bon usage et que le génie de leurs idées vaut bien ce gaspillage. On arrive à tout justifier dans la vie.

Avec le papier qui disparait, ce qui se perd ce sont les avantages lié au privilège de pouvoir écrire sur un support difficile d'accès et limité.

Des Foglia, des Boisvert, sur le Net, il y a beaucoup. La crainte qu'ils ont c'est d'être dilué dans la masse. C'est ainsi qu'on les entends se plaindre des effets de la démocratisation, du nivèlement par le bas parce qu'ils sont convaincus que leur vision du monde est supérieure à celle de la populace.
En fait, ce qui les inquiète c'est la perte de contrôle et des privilèges qui y sont associés.

C'est le capitalisme qui s'inquiète de la perte de la propriété des moyens de production qui autrefois étaient très rentable. La démocratisation des moyens de production représente pour eux un appauvrissement difficile à avaler. Mais soyons sans crainte, le capitalisme saura rentabiliser internet.

mercredi 22 juillet 2009

Being there...


Je ferme mon ordi après quelques heures de navigation dans des lieux sans ancrage sinon des mots et des images auxquels je m'accroche comme si ils étaient réels mais sans jamais m'enraciner.
Sans être vertueuse ma vie est virtuelle. Je me fous d'interagir avec des personnages à travers d'un écran, le réel est de toute façon bien subjectif.
Je sors dehors et le monde me semble tout aussi irréel. La fille devant moi a un cul pas si mal, elle me fait penser à Gina du site ÉroticoAss. Je me demande si elle a des petites lèvres comme je les aime?
J'arrive à l'épicerie, la caisse rapide est lente, des ramasseurs de bouteilles et des joueurs de Loto ralentissent la vitesse, pourtant j'ai une connexion haute vitesse et on dirait que je suis sur modem 54K qui roule 49K.
Alors je change de page, pour la caisse 2, elle roule plus vite. Je parle à la caissière comme si je pianotais sur msn messenger. Je me demande si c'est elle qui fait un blog sur les aléas de la vie d'une caissière d'épicerie. Je crois que c'est elle, mais dans les faits je m'en fous, j'aime le croire, et cela me suffit.
Je retourne chez moi en traversant une rue comme je traverse des épreuves dans les jeux vidéo.
J'ouvre la télé pour un certains temps, lorsque ça devient inintéressant, j'ouvre mon ordi. Mon attention oscille devant deux écrans.
Ce que j'ai à dire du monde c'est ce que je vois au travers ces deux écrans qui occupent tout mes temps libres.
Vous avez vu le film Being There (1979) avec Peter Sellers


mardi 21 juillet 2009

Transition à Saint-Henri...

Quelle est la pertinence de dévoiler le lieu de transition de Lacroix?
Les journalistes se font les cheerleaders pour que la populace puisse le passer au goudron et aux plumes?
Il me semble que les journalistes devraient documenter comment il est possible que des personnes puissent ainsi jouer avec les argents des gens. Documenter les lois, nous expliquer pourquoi cela arrive. Ça me semble plus pertinent.
Et surtout, les journalistes devraient être humble, n'ont-ils pas fait la promotion de Norbourg dans leurs nouvelles lorsque ça semblait bien aller? Bien naivement d'ailleurs.
Si Lacroix est blessé ou tué, les journalistes auront provoqué l'évènement.

Il n'y a aucune raison (intelligente) qui justifie le dévoilement de son lieu de transition par les journalistes.

Absurdement mort...

Je me suis décidé à faire le ménage de mon appart.
Je fais le tour des pièces avec mon sac vert pour ramasser ce qui traine.
Mardi, le camion des vidangeurs va passé bientôt.
Je descend les marches, ouvre la porte avec l'intention d'y mettre ce foutu sac à la rue, un peu comme ma propriétaire aimerait le faire avec moi.
Je n'ai pas le temps de m'y rendre, un mur de brique a décidé de m'accabler. Je me retrouve le nez sur mon sac de merde, la tête éclatée par les briques.
Ainsi je termine.

Un lien avec l'absurde et une pensée...
http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/justice-et-faits-divers/200907/21/01-885897-obseques-de-la-dame-ecrasee-par-une-dalle-de-beton.php

dimanche 19 juillet 2009

Que dire à ma fille?...

Parle français seulement?
Sois bilingue?
Parle anglais pour l'argent et pour le reste parle français?
Mais le reste c'est quoi? Des souvenirs?
C'est déjà fait. Je suis vieux et je lis de l'anglais même dans des blogs français.
J'ai volontairement fait un billet titré Billet Ivre plutôt que Drunk post, je ne vois pas l'avantage au Drunk post?
Ça peut sembler insignifiant mais à force d'adopter les expressions anglaises on ne créera plus en français et laisserons l'anglais créer.

Alors? Je lui dis quoi? Les Grecs, les Italiens, les Juifs, les Irlandais, tout ces gens ont leur communauté organisée, je dis quoi à ma fille? Être inclusive, et de poster des drunk posts pour qu'elle ait le sentiment que cela a plus d'impact? Comme si un va chier avait moins de valeur qu'un fuck you. Yo man!!!!

Comparaison parfois désolante...

L'heure est à la dénonciation d'un anglo mal engueulé, un certain Amber, un anglo juif je crois dont la mère est francophone.
Alors je participe au débat sur un blog et un gars qui dénonce cet anglo me dit... Coudonc tu viens de quelle planète toi? Il n'était pas en accord avec mes propos.
Putain, capacité de débattre plutôt faible et surtout incohérence totale.
Il dénonçait le manque de délicatesse et il navigue dans les mêmes eaux.
L'humain est un drôle de spécimen en faisant ce qu'il dénonce sans même s'en rendre compte.

Un autre blogeur s'inquiète du fait français et le titre de son billet est écrit en anglais.
Vraiment l'humain n'impressionne pas par sa cohérence.

La rigueur manque peut-être un peu. Ce n'est pas très rassurant.

vendredi 17 juillet 2009

Je ne sais...

J'ai peu de réponses à mes posts. Je ne m'en plaint pas. Depuis que j'ai changé le modèle de mon blog, je n'ai plus de truc meter. Alors je ne sais le nombre de visite que j'ai.

La belle en noire que j'ai croisé tantôt, en la regardant j'ai malheureusement mit le pied sur une dizaine de fourmis qui n'ont pas résisté à mon poids.

Parlant de fourmis, combien de québécois vont crever sur la route pendant ces deux semaines de congé, moi je dis 15? et vous?
J'en connais déjà un, mort suite aux travaux de construction sur les routes, la déviation l'a tué. Ma voisine retourne pour l'enterrement. Je dois m'occuper des lierres encore pour quelques jours.

Peurfioume...

Je vais croiser une femme, cheveux et robe d'été noire, j'anticipe en salivant, tout pour me faire craquer. Malheureusement, juste avant de me croiser, elle se met à courir. Je n'ai pu la regarder, elle ne m'a laissé que l'odeur de son parfum au passage, odeurs de fleurs. Dommage, c'est comme un feu d'artifice mouillé qui ne fait qu'une étincelle

Quelques mètres plus loin je croise deux anglophones. Je vous ai dit que sur le plateau la norme est maintenant à l'anglais? C'était un autre parfum, plutôt désagréable. Je suis allergique à l'anglais, vraiment, c'est l'occupation. En vous écrivant ces mots, par ma fenêtre, j'entends parler anglais dehors. Ce sont mes voisins. Ce matin l'un d'eux m'a dit Hy! (je ne sais comment l'écrire) je lui ai répondu bonjour. Il ne doit pas être bilingue pour dire hy au lieu de bonjour, ou peut être est-il sans complexe?

Langue et pouvoir...

La langue c'est aussi le pouvoir. Je n'en veux pas aux anglais de ne pas soutenir le français. Ils ont bien raison de le faire. Je comprend ces positions clivées. Les enjeux sont grands. Quand Lévesque a nationalisé l'électricité certains anglais ont perdu beaucoup.

Faire de la langue une simple question de langage est ridicule. Que les anglais résistent aux français, c'est une évidence tellement évidente. Je ne suis pas de ceux qui attendent leur approbation. Qu'ils résistent au français est sain. C'est à nous d'affirmer malgré les résistances.

Aléas frissonnants....

Un femme de 33 ans reçoit un bloc de ciment sur la tête lors d'un repas au resto. Ainsi s'en va sa vie. Le hasard fait parfois bizarrement les choses.
Ces trucs là me donnent des frissons.
Ca me semble tellement bête.

jeudi 16 juillet 2009

Billet ivre...

Je finis les nouvelles après 5 bières, osti qu'ils ont l'air gelé. On dirait que j'ai pris de l'acide, j'hallucine en les écoutant raconter le monde. C'est dbl.

Madonna anéantie...

Madonna est en crise ce soir, elle est déconstruite. Des employés qui montaient son stage se sont blessés, un est décédé. Et à la télé de Radio-Canada, la Galipeau nous dit qu'elle est anéantie.
Ben, elle a juste à assurer la survie économique des membres de l'employé mort et de ceux qui sont blessés et se foutre au cul ses bons sentiments car c'est pas très utiles. Osti de journalistes, ca ressemble à du vaudeville. Un spectacle de mauvais goût, dire qu'ils se croient l'élite. J'hallucine.
Le gars est mort pis Madonna en a rien à foutre mais la SRC fait la nouvelle sur les émotions de Madonna. Plus con que cela, ca se peut pas. Il y a une famille endeuillée, non?

Jewish way....

Les victimes les plus impressionnantes sont celles qui sont innocentes.
Du haut de leur innocence, elles deviennent à leur tour bourreaux tout en continuant à se poser en victime. The Jewish way, quoi. Hallucinant.

Billet ivre...

Ma voisine vient de m'offrir 6 Stella Artois pour avoir pris soin de ses lierres pendant une semaine.
Elle revient de son voyage toute belle, bronzée, habillée de blanc. C'est une femme magnifique, je l'imagine dans la trentaine, wow! Mais faut se taper les lierres, deux fois par jour et même là parfois, elles flétrissent. Elles demandent un soin palliatif pour survivre, drôle que cette espèce existe encore, ce n'est pas la force de survie qui explique la chose. Perso, je crisserais ça aux poubelles mais comme j'aime ma voisine, j'ai arrosé. Et ce soir je vais m'arroser. Peut etre un drunk post?

mercredi 15 juillet 2009

Masturbes mon égo...

Masturbes mon égo et je te dirai que je t'aimerai jusqu'à la mort.
Allez gonfle moi le narcissisme, fais moi voyager dans les nuages, je flotterai un bon bout.
Allez, vas-y! Je te raconterai n'importe quoi dans ces moments là. On grossira nos égo ensemble et on s'applaudira mutuellement. N'est ce pas magnifique? On sera gros et léger à la fois.

Le commerce...

0h30 - Jasmina la barmaid aux gros seins et aux dents blanches me sourit. Je dépose doucement un 2$ de pourboire dans la paume de sa main. Le jeu de nos doigts, mélangé à l'alcool et à l'argent m'est très agréable.
2h00 - Haa Jasmina, l'heure de fermeture approche, j'en prends deux et lui laisse un trois, le jeu se poursuit.
3h00 - Allez, on ferme, tu sors ou j'appelle de le doorberman me dit-elle? Au même instant, les lumières s'allumaient pour éclairer la merde sur le plancher et la mienne dans le miroir qui donnait sur la sortie que j'ai prise en titubant, lourd d'alcool et léger de portefeuille.

Vol au dessus d'un nid de con con...


Vous vous souvenez de l'indien format géant dans Vol au dessus d'un nid de coucou.
Il attendait au dépanneur en face du métro Laurier, là ou je vais acheter mes cigarettes. Il est copie conforme mais en format réduit.
De loin, je l'ai vu tremblotant devant la porte d'entrée. Je l'aperçois parfois ces jours-ci, il a l'air mieux. L'hiver dernier il avait une infection sur un doigt qu'il ne soignait pas, je trouvais cette insensibilité à soi-même un peu triste. Il me demande de l'argent, j'en ai peu mais bon, je lui donne 1$.
Il me suit, fait la queue derrière moi, je prends mes clopes et lui se prend un billet de loterie avec ce dollar.

Je ne veux pas faire de morale, l'argent qu'on offre, les gens en font bien ce qu'ils en veulent, mais je me demande quel est son projet de vie? Trop de gens sont laissés à la rue et à eux-même.
Il jouait pour gagner, c'est clair, mais pour gagner quoi?
C'est fou.

mardi 14 juillet 2009

Le fou du roi...

J'ai bien aimé entendre Chapleau dire à Bon baiser de France ce soir que Desmarais pouvait bien tolérer quelques fous du Roi. Ca confirme l'impression que j'ai lorsque je lis La Presse.
Reste que c'est drôle d'entendre un des fous du Roi le dire lui-même bien confortablement.

Grosse vache...


Je vous ai dit que je suis paresseux?
Ma recherche sera donc brève.
Je trouve hallucinant que les gens, pour la plupart n'aient pas conscience que le cinéma et la télé États-Uniennes, puisque c'est ce que l'on consomme le plus, est Juive. Leur idéologie m'a influencé beaucoup sans le savoir et elle le fait aussi avec ma fille.
Mais ce qui m'étonne, c'est que cela n'est pas dit. Quelque chose dont nous québécois n'avons pas conscience. Dans les faits, au cinéma ce n'est pas seulement du popcorn que nous consommons mais aussi une propagande et on le fait bêtement sans même en être conscient avec notre combo entre les jambes. Pour la télé, même chose.

Ainsi Wikipedia dit...
Au début du XXe siècle, tandis que l'industrie cinématographique n'en est pas encore une, la plupart de ceux qui se lancent dans le cinéma sont des immigrés, comme Shayne Corson, et plus particulièrement des immigrés juifs, venant de Russie, d'Allemagne ou d'Autriche-Hongrie.

De Chaplin à Spielberg en passant par Allen ou Mel Brooks, ou encore le fameux 2001 de Kubrick, ce sont des juifs. À la télé c'est la meme chose. Les grands studios sont la propriété de Juifs, ils engagent des scénaristes, des scripteurs, des comédiens juifs. Tiens, devant moi l'affiche de La maison près du lac, c'est un film produit par un Goldberg. Je passe les talkshow et les soap populaires tel que Docteur House, Monk, etc.

À travers ça c'est la morale et les valeurs juives qui s'inscrivent en nous sans que l'on en soi conscient.
Adam Sandler et bien d'autres emplissent l'écran. Il y a des exceptions parfois, des Irlandais, des Italiens ou des Afro américains mais le cinéma reste contrôlé par les juifs.

Je dois avouer que je trouve un peu bête que ce ne soit pas dit clairement.
Leurs références est tellement prévisibles... le justicier, Dieu, le sauveur, le bon et le méchant, etc. Mais surtout l'humanisme déshumanisé, vous savez ce truc ou l'on tue avec bonne conscience pour se défendre..c'est super juif ca.

Observer ce que vous regardez et portez attention au message vous verrez bien que c'est une forme de propagande. L'éloge à l'armée américaine, vous pensez qu'elle est sans but?

Je fais ce billet parce que je trouve dommage que les gens consomment du maïs dans une salle de cinéma comme les vaches le font dans un étable.

lundi 13 juillet 2009

Écrire brouillon...

Vous savez pourquoi j'écris brouillon?
1. D'abord, j'accorde de l'importance au fond et moins à la forme, un peu comme l'être et le paraitre.
Ainsi je n'ai pas fait (n'avais pas) de recherche pour trouver certains accents sur mon clavier. Le circonflexe est comme un chapeau que la lettre porte pour mieux paraitre mais le sens du mot auquel elle participe peut contribuer à créer une phrase insignifiante.
2. Je suis paresseux.
3. Je refuse de me conformer, c'est de la résistance un peu bête et malhabile. On pourrait aussi employer le mot révolté.
4. Je suis limité aussi, je n'ai pas beaucoup de talent parce qu'un peu inculte.

Mais malgré tout ça, j'ai décidé d'être moins brouillon à l'avenir et de publier après avoir travaillé la forme un peu plus. Je ne sais pas, par contre, si je vais faire la recherche des accents.

À suivre...

Avoir du temps...

Avoir du temps, est souvent la formule utilisée pour déprécier quelqu'un sur le net.
Il prends une couleur différente à chaque fois mais le but est le meme, s'attaquer à la valeur de la personne et non à celle du propos.
On traduirait cette expression et qu'elle pourrait vouloir dire...
- Il a du temps lui à perdre pour écrire des inepties semblables.
- Pour avoir autant de temps, ca doit etre un no where ou un has been.

Mais pourquoi l'utilisation du temps devient une arme pour attaquer?

Ca me rappelle la rue, lorsque l'on me disait... va donc travailler ostie...
En fait, ca renvoie peut etre au statut social, à la productivité aussi, qui fait de toi une personne respectable et significative.

Mais sur le net ca me semble incohérent car le plus souvent la personne qui utilise cette insulte surfe autant que cet autre qu'il tente de disqualifier. J'imagine qu'il croit que son temps est mieux utilisé et que ce qu'il produit sur la toile est une oeuvre beaucoup plus intéressante.

Mais pourquoi prendre de son temps pour signifier à quelqu'un qu'il utilise mal le sien?

Et pourquoi je prends du temps pour écrire ce billet?

Peut-etre pour souligner que je n'aime pas les attaques personnelles et que malheureusement bien des gens ont de la difficultés à débattre et tombe facilement dans des attaques personnelles avec bien peu de capacité à argumenter. C'est triste.

Mais la question demeure, pourquoi faire un billet là-dessus? J'aime mieux ne pas me répondre à ca.

dimanche 12 juillet 2009

Julie...

Elle n'est pas venue ce soir les conditions pour une bonne lubrification n'étaient pas réuni.
Peut-etre demain.
Putain, on dirait une anglophone.

Julie Payette...

Semble que ce soir, elle s'envoie en l'air.
C'est quoi l'intéret si elle est payée par les États-Uniens et que ce projet n'a aucun rapport avec le Canada? Quelle est l'importance d'en parler?
À moins que le Canada participe à ce projet?
Mais aucun journaliste en parle, on ne sait pas les sommes qui seront prélevées sur nos taxes.
On sait juste que la belle Julie s'envoie en l'air.

Décidemment les journalistes que ce soit dans le sport, la culture ou meme les affaires d'État ne font que la promotion et ne sont que de simple cheerleaders au service de je ne sais trop quoi?

La participation de Julie Payette au vol de ce soir coute combien au Canada? Est-ce qu'il y a un média qui en a parlé, ou l'intéret réside dans l'heure du départ de la navette?
Ca coute combien au Canada ces retards?Le projet, il coute combien?
Il ne faut pas en parler?

On présente la belle Julie pour faire passer la facture peut etre? Une sourire Colgate de quelques miliards ca passe bien. Me semble qu'à ce prix on devrait pouvoir voir son cul dans l'espace ou encore ses seins en apesanteur, parait que ca se tient mieux, non?

Il fut un temps ou le gars de Norbourg passait bien aussi, tout le monde disait d'y investir. Alors le sourire de Payette qui émeut sera-t-il dans quelques années l'objet de critique? On ne sait pas les journalistes ne font que de la promotion d'évènement et après si ils se sont leurrés ils font la promotion du leurre. Ils diront alors que le sourire de Payette a couté bien cher et ils tableront là-dessus pour faire leur chronique.

Moi je dis maintenant, le Canada est-il impliqué et ca coute combien?

Mais je sais bien que les journalistes se contenteront de dire youpi la navette a décollé et ils décriront ensuite l'Art que Julie a en masturbant le bras canadien, tout fier de leur compte-rendu. Des vrais groupies.

En passant vous savez à quelle heure ils ont été réveillés ce matin les 7 astronautes? 8h15.
N'est-ce pas extraordinaire de savoir ca? Vous savez à quelle heure ils ont déjeuner? Combien de crottes Julie a fait ce matin?
Je ne vous dis pas, allez lire la couverture médiatique, c'est transcendant.

J'ai l'air chialeux comme ca mais avant d'explorer le point G de mon escorte j'aime bien savoir combien ca coute.

Arturo Gatti...

Arturo Gatti, ce boxeur puissant qui a mené des combats d'une férocité inouie serait mort tué par sa femme qui à l'aide d'une courroie de sacoche l'aurait étranglé.
Ironique, un des plus puissant boxeurs tué par une femme et de facon rapproché, dans un corps à corps. Presqu'incroyable.

Ce que ca m'inspire... il devait etre saoul ou gelé et il devait etre d'une violence féroce envers elle, une violence verbale très grande car lorsque l'on étrangle, le but premier est pour faire taire pas nécessairement de tuer.

J'ai connu un gars d'une violence impressionnante, pourtant il était tout petit mais sa violence était extreme. Bien un soir, il s'est endormi sur le sofa, probablement en écoutant la télé, sa conjointe en a profité pour lui jeter un chaudron d'huile bouillante au visage. Il était cuit.

C'est connu ce truc, la soumission à un dictateur ne se fait pas sans heurts, la colère s'accumule et dès qu'il est possible, la cruauté du soumis s'exprime aussi cruellement que celle du dictateur. Il ne suffit que de penser à Ceausescu (fusillé) , Hussein ( pendu) et à bien d'autres.

Le plus étrange c'est que le soumis lorsqu'il tue son dictateur se pense légétimé de le faire. Le plus curieux c'est que le soumis se comporte de la meme facon que le dictateur, pourtant il lui reprochait sa facon de faire.

Curieux, non?

samedi 11 juillet 2009

Parler avec des gars...

Ma trajectoire m'a amené à échanger surtout avec des femmes sur internet. Un forum, messenger et meme dans la blogosphère. Pas pour cruiser là, j'ai jamais poursuivi ce but là sur internet.
Dernierement j'échange avec des hommes qui ont des blogs.
C'est différent et très agréable. Il est possible de débattre sans tomber rapidement ou rester trop longtemps dans la victimisation.
J'aime beaucoup.
Le masculin et le féminin ne surfe pas de la meme facon, c'est clair.

Univers selles...


Le titre représente bien ma pensée.
Les besoins de base, peu importe les races ou les classes sociales sont pareils partout.
Si un blanc chie brun, est ce qu'un noir chie blanc, un anglais chie carré? Un Allemand chie du Juif qui lui, chie de l'arabe? Le Canadien chie sur le Québecois mais ce dernier ne s'en plaint pas trop, il est colon, un peu iléon et presqu'un trou du cul.
Je délire, revenons au sujet, bien sur que non c'est pareil partout.
Meme le besoin d'acquérir davantage de territoire pour son groupe afin d'assurer la survie de sa race ou de son clan est de l'ordre des besoins primaires.
Le gars de la CSN, l'anglo pro-Canada, le Hutu, celui qui parle le Benjabi, c'est semblable. Ou encore le journal qui tue la Une par conseil de ses avocats protège sa tribu.

Ce qui importe à l'humain c'est de s'assurer de pouvoir avoir de quoi à chier de bon et de le faire en tout confort. Les plus prospères exportent meme leurs merdes histoire de ne pas etre dérangé par les odeurs qui émanent de leurs corps. Les plus pauvres eux pataugent dedans.
Si tu n'es pas dans le bon clan tu es dans la merde.

Bon, je tire la chaine sur cette merde pour aller me prendre un bon bain. Vous direz, prendre un bain, c'est plutot féminin?
Et rebelotte, on entre dans la guerre des sexes. Il en y en a des guerres, non?

vendredi 10 juillet 2009

Brian...,


Brian s'est graver avec une allumette le prénom de Judy sur l'avant bras. C'est comme un tatoo. Il me l'a montré aujourd'hui, le prénom commence à peine à etre galeux, il est plutot saignant. Je voulais savoir pourquoi il a fait ca. Il m'a dit que... c'est pour que je finisse par comprendre et arrivé à changer les comportements qu'elle n'aime pas, je tiens à elle.
Cette auto-mutilation est comme un message qu'il inscrit dans sa chair dans l'espoir que ca l'aidera à faire un changement qu'il n'arrive à faire. Il veut se rappeller ainsi de ne pas oublier son projet de changement.

Un jour un psy avec qui je travaillais auprès d'une clientèle criminelle m'a dit devant mes réserves à les aider...Tu sais, ces gens entretiennent un espoir de changer, c'est là ou tu dois travailler.
Brian s'est tatoué ce désir de changer dans la peau pour resté focus et pour montrer comment il regrette ce qu'il a fait avant hier. Il souffre de.... beaucoup de choses.

Osti de journalistes....

On connait tous l'importance pour les journalistes d'avoir une source crédible et sure avant de divulguer une nouvelle.

Aux nouvelles TVA, il y a 5 minutes, un topo sur le gars de Norbourg.

Le lecteur de nouvelles - Bla bla bla, il ne sortira donc pas ce soir?
Claude Poirier - Non pour sa sécurité aussi, il y a eu des menaces à son endroit. Il est détenu dans un secteur sécuritaire.

Et là on présente un extrait sonore d'un détenu.

Le détenu - Ouais moé j'me tenais avec lui mais y se prends un riche pis y a aucun regret.

Le lecteur de nouvelles - Donc, il ne ressent aucun regret.
Poirier - C'est ca.
Le lecteur de Nouvelles - Ok merci monsieur Poirier.

C'est ca une source crédible? un détenu qu'on interview lors d'un appel téléphonique.

Osti de connerie, j'en reviens pas. On cherche de bonnes sources lorsqu'on veut bien, hein? Des fois, la source importe peu. Quand c'est protéger des gros bonnets, on a besoin d'une bonne source mais quand c'est pour dénoncer un trou de cul, fuck la crédibilité des sources.

En fait les journalistes protègent leur cul et taisent la nouvelle quand c'est big pis quand c'est facile, ils racontent n'importe quoi.

Je m'excuse mais c'est juste des fucking putes. C'est honteux.

Pleurer avec la fillette de Michael Jackson....

Personnellement il m'arrive bien souvent de pleurer au cinéma ou en regardant la télé.
Le témoignage de la fillette de Micheal Jackson semble avoir ému bien des gens.
J'ai trouvé ces réactions vraiment étonnantes.

Je l'ai gout dans ce billet de tenter cerner ce phénomène de pleurer lors de représentations télé ou cinématographique.

Une dimension importante c'est que la douleur est absente. Les pleurs sont là, la tristesse, mais la douleur, non. C'est ce qui me semble le plus pertinent.
On se projette sur la fillette qui a perdu son père et on pleurs mais sans la douleur d'avoir perdu le sien comme lorsque l'on regarde un médecin faire une opération. On peu trouver ca horrible mais on ne sent pas la douleur véritablement. On ressent des émotions qui sans etre accompagnées de souffrance sont plutot douces et émouvantes.

C'est un peu pour ca qu'on aime tant le cinema, la télé, les livres. Elles nous font de vivre des émotions sans souffrance et sans conséquences.

Les jeux vidéos entre dans cette catégorie, on se fait tuer sans l'etre vraiment et sans ressentir la souffrance d'une tete arrachée.

Alors on verse quelques larmes douces devant le témoignage de la fillette de Jackson.

Mais au bout, ca ne nous permet pas d'apprivoiser la souffrance réelle, au contraire, elle est bien scénarisée pour l'aseptiser le plus possible. En fait c'est surtout un désir d'échapper à la notre. C'est pour ca qu'on appelle ca du divertissement. La cérémonie de Jackson, c'était ca du divertissement.

L'agonie réelle n'a rien à voir avec celle du cinéma. Ceux qui l'ont vécu le savent. Un vrai mal de dent n'a rien à voir avec une scène de quelqu'un qui en souffre dans un film.

L'essentiel est là, il n'y a pas de douleurs juste des émotions et c'est grisant ca et sans conséquence et pour un bout ca nous coupe de celles que l'on ressent.

jeudi 9 juillet 2009

Le détachement...

On se détache souvent lorsque l'on a...
Je me dis détaché de l'argent lorsque ce n'est pas une préoccupation.
Je me détache de ma partenaire lorsqu'elle accrochée.
Je me détache de la santé lorsque je suis en santé.

C'est la rareté ou l'absence qui donne de l'importance aux choses.
Ouvrir un robinet pour boire de l'eau, rend l'eau banale, marcher deux kilometres pour un deux litres la rends plus précieuse et les gouttes ne s'échappent pas.
L'abondance ou la facilité se fait souvent gaspilleuse.

Juillet....

J'écris beaucoup trop tout en ayant peu de choses à dire et je les dis mal.
Alors juillet est un bon temps pour prendre quelques jours de pause. Alors dans quelques jours je ferai une pause. Je crois partir lundi pour une semaine.

mercredi 8 juillet 2009

La sagesse...

C'est d'avoir déjà vu, lu ou entendu plus de 3 fois la meme chose. Après 6 fois ca devient lassant. Là ca devient de l'altruisme. Et ce billet une ineptie.

La valse des balais...

Bien des gens pleuraient hier maintenant la valse des balais commence, faut bien nettoyer après avoir festoyé. Quelques jours de trève peut etre et le cirque recommencera et les clowns s'activeront à nouveau jusqu'à épuisement de la nouvelle. Le peuple mouton passera à un autre menu qu'on lui servira et il le bouffera en belant.
Je pense que je vais changer mon titre de blogue pour.. Ainsi va la vie. Ha!Ha!

La marge...

La marge la vrai c'est celle qui s'inscrit en rouge.
Ce cadavre retrouvé au parc Viger dont on n'entends plus parler après quelques lignes seulement histoire d'occuper la page d'actualité d'un journal , ca me semble marginal.
La marginalité a toujours été In. Les gens aiment se dire marginal pour se laver les mains. Les atrocités, elles ne sont pas de moi, moi je suis bien. Tout le monde est tellement bon que personne ne porte la responsabilité de rien et se proclame cool.
Après avoir célébré la mort d'un roi nègre, le gars tué au carré Viger? Il trone dans un tombeau d'or? Il est ou? Comment savoir si ce mec n'avait pas lui aussi une jeune fille qui le pleure et qui pourrait nous attendrir aussi.
On a l'attendrissement sélectif peut etre?
S'il s'agissait de pleurer la perte d'une vie humain, le corps du gars de Viger, il est ou? Je ne vois pas de billet là-dessus?

mardi 7 juillet 2009

Formaté...

Je dis t'aimer en police Arial, 12 points. Je ne sais si je dois centrer, aligner à gauche ou tout égaliser.
Je te mail ca, j'espère que tu vas m'imprimer sur un beau papier et que je ne resterai pas dans ta boite de réception et que ton imprimante saura transcrire l'intensité de mes propos.
Je t'ai posté une lettre aussi avec un papier et une encre que j'aime beaucoup. Tu pourras y lire les mouvements de ma main et voir comment tu les ressentirais sur ta peau et j'y ai mis mon parfum pour que tu me sentes un peu. J'ai posté le tout à ton adresse IP , j'espère que tu la recevras, au pire notre relation restera bien formatée en Arial 12 points.

Empathie VIII...

L'effet et l'intention.
L'écart entre les deux est parfois étonnant.
J'ai eu peur pour ma fille et je gueule dessus parce qu'elle fut imprudente. Mon intention était de lui démontrer que je me souciais de sa sécurité et l'effet fut de la faire pleurer.
Mon insécurité me fait controler ma femme, ma jalousie l'a déprécie mais mon intention est de maintenir la relation qui par insécurité semble toujours menacée.

C'est dans son intention que l'humain ne sait pas se raconter parce qu'il n'est pas si intelligent que ca finalement. Il se trompe meme en portant des intentions à des choses qui n'en n'ont pas. Il est tout mélé. La colère de la tempete, l'empathie qu'il percoit dans le chien, des trucs du genre. L'importance de la vie, pendant qu'il tue ou laisse mourir. Il fait des prières, il envoie des ondes pendant qu'il ignore les ondes qui le tuent le cell à l'oreille.
L'humain est bete, l'homme et la femme, meme l'enfant est bete.

Mais là aujourd'hui, l'humain célèbre un roi, sa pédophilie n'est pas grave, la meute s'identifie à d'autre chose. Les crimes d'un roi ne dérangent pas lorsque l'on a besoin d'un icone. Sauf lorsqu'on a besoin d'un icone pour représenter le mal. Alors là, on lui tranche le cou et on montre sa tete en symbole et on crache dessus en disant qu'il représente le mal et que nous, nous sommes bons.

L'humain est aussi bete que cela, capable d'etre soumis et tortionnaire à la fois, passant de l'un à l'autre sans problème tout en ayant un discours qui le justifie.

La fierté afro américaine...

Voilà ce que les américains fetent aujourd'hui.
Putain on assiste à la fete, n'avons nous rien d'autre comme préoccupation?
Maudit qu'on est colons.
J'en reviens pas, des canadiens meurent en Afghanistan à la place des américains. Deux autres se sont rajoutés à la liste et que font les médias du Canada et du Québec? Un Show afro américain.

Un roi nègre est mort. Je n'ai rien de précis contre les noirs mais contre les rois, beaucoup.

Pour etre clair...

Ce que je n'aime pas de l'humain c'est son intelligence qui lui permets d'avoir des intentions et surtout d'avoir un discours sur ces intentions. Son discours m'agace.
Alors il est facile de comprendre que je n'aime pas les journalistes. Il n'y a rien de personnel là-dedans, c'est viscéral. Mais ce n'est pas que les journalistes que je n'aime pas, c'est tout ce monde organisé.
L'humain au travers les organisations qu'il crée devient bete, c'est instinctif et cet instinct plutot bete il le dissimule sous un discours.

Mais j'aime les gens, une partie des gens, celles des émotions, celle-là je l'aime.
Alors je peux etre chiant, vindicatif et aussi très empathique. Je suis sensible à l'effet direct que je peux produire sur une personne mais moins sensible à l'effet produit sur une organisation humaine ou sur son discours.
Ainsi je peux ne pas aimer le journalisme mais aimer la personne qui en fait. Je peux médire les anglais et etre amoureux d'une anglaise.

Je n'aime pas le discours humain. Mon dicton préféré est.. ce n'est pas ce que tu dis qui m'importe c'est ce que tu fais. L'humain parle trop et je l'évalue selon ce qu'il fait. J'aime la cohérence.

lundi 6 juillet 2009

Je suis journaliste...

Je table sur Kovalev, c'est un sujet populaire. De le dire insignifiant n'est pas ajoutée quoique ce soit. C'est de l'opportunisme qui fait dans l'actualité banale et qui n'a rien de transcendant. Le journalisme c'est comme ca. Quelles sont les dossiers intéressants? Les journalistes sont des putes qui se prennent pour des divas.

Est-ce que c'est le temps...

J'éternue depuis une heure, le nez me coule, je renifle. Je commence des allergies? Est-ce la période? Putain j'ai jamais eu d'allergies.

Parfois...

Parfois la folie n'est qu'une traduction dans un langage un peu bizarre de réalités elles memes un peu folles.

Le brun de l'eau...

Dans une chaloupe sur un lac je jase avec Alain. Bien qu'il soit là clairement devant moi je le vois comme si il nageait un peu sous la surface de l'eau. Le brun du lac le rend un peu flou. Il me dit que c'est parce qu'il est un peu fou.
Je lui demande de se pencher pour se regarder et dire ce qu'il voit de lui. Ce qu'il arrive à en dire n'est pas clair. Il me dit que sa vie est comme ca, rien n'a jamais été clair et qu'il croit que ca ne le sera jamais. La limpidité des eaux de la Méditéranée ne sont pas pour lui. Je regarde ce fou un peu flou et je suis sans mot parce que je me reconnais en lui.

Nous touchons la rive et débarquons, il me dit que son intervenant a quitté et qu'il en a un nouveau. Je ne suis pas très disponible ces jours-ci. Alors je lui réponds qu'en 40 ans, il doit en avoir l'habitude. On se souhaite bonne journée et on se quitte. Avant il me dit de prendre soin de moi. Je constate que je suis toujours allergique à cette formule. Je dis oui qui comme d'habitude résonne en moi comme fuck you et je quitte ce banc brun d'une station de métro d'une ville comme une autre pour rentrer me terrer dans mon trou en attendant d'etre enterré.

L'essentiel sur le CH...

Le problème du Canadien c'est Bob Gainey.
Il s'est enteté à faire de Kovalev et Koivu ses joueurs d'impacts.
Le Canadien est vendu mais il reste en poste et par ces choix il vient d'hypothequer encore le CH pour un autre 5 ans.
Dommage qu'il ait pu faire ca.
On aurait du le faire sortir avant.
Mais il sortira bientot mais de réparer sera difficile.

L,hypersexualisation....

Pourquoi les femmes qui se disent abusé hypersexualise dans leurs propos et leurs images ?
Ca me semble une bonne question.

dimanche 5 juillet 2009

La fille en robe...

Elle - Pourquoi tu me regardes comme ca?
Moi - Parce que tu montres.
Elle - Ben j'aime pas.
Moi - Alors ne mets pas ce genre de robe.
Elle - J'aime bien choisir ceux qui me regarde et je n'ai rien à foutre de ton regard.
Moi - C'est ton problème, pas le mien, moi si tu me montres tes seins je vais les regarder sans gene. Je ne sais comment tu pourrais faire pour n'avoir que les regards que tu aimerais avoir. Je sais que bien des gens sont décus. Le prof trouve les questions de ses étudiants trop bete, etc, etc. Ainsi va la vie, désolé de mon regard mais tes seins sont très beaux.
Elle - Ouais mais ils ne sont pas pour toi.
Moi - Ben réserves les.
Elle - Non, j'ai le droit.
Moi - Bien sur.

D'en haut....

D'en haut, je pose le pouce sur le goulot après avoir brassé la bouteille et j'éclabousse les gens d'en bas de mon champagne comme si j'éjaculais dessus. Ils s'ouvrent la bouche heureux de mon succès et moi je suis heureux de ma puissance. J'aime le public qui m'aime.

Un peu plus tard je vais dans un bar, la fille en hauteur sur la scène se montre le cul et les seins autour d'un poteau et je partage avec elle une bouteille de champagne avec l'intention de l'asperger aussi.

Pendant la guerre...

Que font les femmes pendant la guerre, elles ne sont que des victimes innocentes?

Victime...

La plupart des femmes au Québec ont un discours de victimes. Elles le disent de toutes sortes de facon mais le discours est le meme. Il semble s'agir d'un consensus.
Un bon nombre de gars sont féminisés et partagent ce discours. C'est triste et ennuyant.
La vie est violente en soi, la naissance est violente, tout l'est. Cette démesure est folle. Elle ressemble à ce... je n'ai pas peur de la mort mais je ne veux pas souffrir. La vie est souffrante, la mort le sera aussi.
Faire de l'égalité des sexes comme principale valeur au Québec, c'est un peu désolant, c'est niveler par le bas. L'égalité n'existe pas que ce soit question de genre, de langue ou de race. C'est juste un rapport de force, et le discours féminin s'engage dans un rapport de force dans une position de victime et au nom de cette victimisation, ce discours se permet n'importe quoi. C'est comme les juifs, ils sont tellement victimes que ca justifie l'agression.
Moi les femmes je les aime Européennes.
Au Québec la plupart sont des victimes un peu triste ou des mégères qui disent souffrir du fait que les gars n'arrivent pas à se tenir debout. Moi je dis que c'est les femmes qui n'arrivent à se tenir debout, elles optent pour la victimisation.

samedi 4 juillet 2009

L'insignifance...

La casquette à la mode depuis le printemps. Un modèle de l'armée américaine que les gens portent sans meme le savoir en se pensant In.

La laideur...

C'est comme l'enfer, c'est les autres.

La beauté...

C'est celle qui est devant toi lorsque tu es devant un miroir, là maintenant. Dans 10 ans, cet instant ne sera qu'un regret.

La pauvreté...

C'est accorder de l'importance à la monnaie, peu importe sa couleur, meme la noire, et peu importe son nombre, chacune d'elle devient précieuse.

La richesse II...

Déchirer en lambeau La Presse et Le Devoir pour remplir une litière. Mes chats depuis ce temps m'impressionnent beaucoup par leurs conversations. Un fait dans le sport et l'autre dans les éditoriaux.

Le journalisme...

Le narcissisme des journalistes m'irrite et m'inquiète.

La richesse...

J'ai tellement d'argent que j'en ai pas. Je n'ai que du plastique.

vendredi 3 juillet 2009

La brute...

Internet par ses forums, ses blogues manque de romantisme ou plutot de savoir etre.
Il est brutal.
Il est un miroir de la vrai vie.
J'ai déjà dit dans un billet, l'humain ne fait que se redire peu importe le support.
Dommage que la technologie n'y change rien.
Mais en meme temps comment croire que la technologie puisse changer la nature humaine?
De la radio, à la télé jusqu'à l'ordi, c'est pareil et ca le restera meme avec mp9.

Baveux...

Il m'arrive d'etre baveux et parfois je me sers de la justesse des mots pour écoeurer le peuple. Les gens croient que c'est pas important pourtant c'est fondamental. Je ne parle pas de l'orthographe là mais bien du choix des mots, c'est un Art.

Avant de faire un dépot à la banque je me tape une vieille derrière moi qui tente d'etre en relation avec une latino de 3 ans qui est devant moi, ca rend mon temps d'attente encore plus pénible. Cette vieille qui parle mal et cette jeune latino tout à fait désagréable fait un concert d'interactions complètement hallucinant. Je fouterais à la petite et à la vieille un bon coup de pied au cul.

J'arrive finalement au comptoir, je suis content c'est la jeune blonde teinte aux gros seins un peu décolletés, l'autre en avait des petits mais un gros corps.

Un gars - Je veux déposer celà dans le compte de quelqu'un. Et je laisse tomber l'enveloppe sur le comptoir.
Caissière - Parfait vous avez le nom?
Un gars- Non.
Caissière - Ok, vous avez le numéro de compte?
Un gars- Non. Elle semblait avoir de beaux seins mais pour les questions elle n'était doué. Voir si je me présenterais dans une banque pour faire un dépot, attendre 15 minutes et ne pas savoir ou je ferais ce dépot d'argent qui m'est très précieux parce que rare. Elle aurait du demander quel est le nom, quel est le numéro de compte. C'est là des détails qui semblent anondin mais qui font en sortes que les gens racontent n'importe quoi.
Elle n'est pas offusquée, elle a du me trouver juste bizarre un peu, je lui donne l'info et je sors avec mon recu.

Je vais à l'épicerie, 200 grammes de jambon. Le charcutier a des yeux d'un bleu impressionnant. Avant j'avais ramassé une tomate et une laitue romaine qui me rappelle ma belle italienne. Il a mit 23 grammes de trop, il veut l'enlever, je trouve ca gentil, je lui dis ca va c'est bon tout en pensant que je dois vraiment commencer à ressembler à ce que je suis, un pauvre.
J'oublies la litière, la putain de litière que mes chats ne cessent de remplir, je devrai ressortir pour entendre parler anglais again and again.
À la caisse, une femme qui m'est antipathique, moche et chiante, une mégère qui n'a rien à voir avec la cassière blonde aux gros seins.
Caissière - Voulez-vous un sac?
Un gars - Oui. gling, gling, elle me le facture 5 cents. Mais vous m'avez demandez si je voulais un sac et vous me le facturez?
Caissière - Ben oui tout le monde sait ca depuis longtemps.
Un gars - Mais vous auriez pu me demander si je voulais acheter un sac puisque vous le vendez.
Caissière - Hey, je va pas m'ostiner avec toi là.
Un gars - Moi non plus.

Voilà quand je ne suis pas de bonne humeur ca se passe comme ca, faut savoir me parler et choisir les bons mots.

Dire que je raconte n'importe quoi, n'importe comment et que parfois je lésine sur les mots.

Idéalement...

Idéalement j'aimerais faire des retraits mais je ne fais que des dépots.
Ma vie n'est qu'une série de dépots. Je crois que je ne serai jamais riche.

I have a dream...

Conférence de presse après une défaite du Canadien.
Journaliste - Can we say Price had difficulties tonight?
L'entraineur - Oui, mais il n'est pas le seul des joueurs à avoir eu des difficultés ce soir.
Journaliste - Could you repeat in english please?
L'entraineur - Je m'excuse, je ne parle pas anglais lors des conférences de presse.

Ou encore Marois qui au lieu de s'excuser de son anglais dirait...
- Je m'excuse monsieur, le francais me suffit, je peux vivre en francais lorsque je m'adresse à la population, le Canada n'est-il pas un pays bilingue?

jeudi 2 juillet 2009

Les gens heureux...

Les gens heureux racontent de belles histoires.
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Un chocolatier parle de son Art, ce petit morceau à 1$ tout précieux et il y a du temps d'antenne pour ca. C'est fou le chocolat, c'est comme l'herbe pour les chats qui se roulent dessus. C'est instinctif. On reproche aux hommes d'etre trop près de leur queue mais le chocolat?
******
Je vais faire un bout sur ce billet.

La correspondance virtuelle...


L'essentiel est là.
Qu'est ce que l'on démontre de soi dans la correspondance virtuelle?
Je cherche l'interaction, le débat d'idée, le respect, parfois je me fais moraliste ou encore je vais dans des zones que j'aime sans qu'on me l'ait demandé, c'est offensant parfois meme si ce n'était l'intention, je peux comprendre, c'est mon défaut qui perdure dans le temps.
La correspondance virtuelle peut etre belle, elle peut sentir le papier et l'encre, la délicatesse, elle peut se faire méchante aussi. Mais dans tout les cas, elle parle de l'auteur. La correspondance virtuelle a une odeur qui va au-delà de la personne et meme du personnage. Sous ces mots, sur un écran, la personne se dévoile malgré elle, pas son identité réelle bien sur mais quelques qualités de son etre et c'est remarquable.

mercredi 1 juillet 2009

Savoir débattre II.

Je viens de me faire insulter encore. Je vais probablement ne plus écrire sur ce site là.
Je serais un gros colon qui écrit bien. L'insulte pour moi est dans le, tu écris bien .
Je me dis si il évalue mal ma capacité d'écriture il doit se tromper aussi dans son diagnostique médical.

De toute facon la fois ou j'ai eu le plus peur c'est lorsque j'ai demandé à un gars ceci...
Moi - Qu'est ce que l'on voit lorsque tu es en colère?
Lui - Rien, je ne veux pas lui laisser la chance de réagir.

Devant les prédateurs virtuels je m'efface, il n'y a pas de place aux débats. Tout est dit d'avance alors il ne sert à rien de dire. Mais je ne quitte pas sans avoir laissé un message respectueux. Le respect devant l'insulte me semble une bonne chose. C'est signifier la fin d'un débat qui ne peut exister.

Lorsque je quete et qu'on me dit...
On - Va travailler mon osti.
Moi - oui monsieur, merci.

Il n'y a pas à débattre de ca.

Pour débattre, il faut une ouverture minimale, une porte entre ouverte sinon c'est une escalade stérile, ce n'est pas un débat, c'est une attaque.

Parler argent....

Ce qui ressort de la fete du Canada c'est la diversité culturelle.
C'est beau, c'est noble, c'est une belle ouverture sur le monde n'est ce pas?
Quel beau beau moyen de réduire le francais au rang du sanskrit, du tamoul, Benjabi ou autres langues dans ce Canada et les gens d'un autre pays nous considèrent comme des immigrés comme eux. N'est ce pas extra? Pour ca que ceux qui sont venu parlent en anglais, nous ne sommes qu'une quantité négligeable qui a la valeur de leur communauté ici, moins meme.

L'argent parle, et l'argent est anglaise, les gens ne sont pas fous alors ils parlent couleur argent en espérant l'or.
C'est comme ca tant que le Québec n'aura pas sa monnaie on peut dire beaucoup mais cela n'aura pas d'effet. Don't you speak english you french peoples? And proud to do it easily? So, power of money, hope would be rich.

Savoir débattre...

Le débat n'a pas beaucoup place je trouve.
Très vite on se retrouve devant des coudonc t'es bien désagréable toi ou encore, tu n'as rien d'autre à faire de ta vie, l'argument ultime, mais la capacité de débattre d'idées, dans le respect est très rare. Bien vite on tombe dans la blessure narcissique qui elle justifie une attaque en retour pour faire ressentir à l'autre sa propre blessure.
Chercher à comprendre ce qu'une personne dit, le processer et y réagir avec respect. J'ai trop de doigts pour compter les fois ou c'est arrivé (je ne parle pas ici des blogs ou la qualité de la relation prime)

Moi ca ne me touche pas ces trucs, je suis prudent, respectueux, j'énonce clairement (à ma mesure bien sur) et si mes trucs dérangent je m'efface.
Mais j'aime bien les gens qui ont du discernement et une capacité d'entendre, d'intégrer et de réagir respectueusement et clairement, et j'en connais quelques uns qui ont cette capacité et je les respecte beaucoup. Pour moi c'est une qualité importante.
Flatter dans le sens du poil je veux bien mais quand ca devient une norme sinon on se retrouve devant une vierge offensée, ca c'est beaucoup moins agréable. Le gris ca existe, il n'y a pas que le black and white. Ha tiens j'ai un flash...Docteur Gray, c'est la nuance que la série cherchait à cerner.

Le fond difforme...

Je me questionne sur le cinéma et l'écrit.
J'aime la lecture virtuelle et le cinéma vertueux.
Une chose devient un peu plus clair.
J'aime la forme, mais la forme sans fond me laisse indifférent.
J'aime les formes marginales, les corporatives beaucoup moins mais un peu lorsqu'elles sont bien proportionnées et pas trop fanatiques.
Dogville, vous avez vu?
Il y a la une recherche sur la forme qui est passionnante (faut voir la technique) et le fond n'est pas si mal. Ce genre de truc j'aime beaucoup. Je trouve que c'est marquant. Il y a un climat et un propos original. Comme 37,2 Le Matin ou Viva La Vie.
J'aime le cinema américain aussi, comme j'aime les images il sait me plaire mais il est parfois vide ou emplit d'un sens que je n'aime pas. Je l'ai dit souvent, c'est le discours juif américain , reste que certaines images me plaisent.
Il y a longtemps que je n'ai pas vu un film avec un fond et une forme que j'ai aimé.

Alors je me dis que je dois avoir le fond difforme.