Un journalisme facile qui fait dans le sensationnalisme.
Les nègres libérés.
Ben voyons donc. De toute facon qu'est ce qu'on a en foutre du sort des nègres?
Et ceux des juifs qui innondent le cinéma et la télé avec leur fucking morale?
Un journalisme qui fete lorsqu' il n'y a rien a feter et qui n'ont pas les couilles de dire.
On se tapera l'assermentation d'Obama comme on c'est tapé la période des fetes.
Vive la négritude, entendrons nous, comme si le mal du monde était du à ca.
Pleurons la fin du mal pour un moment.
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C'est une blague, je ne pense pas ce que je viens d'écrire.Bon on parlera d'Obama et d'une révolution pendant deux semaines, grosse victoire, un nègre qui mange deux oeufs bacon dans un resto en Alabama. Les nègres arabiques se feront tuer par la bande. Pis les nègres du Québec? Une petite partie de carte mortelle dans un parc? Pourquoi pas. Circulez, rien à voir. L'opportunisme politique, incroyable quand meme. Surfer sur Obama pendant deux semaines, quel est le mérite? Des putes, de petits poissons qui se collent sur la baleine pour avancer. Allez, petits poissons des journaux et de la télé, abreuvez nous de belles nouvelles pendant deux semaines.
Viva Obama, à bas Alabama.
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