mardi 15 septembre 2009

Suicide...

Suicide-action a une théorie, celle de l'entonnoir, au bout du goulot il ne reste que la mort comme alternative. Je crois qu'il est vrai que des mois de souffrance accompagnés d'impasses multiples font en sorte que la perspective d'un 30 secondes de souffrance physique devient banal.
Et c'est dans cette équivalence que le passage à l'acte se produit.
Les gens ne connaissent pas la limite de la personne, un séparation, un téléphone coupé, l'électricité coupé. Il s'agit toujours de coupures, ça c'est clair. Mais l'élément déclencheur? Dur à dire.
La personne a de la difficulté à se mouler mais le moule continues à le compresser . Alors quelle est la courbe de ce moule qui provoquera le passage à l'acte. Cela varie d'une personne à l'autre.

Faudrait relâcher la pression mais qui va le faire? Personne ne relâche mais tous pleurent le suicide. L'aboutissement que l'on accepte tout en s'en cachant.

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