Récemment le terme criminel à cravate est apparu, je crois qu'il est temps de nommer aussi les criminels à utérus. Ceux à cravates se sauvent avec l'argent des gens, et celles qui utilisent leur utérus font la même chose, sauf qu'elles ont un otage, l'enfant.
Arturo Gatti a commencé a boxer en 1991, la mère de son enfant n'avait que 14 ans à l'époque, elle en a 24 aujourd'hui. Elle était bien loin de sa réalité. Ils ne se connaissaient pas et elle a peu à voir avec son succès.
Et là, elle veut sa fortune qu'il a gagné chèrement.
Je crois qu'il est temps de porter des accusations envers certaines femmes pour tentative d'extorsion.
Tout de go, elle reçoit 2 000$ par mois pour l'enfant, pigé à même l'héritage qui est en litige, elle demandait 6 500$.
Le jugement est effectif, 2 000$ seront prélevés du pot d'argent de la succession à chacun des mois.
Pendant ce temps, Claude Robinson qui poursuit Cinar pour usurpation de création, malgré un jugement en sa faveur , attends le paiement qui, après 15 ans ne viendra probablement jamais de son vivant.
Si la criminalité à cravate peut s'en sauver aussi facilement, la criminalité utérienne sera impunie pendant au moins les 50 prochaines années. Juste de le nommer fera un scandale.
Pourquoi?
C'est que 300 000 femmes sont victimes de violence au Québec et ce chiffre commence à peine à être questionné, il est reçu comme une vérité.
Le plus drôle c'est que la personne qui dirigeait Cinar en crossant tout le monde n'avait pas de cravate. C'était une femme et elle morte lors d'une chirurgie plastique.
Alors on entame à peine les criminels à la cravate, celles qui se servent de leur utérus pour extorsion peuvent dormir en paix pour quelques décennies encore.
p.s. Je mets l'adresse pour soutenir Robinson dès que je l'a connais.
Pour ce qui est des criminels à utérus, envoyez vos dons aux femmes victimes.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire