mercredi 21 juillet 2010

Réseaux sociaux

Je veux faire un site .com pour dénoncer les abus des employeurs.
Mais pas n'importe quoi, j'aimerais qu'il soit bien fait pour qu'il ait un effet.
Je ne sais pas combien coute un .com et je ne sais pas faire la mise en page.

Puisque blogspot est un réseau social, je crois qu'il est possible d'obtenir l'information avec votre aide.
J'ai fait dans les blogues d'humeur mais là, j'ai le gout de m'aider et d'en aider d'autre avec un .com sérieux qui parle des abus des employeurs et des employés avec peu de ressources qui finalement finissent par payer la note.

Je crois que je ne suis pas le seul. Mais je ne parle pas de syndicat, je veux que ce .com parle des trucs hallucinants.

Donc....
Un .com, on fait comment?
Et ça coute combien?
Et pour la mise en page, c'est compliqué pour les nuls?

Si l'expression réseau social....virtuel est vrai, je demande votre aide.

Michel

samedi 17 juillet 2010

Là c'est vrai....

Je ferme demain.
La fenêtre virtuelle ne rayonnera plus.
Je me demande ce qu'il adviendra de mes mots inintéressants.
Cette illusion d'être en relation avec quelque chose va me manquer même si c'était avec presque rien. Un presque rien vaut mieux qu'un rien.

Je ne suis pas triste parce que tout ça ne me mène à rien mais je me demande comment je vais le remplacer. Il est drôle de penser qu'il me sera difficile de remplacer un presque rien, ça devrait être facile, non?

On verra bien.

vendredi 16 juillet 2010

Quand je lis ça...

Quand je lis ça, je me dis ouais enfin une bonne morale.
J'ironise beaucoup là. Je me dis plutôt bande de trou du cul. Et je ne parle pas des deux animateurs là, je parle de ces salauds qui se montrent plus blanc que blanc et qui sont des sales.
Pour ce qui est du patineur, il est féminisé et extravaguant, il ne faut pas en parler, c'est interdit?
C'est comme Rochette, c'est la mort de sa mère qui a fait parler d'elle.
Pour ce qui est du patinage, on ne sait pas trop.

Enchanté...

Elle ne voulait pas me parler et quelques minutes plus tard, lorsque je l'ai quitté, elle m'a dit enchanté.
Je quittais lorsqu'elle m'a dit ce truc, je n'ai pas eu de réaction, je lui faisais dos.

Je l'ai pris comme un compliment, une douceur que je garde pour moi, une caresse verbale.

C'est fou, quand tu es laid, les gens ne te veulent pas, mais il arrive des rencontres ou, au-delà de l'apparence la beauté de la tête arrive à passer.

Mais c'est rare, alors ce enchanté fut bien apprécié.

jeudi 15 juillet 2010

Encore au parc....

Moi- Bonjour madame je peux vous parler?
Elle- Non, je ne suis pas disponible.
Moi- Pourquoi?
Elle - Je travaille sur ma thèse de doctorat en littérature.
Moi- Ha! et quel en est le sujet?
Elle - Le voyage, les rencontres impromptues et l'incommunabilité.
Je ris et je quitte, c'est trop fou ce truc et je ne veux pas être un emmerdeur.

Deux heures plus tard je l'a croise à nouveau. Elle était assise sur le gazon.

Moi- êtes- vous disponible maintenant?
Elle- Bof!
Moi-Vous m'accordez 5 minutes.
Elle-Oui mais pas plus.
Moi- Alors quel est le sujet de votre thèse?
Elle- Ben, heuuuu, heuuu!
Moi- Ben là si vous êtes hésitante comme ça, le 5 minutes va passer vite.
Elle- Bien on fera comme au foot, quelques minutes de plus.
Moi- Tantôt, c'était de l'ironie votre truc, c'était trop drôle, ça ne se peut pas.
Elle- Oui un peu.
Moi-Bien vous êtes brillante.

Finalement on a jasé 10 minutes sur son sujet de doctorat et ce fut très intéressant. Mon temps s'est écoulé et j'ai quitté. Mais cette femme était très intelligente.

Il y a des 10 minutes comme ça qui valent quelques heures.

Une soirée au parc....

C'est fou....
Il y a de tout.
C'est le rien qui m'étonne.
Faudrait que je mettes quelques mots quand même.
Une belle fille amoureuse et aimable que j'aimerais mais de sa jeunesse le jeune homme ne sait l'apprécier. Il passe à coté, le con.
Des jeunes hommes qui parlent de cinéma sans savoir de quoi il est fait.

Pis un gars qui court après sa blonde comme on court après une anguille gluante, inssaisisable.

Mais ils restent tous beaux.

Une soirée tranquille au parc?

Pas évident, et pourtant, la soirée était idéale.

L'imaginaire parfois ne fait pas dans la rêverie.

Mais, moi de mon vieil âge, j'en aurais fait une soirée festive. Et je l'ai fait malgré les forces qui tendaient vers le négatif. Je ne voulais pas gaspiller une aussi belle soirée.

mercredi 14 juillet 2010

Comme si c'était vrai...

L'internet ressemble un peu à la télé.
On regarde un film, on pleure comme un crocodile mais il n'y a que la chaleur des larmes, la souffrance n'est pas là.
On pleure l'agonie du personnage d'un film en pensant à celle de son parent décédé mais la douleur de celle éprouvée dans le réel est absente et le deuil du personnage sera court.
Un personnage se fait arracher une dent et on grimace à l'idée parce qu'on l'a déjà vécu mais la douleur, l'inflammation pré et post-opératoire est inexistante. Lors de la pub on a pas besoin d'aller se gargariser la bouche afin d'éviter l'infection.

En fait, la télé insensibilise, l'internet aussi. Ils déshumanisent.

Les blogueurs ne sont que des personnages, comme Virginie ou Rambo.
Ainsi on traite quelqu'un de merde sans se gêner parce que les conséquences restent virtuelles.
Ou on pleure et sympathise avec une autre pour ensuite changer de page. C'est sans conséquences.

Ils appellent ça un réseau social. Quel mensonge ce truc. Il ne s'agit en rien de réseau social, il suffit de demander 10$ à ton réseau social virtuel pour te rendre compte qu'il n'y a aucune connexion dans le réel.

La seule différence avec la télé, c'est qu'on devient personnage dans le jeu et qu'on a l'impression d'avoir le pouvoir d'influencer le scénario de l'histoire qui, elle n'est que virtuelle.

Et on carbure là-dessus comme on carbure devant un film. L'internaute vit sa vie en se divertissant dans un espace chimérique.

C'est comme dans les jeux vidéo, on joue une partie de hockey en ligne sans jamais être essouflé, on se prend un mur à 300km heure sans avoir une seule éraflure, on se prend un couteau dans le ventre sans saigner. Devant un site porno, on vient pour vrai mais il n'y aucun danger de contamination et aucun téléphone le lendemain d'une baise pour grossesse non-désir ou poursuite pour paternité.

On pixel sa vie et faisant comme si c'était vrai et le temps passe.

Avant de quitter internet, je fais des recherches pour localiser tout ceux qui m'ont traité de grosse merde et insulte du genre. J'ai imprimé leur réponse et j'entends bien les retracer et leur faire lire pour ensuite leur demander de me répéter ça en pleine face dans le réel histoire de mettre un peu de réel dans cet univers virtuel.

J'espère seulement que dans le tas, il n'y aura pas un colosse de 6 pieds 4 et 220 livres. À celui-là je dirai, ça va, t'avais raison et je passerai au suivant. Pour les filles, je ne sais trop quoi faire, j'en ai jamais frappé une. Peut-être leur casser un ongle ou leur scier un talon haut?

Celle qui croit savoir....

L'infirmière en psychiatrie m'a parlé. C'est gentil parce que dans un hôpital, on parle peu.
Elle m'a servi ses interprétations bidons habitée par une pensée magique, elle croyait que ses mots auraient un effet. Je l'ai écouté, je la regardais, elle qui flottait tout en haut de moi, convaincue qu'elle avait tout saisi de ma personne.
J'ai laissé passer ses mots qui sonnaient faux, elle qui les croyait vrai, et je lui ai demandé si je peux quitter maintenant.

Elle a dit oui en pensant que ces conneries qu'elle m'a raconté auraient un effet sur ma santé.
À la première poubelle que j'ai croisée, j'ai recraché ses mots en me disant putain qu'elle est conne, celle qui ne sait rien mais qui pense tout savoir.

Et je me demandais si d'être mal entendu est pire que de ne pas l'être?
Et je me disais que le silence est souvent mieux que de raconter n'importe quoi.

Il y a de ces gens, qui de bonne foi, entretiennent de fausses prétentions. Elles se racontent des histoires, et des fous comme moi arrivent facilement à le sentir.

Il y en a d'autres qui savent percevoir mais eux, ils utilisent peu de mots.

mardi 13 juillet 2010

Un bon coup de pied au cul...

Je vais le moins souvent au Métro Chevrefils sur Laurier, je trouve que les gens qui y travaillent sont méprisants envers les clients, je préfère le Métro sur Saint-Hubert. Toujours est-il que j'arrête chez Chevrefils....
Une fois à la caisse....
Moi- Bonjour
Caissière - Bonjour vous voulez un sac?
Moi - Oui
Le commis à l'emballage - Un sac Mon-si-eur, me dit-il en voulant faire rigoler la jeune caissière.
Moi - T'as jamais reçu de coups de pied au cul toi, hen? Là, il sort une stupidité à laquelle je ne voulais pas répondre, il faisait l'innocent.
Fais attention à ce que tu dis, on ne sait jamais vraiment à qui qu'on parle.

Vraiment , je déteste cet endroit là, il y a un culture organisationnelle complètement pourrie.

Trop tard...

Il était tard, il ne me restait que bien peu de temps.
En fait, moins que celui que j'imaginais.
Alors, sournoisement, la vie a fait en sorte que je ne puisse terminer ce billet comme j'aurais aimé le fair........

lundi 12 juillet 2010

Je me cherche...

Je me cherche une ruelle pour dormir ce soir.
J'aimerais qu'elle soit belle.
Si vous avez des suggestions, elles sont bienvenues.
Il semble qu'il y aura de la pluie ce soir, alors un spot couvert conviendrait bien.

C'est curieux...

Il m'arrive d'écrire des billets que je trouve intéressants et ils ont le compteur à zéro.
J'écris une connerie un peu vite sous l'implosion du moment et j'ai trois réponses.

Décidément, je suis un mésadapté et je ne comprends rien à la nature humaine, donc rien non plus à la blogosphère.

Il n'y a rien à faire.

dimanche 11 juillet 2010

Des lesbiennes....

Parc Laurier, le cul sur le gazon, le dos sur un tronc je regardais autour de moi la faune qui s'excitait les hormones.
Pique-nique, amusement avec un ballon, et autres excitations diverses.
Devant moi, deux jeunes femmes s'embrassent sans cesse. Je les regarde discrètement, pas comme le gars à vélo qui a failli se prendre un arbre en plein front, et je me pose des questions. Je me pose toujours des questions de toute façon.

Pas loin de moi, 4 filles attablées, une belle rousse, grande et mince. J'aime la regarder, pas par désir, par plaisir de son esthétisme. Un peu comme regarder une toile que l'on trouve belle sans aucun désir de la posséder, un peu comme vivre sans avoir peur de la mort.

Elle finit par embrasser sa voisine de gauche, elles se collent et se caressent.

Alors je me repose des questions.

Les jeunes de la blogosphère m'ont déjà déstabilisé quant à la bisexualité, l'homosexsualité et mes demandes pour qu'elles m'en expliquent le sens n'ont jamais donné de résultats. Elles ont été mal reçues.

Je brule d'envie d'aborder l'un de ces deux couples pour leur poser quelques questions.
Je ne veux pas les déranger et je n'ai plus la beauté de mes 30 ans qui me permettait ce genre d'impertinence. Alors je pense davantage avant d'agir.
J'ai le corps vieux qui portent la laideur de ce que j'ai fait de ma vie même s'il me reste la curiosité de ma jeunesse, mais ça avec l'allure que j'ai, ça ne parait pas et on a beau dire que la beauté extérieure n'importe peu, ce n'est que balivernes de gens qui racontent n'importe quoi.

Après de longues hésitations j'aborde ces jeunes dames, une d'entre elles, accepte de me parler.
Moi- Je vous ai vu vous embrasser et je me demandais le sens que le lesbiannisme avait pour vous, je n'ai que bien peu de références et j'aimerais comprendre?

Elle a pris le temps de m'expliquer, ouverte et gentille, elle m'a raconté l'affaire. Pendant qu'elle répondait à mes questions, j'étais conscient que la belle rousse n'aimait pas, alors j'ai fait vite pour ne pas trop déranger.

Je reste avec l'impression que la créativité, la réinvention des rapports amoureux passe par ce chemin.
Je n'ai pas besoin de vous dire que le discours féminisme et sa doctrine m'irrite beaucoup et fait dinosaure.
J'ai trouvé ces jeunes qui n'accordent que bien peu d'importance au genre tout à fait rafraichissant.

Je n'ai pas toutes les références pour saisir encore, mais ça commence et ça m'intéresse beaucoup, il y a là un mouvement qui a peut-être déjà un nom que je ne connais pas encore, mais il y a là une belle opportunité de réinventer un monde.

Je trouve fascinant ce truc qui transgresse les interdits de genre et mon plaisir serait d'avoir une bonne discussion à ce sujet pour en saisir toutes les nuances.

Un orgasme désolant....

Pendant qu'il se fait passer un Q-tips dans le pénis, elle, elle regarde le changement de couleur d'un bidule sur lequel elle vient de pisser.

Deux jours plus tard, il se rend à la pharmacie pour acheter une prescription d'antibiotique. La semaine suivante, elle, elle se rend à une clinique pour un avortement, deux jours plus tard, elle devra se rendre à l'hôpital pour un curetage, elle saignait trop.

La semaine précédente, ils s'étaient rencontrés lors d'une fête. Ils s'étaient plu et avaient bien baisés. Dans le lit, dans cette festivité éthylique, ils ne pensaient même pas au mal de bloc du lendemain, alors, encore moins à ces trucs.

Je l'attendais chez elle, je l'avais amené à l'hôpital durant la nuit mais rendu là, elle voulait que je quitte, elle reviendrait en taxi.

Elle ouvre la porte, elle est aussi blême que durant la nuit qui précède.

Moi - Pis?

Elle- J'aime mieux ne pas en parler, me dit-elle en fermant la porte de sa chambre.

L'excitation les avaient laissés dans un état de désolation.

Alors, maintenant que le Mundial est terminé, dans quel état se retrouvera l'Afrique?
Quel sera la réponse à ce Pis?

Elle viendra dans une semaine ou deux mais le ballon lui, continuera à être rond comme la terre.

Moi je suis plus d'avis que la terre est plate.

Il ne faut pas juger...

Ça sort d'ou cette connerie?

Ceux qui prétendent ça envoyez moi votre adresse, je vais venir chez vous demain soir.
Comme vous jugez pas, vous allez m'accueillir à bras ouvert, puisque vous êtes bons et sans jugement.

L'expérience m'a appris que les gens qui tiennent ce discours sont ceux qui ont le jugement le plus fort.
Ce n'est pas qu'il ne faut pas juger dans l'absolu, c'est simplement qu'il ne faut pas les remettre en question, eux. C'est ça l'affaire.
Ce sont les gens les plus fermés qui servent ce discours à tour de bras et souvent ils sont les juges les plus sévères.

Déjà en partant, le IL NE FAUT PAS... ça regarde mal et ça fait moral en hostie.

jeudi 8 juillet 2010

Écrire...

Moi - L'essentiel pour moi c'est l'idée. Les émotions, les atmosphères, les odeurs, sont secondaires, du superflu, de l'enrobage.
Arrives au but et arrêtes de tourner en rond. Pourquoi écrire en 15 lignes ce que tu peux exprimer clairement en 2 lignes.

L'écrivain - L'idée qui arrive à s'inscrire dans des émotions a beaucoup plus de sens. C'est comme des feuilles de menthe que tu laisses bien infuser, le thé est plus odorant et a beaucoup plus de saveur.
Toi ce dont tu parles c'est d'une culture hydroponique des mots.
Des concepts qui, comme les racines d'une laitue Boston, flottent dans une eau au lieu de s'enraciner dans la terre, de s'ancrer dans tout ce que le lecteur est capable de ressentir. Ta salade est propre, presque belle mais inodore et la sans saveur d'un terroir, sans origine et sans lieu d'appartenance.
Et des idées qui ne reposent sur rien ne s'inscrivent pas dans la chair des gens, elles deviennent vite, pour le lecteur, de vagues impressions qui, à défaut d'attaches, s'estompent rapidement.
Les mots et les idées écrites doivent devenir une expérience sensuelle qui fait appel à plusieurs sens pour s'inscrire en l'autre.
C'est comme si tu travaillais de la mélamine avec un scie industrielle, pendant que moi, je travaillais mes mots, comme peut le faire un ébéniste avec un bois noble. Ton discours sent la colle, le mien a une odeur d'essence du bois avec lequel je travaille, et ça, ça prends quelques mots de plus.

Moi - ........

***************
Hommage à OR et quelques autres.

Tag sur le blog de SP4M

Donc voici comment on va procéder: J'vais poser trois questions. Vous pourrez choisir celle que vous voulez en faisant parler chacune des parties de votre corps comme je le fais ici. Voici les parties que vous devez faire parler ci-dessous:

La Tête / L'Coeur / L'Pénis ou L'Vagin /


LES QUESTIONS:

1. Qu'est-ce que vous pensez des relations ouvertes ? Si votre conjoint(e) vous le proposait, vous diriez quoi ?

La Tête...
Certainement oui. Enfin quelqu'un qui sort de l'enfermement dans lequel les relations amoureuses nous enlisent. Moi l'exclusivité pis les droits de propriété, je m'en fous pas mal.
J'ai plus une tête africaine qu'américaine.
Le cerveau s'adapte à la routine et fini par ne plus ressentir, rien de mieux que la variété pour stimuler le cerveau.

L'Coeur...
Ma capacité d'aimer est grande et de ne pas la limiter, ça serait bon pour ma santé cardio. Et on aime jamais trop.

L'penis...
Je suis ouvert à toutes les expériences, l'idée d'être tenu par de nouvelles mains qui me tiennent m'excite et l'idée de faire connaissance avec de nouvelles vulves m'intéresse tout autant.


2. Quelle est pour vous la différence entre baiser et faire l'amour?

La Tête...
C'est du pareil au même. C'est juste une question de la politique. C'est comme dire fif ou gai.
Moi je sors mon discours de l'amour pour faire plaisir au Coeur mais au bout c'est les hormones qui contrôlent tout ça, bien plus que moi et de toute façon on se retrouve tout même entrain de baiser.
Faire l'amour est juste un peu moins intéressant parce que ça prends tout un set up, parfois ennuyeux, pour en arriver à la même finalité.
Pis généralement faire l'amour c'est des histoires de filles que les gars doivent apprendre à raconter.
On appelle ça la socialisation des instincts.

L'Coeur...
L'un ou l'autre c'est pareil pour moi. Je vis un moment d'intimité avec quelqu'un et ça me nourrit d'espoir d'un je ne sais pas toujours trop quoi. Mais entendre battre celui de l'autre j'aime bien, ça me relaxe et me fait un velour.

L'Vagin...
Se faire pénétrer est une agression pis pour pas me sentir trop dominé j'ai besoin d'un peu d'impression de tendresse. C'est plus fort que moi, c'est comme ça. J'ai besoin des histoires de mon coeur et de ma tête pour lubrifier un peu.

L'Pénis...
Un ou l'autre, ce n'est pas ça qui importe. Moi j'aime ça tight et lubrifié pis sans habit de latex. Je me crisse des histoires que racontent la tête et le coeur. J'aime ça surtout au début, lors de la pénétration, après, le vagin se décontracte un peu plus, et le feeling est moins fort. Même que parfois ça devient un peu plate. Mais ça je le dis pas.

3. Que pensez-vous du risque de disparition de la banane ?
La Tête...
Je ne savais pas mais ça ne m'étonne pas, elle n'avait pas l'air très bien ces dernières années, je l'a trouvait particulièrement verte.

L'Coeur...
Je ne peux croire qu'elle va me quitter, je ne suis pas prêt à ça, je l'aime tellement.

L'Pénis...
Une bonne chose de faites, il ne restera que le vibromasseur comme compétiteur, tant mieux. Merde j'oublais le concombre.

lundi 5 juillet 2010

Rien à dire...

Bien des choses ont été dites et bien dites.
Ma capacité de dire sur la vie est bien limitée.
Comment dire mieux ou autrement quand des génies ont déjà tout écrit?

Prenez Sartre qui disait que l'enfer c'est les autres. Je trouve que ce truc décrit bien ce que je lis sur la blogosphère. Même sous des allures d'introspection, la plupart des gens s'efforcent de démontrer que l'enfer c'est les autres.

Pour ma part, je me suis montré laid parce que je le suis. Mais de cette laideur, il n'y a pas de surprise, ou bien peu.

J'aurais pu avant de quitter vous faire la démonstration que sous la beauté immaculée présentée par certains se cache une laideur équivalente à la mienne et parfois même, un peu plus grande.
Mais je préfère laisser ces gens, qui font dans l'illusion de la pureté, à leurs histoires. Il est inutile de les mettre à nu. Laissons les s'orner de parures qui paraissent bien. Qu'elles restent dans le blanc.

Je ferme mon blogue demain. Il n'y aura pas de mot de passe, je n'écris plus de billets.
Celui-ci est le dernier, mon dernier mot.

Je suis peut-être le seul...

La blogosphère semble remplit de bonnes gens avec une morale irréprochable.
Moi je suis un fou, si il y en a un deux comme moi, manifestez vous.
La blogosphère est tellement normal que je me demande ce que j'y fais?
Vous êtes tous tellement de bonnes personnes.

Mon deuxième meilleur billet....

Celui qui précède.

Tu en as une grosse toi....

Lui - Oui monsieur, une 42 pouces en HD branchée direct sur le câble.
Moi- Ouin t'es puissant. Moi j'ai une 14 pouces branchée direct sur une antenne.
Lui, il ne dit rien, il est tellement fort qu'il ne lui sert à rien de répondre.

Je manque de virilité, maudit.

Avant ça prenait un char pis là... ça prends une télé.

Moi j'ai une radio à batteries sur mon vélo.

Ce qui me console c'est qu'au travers de mes antennes , la poupoune de l'heure impressionne moins. Ainsi Scarlett Johansson à travers la neige et la déformation du signal semble banale.

L'esthétisme fout le camps, il reste le propos.

Pour le propos, on a pas encore inventé le HD.

dimanche 4 juillet 2010

Top un....

J'ai relit mes billets et il n'y a que la belle débile que mérite d'être édité à nouveau.
Si il ne pouvait qu'avoir le dixième de la beauté de cette belle débile, il serait réussi.

Quelques conneries encore et..je disparais.

Mon plus grand plaisir sur la blogosphère aura été operationreboot.

Le pire, l'omniprésence des femmes, que c'est emmerdant et d'une platitude sans nom, comme les produits sans marque du marché Métro. Tu sauves une piasse mais ça goute la merde.

La meute...


Après cette guerre ridicule, je vois la meute qui se lèche les plaies entre elles et c'est avec compassion que je regarde retomber la poussière.

Après la création d'un abuseur, elles semblent ressentir le besoin de se créer une immaculée, une femme habillée d'une robe blanche sans tache, presque la vierge Marie.

Sérieusement, c'est avec compassion que je les regarde aller.

Si ça peut peut réparer leurs blessures, bien antérieures à ce conflit, tant mieux pour elles.

Mon numéro un: Une belle débile....

Celui là est mon plus beau je crois. Cette jeune fille était magnifique. J'espère que vous sentirez sa beauté..


Épuisé, le nez écrasé sur la vitre de la fenêtre d'autobus, mon cerveau ne tente même pas de traiter les images qui défilent devant moi, mon regard est vide laissant toute la place à rien. Je dois ressembler à un usager catatonique.
Une voix me sort de cet univers, une voix d'une fillette d'environ 7-8 ans.

Je l'imagine avec sa mère.
Je me retourne pour la regarder, un peu nostalgique du temps ou ma fille avait cet age.

Elle est superbement belle, elle à l'air d'une fille des années 50, cheveux brun-roux coupés au carré à la nuque , de chaque coté, sur ses joues, ses cheveux font une courbe, comme un tremplin de saut à ski.
Du fond blanc immaculé des ses yeux, un vert étincelant m'hypnotise, ces lèvres pulpeuses colorées d'un rouge vif m'achève.
Elle est élégante, tout est bien placé.
Je n'arrive pas à détacher mon regard de son visage, c'est trop agréable. Je resterais là comme ça, à la regarder longtemps sans me fatiguer.
Ça me gène un peu, alors je me détourne mais j'y reviens sans cesse brièvement, comme un voleur.

De sa voix de gamine elle raconte à ses amis qu'elle s'est rendue au métro Viau et pie-i-x, elle ne sait pas comment le dire leur explique-t-elle en riant d'elle-même.
Alors je l'a regarde et je lui dis que c'est le métro pie neuf, c'est en chiffre romain.
Ha!!!! disent les trois, c'est en chiffre romain, ben oui i-x, c'est neuf, dit un des garcons. Et ils rigolent tous ensemble.

En fait, elle a autour de 17 ans, elle doit souffrir d'un déficit intellectuel. Elle est accompagnée de deux camarades d'école qui eux, porte les traces de leur affection dans le visage et dans leur tenue peu soignée. Mais elle pas du tout, elle se tairait et on croirait être devant une déesse.

On arrive à la station Laurier, elle empoigne la barre pour s'aider à se lever, ce faisant, son poignet se dénude pour laisser voir une jolie montre. Décidément elle a beaucoup de classe cette jeune fille. Je me demande ce que ressentent ses parents.

Ils doivent être fier d'elle, je crois, malgré cet handicap.

Mon top 4....

Comme je quitte bientôt j'ai décidé de faire mon top 10 de mes meilleurs billets.
En fait c'est plus un top 5, j'en ai pas trouvé 10.
C'est même un top 4, parce que je n'ai pu retrouver le billet qui illustrait le mieux ma conception de la blogosphère et comme je suis paresseux, bien, je le laisse aller.

C'est curieux mon top 4 parle de filles.

Je vais corriger mes fautes et les retravailler un peu et les éditer à nouveau.

Ces quatre billets réunis n'ont eu qu'un commentaire.

C'est fou....

samedi 3 juillet 2010

C'est bon....

C'est bon cet article.

Le plus dur...

Vous ne savez pas alors je vous raconte.
Premier juillet, peu importe ce que ma fille dit, je sais que ma présence sera utile.
Alors vers 10h00, je prend l'autobus, j'enfile le 2.75$ dans le trou et je me dirige vers l'arrière de l'autobus pour m'y assoeir. Je dois descendre à Darlington mais je ne connais pas ce coin là.
Moi - Bonjour Monsieur...
Lui - Non, non, j'ai pas d'argent.
Moi - Ben je ne voulais pas vous demander de l'argent, vous connaissez Darlington?
Lui - Non.
Moi- J'ai l'air d'un quêteux?
Lui- Ben les bonjour monsieur d'habitude c'est pour demander. Je m'excuse.
Moi- Il avait un accent. Vous êtes d'origine de quel pays?
Lui- J'aime mieux ne pas en parler.
Moi- Pourquoi?
Lui- Sur un ton de plus en plus irrité, parce que je ne suis pas d'humeur aujourd'hui et je subis trop de préjudices.
Moi- Ha ok, je comprends.
Je me retourne pour demander à un autre si il connait la rue Darlington, il tarde à me répondre. J'insiste, son visage devient agressif mais comme je trouve qu'il n'y a aucune raison j'insiste à nouveau. Il finit par me répondre.

Le pire dans tout ça ce n'est pas que je sois un quêteux, c'est que visiblement je commence à en avoir l'air. Et ça pour l'égo, ça crash fort pas à peu près. Maudit.

Bon....

Les accusations de harcèlement ont été retirées.
Elles devaient l'être parce qu'elles étaient fausses et je ne voulais pas quitter avec cette étiquette collé au front.

Vous êtes plusieurs à ne pas m'aimer. Dites ce que vous voulez sur moi dans vos MSN messenger et truc du genre, je m'en fous mais si vous parlez en mal de moi dans un espace public soyez certains que je si j'en prends connaissance, je vais au moins vous demander de m'expliquer votre truc.

Moi, Michel, je peux défendre chacune des phrases que j'écris, en discuter du moins et m'en excuser si il le convient. Je ne censure personne et j'accueille tout le monde.

Les insultes par blogue interposé pour moi c'est de la lâcheté et c'est un comportement que je trouve méprisable.

Je crois que le tour est fait et qu'il est possible maintenant de passer à autre chose.

Pauvres gros monstres...

Semblerait que Laurie Anderson, Lou Reed et John Zorn se soient fait huer hier.
Moi ça me fait chier de ne pas avoir su qu'ils étaient à Montréal.
Une critique ici dans cyberpresse.

Édifiant...

L'humain est pas trop édifiant.
Rien de mieux à présenter?

vendredi 2 juillet 2010

Ma limite...

Les gens peuvent me traiter de malade mentale, de no life, je peux accepter.
De psychopathe, c'est un peu plus dur à avaler mais bon, la personne n'est pas psychiatre et probablement qu'elle n'a aucune idée de l'accusation qu'elle vient de porter. Je range cela dans l'idiotie.

Mais m'accuser d'avoir commis un acte criminel publiquement, je crois qu'il doit y avoir une suite à ça et j'entends bien ne pas me faire accuser de crime sans réagir, si cela s'avérait vrai les conséquences pour moi pourrait être grand.
Alors j'entends prendre les démarches nécessairement pour que des accusations pouvant être portées au criminel ne soient pas faites de façon indue.

J'ai envoyé un message à FrankyBgood dans son billet 2 dodos pour lui parler de son diagnostic de psychopathe, il a effacé mon message. Il ne réponds pas de son diagnostic. Ça dit beaucoup sur lui.

J'ai envoyé un message à Renart aussi mais il verra bien de lui-même lundi dans l'arbitraire auquel il s'est embarqué naivement si je dois éditer faute de retrait d'accusation de harcèlement.

Une bien drôle de victime...

Le 30 juin elle m'accuse de harcèlement et menace de me poursuivre.
Elle m'écrit un e-mail le même jour. Écrire à son harceleur?
Je ne l'édite pas, je l'éditerai si elle n'a pas retiré ses fausses accusations d'ici lundi.

Elle prétend aussi que je m'en prend aussi à d'autres blogueurs dont Renart. J'entends donc aussi éditer les mails qu'elle me faisait parvenir lorsque mes interactions avec Renart étaient chaudes. Ils feront la démonstration qu'elle était loin de me reprocher d'être abusif envers Renart.

J'accepte bien des étiquettes mais celle de harcèlement je l'a refuse à moins qu'elle soit démontrée.

La création hystérique d'un abuseur....

Il arrive parfois qu'une victime qui n'en n'est pas une se crée un abuseur qui n'existe pas.
C'est ce que fait Éléonore dans son billet Harcelement: Assez c'est assez.

Il est intéressant de voir ce que les gens lui répondent.

Flocons de bonheur , sans être méchante affiche son parti pris...j'ai tendance à te croire toi, plutôt que lui.

JF l'internaute dit Ce type me semble bien avoir un problème. D'aucun dirait qu'il est pas mal bizarre.

Éléonore revient à la charge en disant je tente de l'ignorer depuis le mois de décembre, cependant j'ai su de diverses manières qu'il me lisait avec assiduité et qu'il ne cessait de mettre des liens vers mon blog, j'ai même eu des visites à cause de cela.

Rainette plus affirmative, ajoute Alors le malade continue son petit manège ? Quel no-life !
Courage ma belle. Au moins tu sais qu'on ne le croit pas et on en a rien à foutre de ce no-life du web!

FrankyBgood lui plus incisif ajoute Ce type est un psychopathe. Il souffre clairement de maladie mentale.

Missive un peu plus gentille C'est triste de voir ce qu'il est devenu. Quand je l'ai connu (et connu est un grand mot) et bien, mis à part un profond besoin d'être lu, cru et reconnu, de ne voir que SON côté des choses , il fonctionnait encore assez bien en société.

Le petit hibou se questionne Changer, c'est le mot que je retiens aussi.
Ou bien il n'a jamais démontré sa vrai personnalité avant, Ou bien il est dans une délire de personnage, Ou bien il vieillit et devient aigris, Ou bien il transfère tout sur toi (HaHa!) Ou bien ou bien ou bien.. Il fut jadis quelqu'un d'agréable à «cotoyer». Dommage.

Lise a dit....je suis allée sur son blogue et ses derniers billets m'ont fait frémir, pas dans le bon sens du terme.
Et c'est pas fin de l'écrire mais ça me console de savoir qu'il y a des gens plus perturbés que je le suis...

Je vais moi aussi prendre des mesures pour que cesse cette accusation de Harcèlement tout à fait ridicule.

Quant à mes liens incessants sur Éléonore, les voici...
Février 2010 suite à un courriel qu'elle m'avait envoyé. Y'a des mots parfois de trop
Mars 2010 suite à une allusion déplaisante qui m'était destinée. Le billet est Le fiel d'Éléonore
Et bien sur en juin 2010 un billet suite à ses accusations de harcèlement. Celle qui a...
Ce billet elle l'a rédigé après une réponse que j'ai fait dans son billet ou elle parle de s'introduire dans la vie des gens.


Alors voilà, 2 billets et une réponse constitue un motif à crier au harcèlement.
Je lui demande de se rétracter ou de produire sa preuve. Elle doit bien avoir nos courriels, qu'elle les produisent, je ne suis pas inquiet.

Quant aux autres, je pense que FrankyBgood doit me répondre de ses paroles et je compte bien m'entretenir avec lui car traiter quelqu'un de psychopathe et de malade mentale, ça mérite à tout le moins clarification. Si il s'agissait d'un diagnostic , ça irait mais lorsque ce sont des propos haineux il y a matière à confronter surtout au nom des gens qui souffrent de maladie mentale, ces attittudes démontrent bien les forces d'exclusion et de stigmatisation dont on affublent encore les personnes qui éprouvent des problèmes de santé mentale, et les propos haineux qu'ils doivent encaisser, jour après jour, non?

jeudi 1 juillet 2010

Petite fille...

Moi- Ne balayes pas partout comme une petite fourmi. Fais toi un petit cocon, arranges ton lit, commandes ou va acheter de la bonne bouffe et regarde le film que je t'ai prêté.

Conseil d'un père à une jeune fille qui vient de vivre l'enfer du 1er juillet, qui finalement n'était pas si mal.

Montres moi ton cul...

J'ai rencontré ma fille aujourd'hui et on jasait. Elle avait des jeans avec de la dentelle et elle disait que le gras sortait par les trous de la dentelle.

Moi- Montre moi. Elle se lève et me montre des cuisses divines comme celles qu'on peut avoir à 18 ans.
Montres moi tes fesses. Elle se retourne et me les montre.

Certains penseront que c'est pervers mais pour moi qu'elle accepte de me montrer ses fesses à 18 ans, ça veut dire beaucoup.

Par contre ma réponse fut un peu conne, elles ne sont pas comme celles des latinos qui ont un gros cul en général.

La moral de l'histoire?

La confiance.

Pis là on parle de cellulite et de féminisme. La conclusion?
Un gros cul plein de cellulite c'est winner politiquement mais esthétiquement c'est moins évident.

Et on revient à l'intériorité, à la beauté de l'âme.

Rien à faire, ni pour elle, ni pour moi, l'esthétisme ne se trouve pas dans ce qui dépasse des trous de la dentelle.
Moi- Ben madame dans 20 ans, tu vas miser sur quoi?
Elle- Ben à 38, ça devrait être encore bon.

L'entrée au CEGEP c'est une question de jeans, je l'imagine en philo devant Nietzsche, ça va brasser dans baraque, ben ça, si elle enlève ses écouteurs pis ferme son cell. Et ça je ne sais pas si elle peut le faire.

On verra bien,c'est à suivre.